LES VRAIS RACISTES ? C’EST VOUS ! (par Maurice D.)

Ils se disent des modèles d’antiracisme, toujours prêts à prendre la tête d’une manifestation stigmatisant ceux qu’ils accusent d’être racistes, poussant leurs ministres à prendre des mesures administratives pour sanctionner le racisme partout où il pourrait se manifester, accordant des subventions astronomiques à des associations supposées lutter contre le racisme, portant plainte contre les personnalités de droite, oubliant que celles de gauche sont souvent plus racistes encore.

Pourtant un lourd soupçon de racisme basique pèse sur eux, l’un pour avoir parlé d’apartheid, l’autre pour avoir fait porter la responsabilité de la profanation d’un cimetière juif aux “Français de souche” et présenté l’égorgement de paisibles chrétiens coptes par des musulmans fanatiques comme un simple conflit civil entre citoyens libyens et égyptiens.

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Le fait raciste ne se trouve pas dans les mots eux-mêmes, car il y a réellement des situations, voire des zones d’apartheid en France, les jeunes crétins congénitaux de Sarre-Union étaient bien des français “de souche”, de même que les égorgeurs étaient libyens et leurs victimes égyptiennes.

Le fait raciste consiste à utiliser ces mots sans en préciser le sens, de manière à détourner la responsabilité des crimes qu’ils recouvrent sur d’autres que ceux qui les ont commis, afin de protéger (sans le dire) leur race ou leur religion, dont on nie l’existence par ailleurs.
Et ça, c’est du racisme basique pur et dur.

On pourrait excuser ces responsables politiques en invoquant leur méconnaissance de la langue française, frappante (dans les deux cas) : utilisant des mots inappropriés que l’un assène avec certitude, l’autre en hésitant et parfois bafouillant, comme s’il se doutait que ceux qui ont écrit son discours utilisent des mots dont ils ne comprennent pas ou ne connaissent pas toujours le sens exact. Ce qui n’a rien de surprenant pour qui a fait le constat de la dégradation de l’enseignement de la langue française dans l’Éducation nationale et les grandes écoles.

J’ai déjà dénoncé l’usage du mot “antisémitisme” là où il s’agit de judéophobie, de “racisme” pour désigner la critique de l’islam qui n’est pas une race et d'”islamophobie” pour désigner le rejet de la couleur de peau de nombreux musulmans.

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Parler d’apartheid en France n’est pas faux, mais celui qui a prononcé le mot sait-il que le mot désigne une politique gouvernementale de développement séparé fondée sur l’origine raciale ?
Ce serait la politique gouvernementale d’aujourd’hui ?

En ce sens (qui est le sens exact du mot apartheid), il n’y pas d’apartheid au sens strict du terme en France. Mais il y a apartheid si l’on regarde les effets concrets des politiques gouvernementales suivies depuis les années 1980 et même avant. Mais “avant”, ces politiques générant la séparation de fait des couleurs et des classes étaient dues à une insuffisance de réflexion sur leurs conséquences ou, à un manque de moyens quand on en était conscient. Elles n’étaient pas volontaires, le fait raciste n’était donc pas constitué.

C’est à partir de 1981 que l’idéologie dominante a voulu importer massivement des races et des cultures différentes, ouvrir les portes de l’immigration avec l’objectif avoué de provoquer un brassage et un métissage dont ces apprentis sorciers ne doutaient pas qu’il se ferait naturellement et dans la joie tant “la beauté des bruns” (Mélenchon) et “la grandeur des civilisations arabo-africaines” (Jack Lang) leur paraissaient évidentes.

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Quand les “Français de souche” ont constaté que certes il y a des individus très beaux chez “les bruns” comme les appelle Mélenchon, mais pas plus que chez les blancs, et que ces beaux bruns refusent avec arrogance d’adopter nos mœurs et nos coutumes ; que les tas de boue ou de paille que sont concrètement les cases africaines, les mosquées et les châteaux dogons sont tout de même difficilement comparables à la Sainte Chapelle ou au château de Versailles, ils sont devenus méfiants.

