ASSASSINAT DE SARAH LUCIE HALIMI, VICTIME DE L’ANTISÉMITISME ISLAMIQUE
(L’Imprécateur)

Mardi 3 avril, rue Vaucouleurs dans le 11ème arrondissement de Paris. Au deuxième étage d’un l’immeuble, un individu de 27 ans intelligent et costaud vit encore chez ses parents faute d’avoir cherché du travail. Il a de l’argent de poche, le RSA, il est musulman avec un passé déjà lourd de comportements violents.

Selon parents et voisins, « il s’est récemment radicalisé », devenant « un musulman très pratiquant ». D’autres témoignages, ceux de voisins, trouvés sur Internet (donc à confirmer) disent qu’en plus de passer son temps à la mosquée, il buvait sec et fumait, et pas que son tapis de prière, ce qui paraît tout de même assez contradictoire avec une pratique religieuse stricte… Mais cela pourrait être la cause, peut-être, d’une violente dispute avec les parents ce soir là qui a poussé plusieurs desdits voisins excédés à appeler la police à 04:30 du matin.

Cette dernière a dépêché des agents. Ont-ils été impressionnés par la violence de la bagarre ? Ou plus probablement ont-ils obéi à des consignes de non intervention envers cet individu « connu des services de police » ? L’enquête, s’il y en a une, le dira. Le fait est qu’ils ont préféré ne pas intervenir et appeler le RAID en se contentant de rester devant la porte du domicile du fou-furieux. Celui-ci, sportif, sort par la fenêtre et passe, par la façade, du second au troisième étage. Il brise une vitre de la fenêtre, entre dans l’appartement. Le bruit attire de sa chambre l’occupante, Sarah-Lucie Halimi, qui ne dormait pas en attendant la fin du cirque. Elle le repousse sur le balcon *.

C’était le lundi 3 avril, soit le 7 nissan 5777 dans le calendrier juif.

Sarah-Lucie, 66 ans, est juive, réputée pratiquante et pieuse. Médecin, elle avait créé une crèche dans le quartier. Il ne tente pas de la violer, mais la frappe tout de suite de plusieurs coups de couteau malgré ses cris et ses supplications, puis la jette encore vivante dans le vide. Du troisième étage. Elle meurt en heurtant le sol, l’autopsie devrait le confirmer, mais y a-t-il eu autopsie ? Ce n’est dit nulle part. La levée du corps a eu lieu dès mardi et le corps a été expédié à Jérusalem où l’enterrement a eu lieu jeudi matin 10 nissan 5777 dans le calendrier judaïque, soit le 6 avril.

Pendant que le musulman “très pieux” passait à l’étage supérieur et assassinait la dame juive, très pieuse elle aussi, selon la communauté Yaz Mordekhaï pour laquelle elle travaillait, les flics, qui attendaient toujours devant la porte à l’étage du dessous, ont commencé à réagir. Car, tout en frappant, le malade mental, disent les officiels, d’une maladie qui a pour nom “islamisme” hurlait “Allahou akbar !”. Sarah-Lucie, quoique juive et en un sens radicalisée elle aussi, n’aurait jamais eu l’idée d’assassiner un musulman en hurlant “Yaveh est grand !”.

Ce nouveau crime islamiste ne fera pas partie du débat présidentiel et ne fera pas sortir un million de personnes dans les rues. Dès mardi, on entendait poindre déjà la douce musique rassurante de l’accident dans des circonstances troubles, ou encore bien évidement, l’acte d’un déséquilibré aux propos incohérents. Commentaire politique tout de même raciste et nauséabond. Dire “Allahou akbar !”, les seuls mots qu’ont compris et entendu les témoins, serait considéré par notre élite politique comme une preuve de démence ? D’ailleurs, pour prouver cette allégation hasardeuse, le criminel a été conduit illico, juste après sa mise en examen, dans un établissement psychiatrique. Ainsi, les candidats de gauche à la présidentielle vont pouvoir dormir tranquille sans avoir à aborder le sujet de l’islam colonisateur en France.

Il n’en reste pas moins que déclarer officiellement qu’un musulman très pieux est forcément un fou et que son cas n’a pas à être examiné relève d’une grave islamophobie et devrait remuer la LICRA, le MRAP, l’UOIF et autres hurleurs à l’islamophobie  patentés.

Le crime islamiste est pourtant, en un sens, par ses conséquences peut-être plus grave que celui de Charlie-Hebdo, de l’Hyper-Casher, de Nice ou même celui déjà oublié d’Ylan Halimi, ce jeune juif enlevé, torturé et assassiné par les “barbares” de Youssouf Fofana parce qu’il était juif. Ces crimes-là, et la plupart des autres depuis, ont été commis au nom d’une organisation islamiste, longuement pensés et minutieusement préparés. Avec l’assassinat de Sarah-Lucie, le crime improvisé à motivation religieuse et raciste se démocratise, en quelque sorte. Désormais, n’importe quel musulman débordé par un peu trop d’islam, d’alcool ou de haschich peut passer à l’acte sans complexe pour faire son petit djihad-perso, son excuse et son mobile sont tout trouvés : « il s’est récemment  radicalisé ». Il sera d’office catalogué “fou” et ira passer quelques semaines dans un hôpital psychiatrique, tout de même plus confortable que la prison.

En France, pour ne pas perturber la campagne présidentielle nous dira-t-on, c’est-à-dire ne pas provoquer une vague supplémentaire d’adhésions au FN, la presse a à peine mentionné l’assassinat de Sarah-Lucie comme un fait divers sans grande importance. “Il s’était radicalisé”, donc quoi de plus normal qu’il sorte un couteau pour frapper un Juif comme le prescrit le Coran, « Frappez-les au-dessus des cous » (verset 12 de la sourate Le Butin). De plus, c’est une femme dont la valeur humaine n’est juridiquement que la moitié de celle d’un homme comme l’évalue la Charia. Un musulman radicalisé normal en quelque sorte. « Nous allons devoir nous y habituer », comme dirait Manuel Valls s’il avait encore droit de s’exprimer en premier ministre.

Bien qu’officiellement la thèse de l’acte de terrorisme antisémite ne soit pas retenue par les autorités françaises, une fois encore le trouble s’installe avec des commentaires virulents de potentiels témoins ou amis qui dénoncent un crime antisémite. Car ceux-là connaissaient bien le criminel, mieux sans doute que le ministre de l’Intérieur qui a donné l’ordre de l’interner en hôpital pour tenter d’éviter le scandale d’un nouveau crime musulman antisémite en pleine campagne présidentielle qui apporterait de l’eau au moulin de Fillon et Le Pen. Cependant, bien que les faits soient, pour l’instant, clairement minimisés aux yeux du public français en cette période électorale sensible, le procureur Molins, qui a été chargé de faire toute la lumière sur cette tragédie, n’écarte pas, a priori, le caractère d’attentat et antisémite de ce crime.

Peu de remous en France, donc. Par contre, grosse émotion en Israël où des milliers de personnes ont suivi l’enterrement de Sarah-Lucie à Jérusalem. Les réseaux sociaux israéliens y bruissent de rumeurs hélas fondées : la France socialiste et islamisée est devenue antisémite. Juifs de France fuyez ce pays devenu dangereux et venez vous réfugier en Israël. Ne comptez pas sur la LICRA, le MRAP ou la Ligue des Droits de l’Homme pour vous soutenir et vous défendre. Ces associations opèrent à sens unique, ne prennent en considération que les offenses, de l’insulte au crime, commises contre les Noirs et les Arabes.

Les Blancs, les Chinois, les Sous-chiens, les mécréants et surtout les Juifs peuvent bien crever sous les coups des musulmans radicalisés, elles n’en ont rien à cirer.

L’Imprécateur

* Des divergences apparaissent cependant dans le déroulement des faits et du profil du meurtrier, notamment le chemin emprunté avant de pénétrer dans l’appartement de la victime qu’il aurait commencé à frapper au couteau dans sa chambre. L’enquête les clarifiera-t-elle ? Peut-être, mais pas avant fin mai.
Après la présidentielle.