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Surtout les classes les plus pauvres et les plus fragiles, quand on leur a imposé de cohabiter dans les cités, les banlieues et les villages avec des gens dont les mœurs sociales sont restées claniques et tribales, les cultures difficiles à comprendre pour qui n’a pas un doctorat en sociologie ou en anthropologie, une religion dominée par un dieu féroce qui recommande l’élimination de ceux qui ne l’adorent pas, et un sens du travail qui est peut-être “cool” mais les condamne à vivre en comptant sur la générosité de leur environnement social.

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Les très pauvres, les plus vieux, les plus faibles, sont restés sur place parce qu’ils n’avaient pas le choix. Les autres ont émigré un peu vers les centres villes, plus souvent vers des cités péri-urbaines où l’on a recréé pour eux des zones pavillonnaires qui, quelques années plus tard, sont à leur tour envahies par les immigrés.

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Nos dirigeants le constatent et accusent de racisme ces fuyards de la cohabitation forcée, et aussi d’être les responsables des situations d’apartheid ainsi créées.
Mais ils n’ont pas l’intelligence de se poser la question pourtant évidente : “les immigrés souhaitent-ils être physiquement métissés et voir leurs cultures diluées dans la culture occidentale et française ?” Majoritairement, ils répondent “non”.

Déjà André Malraux le 3 juin 1956 constatait : “C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine… Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race” (Note sur l’islam).

C’est le constat que nous ne pouvons que faire : ils préfèrent rester entre eux, dans leurs quartiers et préserver ainsi leur race, leurs mœurs et leur religion. Ils créent eux-mêmes l’apartheid que dénonce le Premier ministre. Ils interdisent les mariages mixtes à moins que le conjoint ne se convertisse à l’islam, sinon le couple est rejeté pas la communauté.

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(il ne fait pas bon être blanche dans la bonne ville du bon M. Valls)

Les jeunes filles “de souche” qui habitent dans les cités avec eux se voilent pour éviter d’être traitées de putes et agressées sexuellement par de jeunes mâles musulmans qui exigent aussi des garçons “de souche” qu’ils baissent les yeux quand ils les croisent puisque n’étant pas musulmans ils sont donc inférieurs, comme c’est clairement dit dans le coran n’en déplaise aux naïfs qui croient en un coran “modéré”.

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En période de ramadan il y a des piquets de surveillance dans les collèges et les entreprises pour surveiller que les élèves et les salariés musulmans font bien le ramadan, ne mangent ni ne boivent. Ils nous imposent de manger de la viande halal, refusent que ce soit signalé au moment et sur le lieu de la vente, et les autorités sanitaires laissent faire au nom d’une exception culturelle aussi dangereuse qu’illégale (loi sur la sensibilité reconnue aux animaux).

Leurs filles, même très jeunes, sont vendues à des vieux du pays qui peuvent ainsi obtenir le passeport français qui leur permet ensuite de venir bénéficier d’assurances sociales et de retraites pour lesquelles ils n’ont jamais cotisé. Un musulman qui se convertit à une autre religion est rejeté par sa famille et sa communauté, et parfois menacé de mort. Les femmes ont un statut d’êtres inférieurs, c’est leur loi civile et religieuse et ils la déclarent supérieure à la loi française.

On crie “mort aux Juifs” dans les rues de Paris, des zones et des cités entières sont “judenrein” (sans Juifs) et des enfants de socialistes soi-disant antifascistes vandalisent cimetières juifs et chrétiens, églises et synagogues, mais on évite d’en parler dans la presse et le président lui même souligne alors qu’ils sont “Français de souche, comme on ditcomme si c’était le fait d’être français qui produisait ces comportements racistes, judéophobes et islamophobes, alors que c’est le fait d’être soit musulman soit de gauche.
Il est clair qu’avec cette phrase, le président stigmatise les Français sur une base raciste.

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 Les “Français de souche” selon Hollande, racistes et antisémites

Les dirigeants socialistes s’abusent peut-être ou ferment les yeux sur qui est raciste en France, mais les Français eux, ne sont pas dupes, ils savent qu’ils ne sont pas plus racistes que certains ministres et le président, et beaucoup moins racistes que beaucoup d’immigrés férocement antisémites, judéophobes et “anti-blancs”.

Maurice D.

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