PENSÉES SUR L’ISLAM
(de Montaigne à Houellebecq)

« Quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d’or et de pierreries, peuplé de garçes d’excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, je  vois bien que ce sont des moqueurs qui se plient à notre bêtise pour nous emmieller et attirer par ces opinons et espérances, convenables à notre mortel appétit »

(Montaigne / 1533 – 1592) 

« L’islam! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers »

(Bossuet /1627 – 1704)

« C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée » « Pendant que les princes mahométans donnent sans cesse la mort ou la reçoivent, la religion, chez les chrétiens, rend les princes moins timides, et par conséquent moins cruels. Sur le caractère de la religion chrétienne et celui de la mahométane, on doit, sans autre examen, embrasser l’une et rejeter l’autre : car il nous est bien plus évident qu’une religion doit adoucir les mœurs des hommes, qu’il ne l’est qu’une religion soit vraie. C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de    glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée. La religion des Guèbres rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire »

(Montesquieu / 1689 – 1755)

« Il est à croire que Mahomet, comme tous les enthousiastes, violemment frappé de ses idées, les débita d’abord de bonne foi, les fortifia par des rêveries, se trompa lui-même en trompant les autres, et appuya enfin, par des fourberies nécessaires, une doctrine qu’il croyait bonne »

« Les musulmans sont animés de la rage de la malfaisance. Rien n’est plus terrible qu’un peuple qui, n’ayant rien à perdre, combat à la fois par esprit de rapine et de religion »


(Voltaire / 1694 – 1778)

« Les imams et les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu’on ne croit pour s’entendre; leur but commun est de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine »

(d’Alembert / 1717-1783)

« La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire ».

(Condorcet / 1743 – 1794)

« Mahomet sans doute proclame L’unité de Dieu : cette vérité est l’essence et le dogme principal de sa religion. Je le reconnais ; mais tout le monde sait qu’il ne l’affirme que d’après Moïse et la tradition juive. L’esprit de Mahomet, ou plutôt son imagination, a fait tous les frais de tous les autres dogmes du Coran, livre plein de confusion et d’obscurité, d’un novateur passionné qui se tourmente pour résoudre avec le génie des questions qui sont plus hautes que le génie ; et il n’aboutit vraiment qu’à des turpitudes ! Tant il est vrai qu’il n’est donné à personne, même à un grand homme, de rien dire de satisfaisant sur Dieu, le paradis et la vie future, si Dieu ne l’en instruit lui-même préalablement ! ».

« Aussi Mahomet n’est vrai qu’autant qu’il s’appuie sur la Bible et sur le sentiment inné de la croyance en Dieu ».

« Pour tout le reste, le Coran n’est vraiment qu’un système hardi de domination, d’envahissement politique ».

« Partout l’homme ambitieux se montre à découvert dans Mahomet. Vil flatteur de toutes les passions les plus chères au cœur de l’homme, comme il caresse la chair ! quelle large part il fait à la sensualité ! »


« Est-ce vers la vérité de Dieu qu’il veut entraîner l’Arabe, ou vers la séduction de toutes les jouissances permises dans cette vie, et promises comme l’espoir et la récompense de l’autre ? ».

« Il fallait enlever un peuple ; l’appel aux passions fut nécessaire, à la bonne heure ! Il a réussi ; mais la cause de son triomphe sera la cause de sa ruine. Tôt ou tard le croissant disparaîtra de la scène du monde, et la croix y demeurera ! ».

« Le sensualisme tue en définitive les nations aussi bien que les individus qui ont la folie d’en faire la base de leur existence ».

« De plus, ce faux prophète s’adresse à une seule nation, et il a senti le besoin de jouer deux rôles, le rôle politique et le rôle religieux. Il a effectivement conquis et il possède toute la puissance du premier. Pour le second, s’il en a eu le prestige, il n’en a pas eu la réalité. Jamais il n’a donné de preuves de la divinité de sa mission. Une ou deux fois il veut s’étayer d’un miracle, et il échoue honteusement. Personne ne croit à ses miracles, parce que Mahomet n’y croyait pas lui-même ; ce qui prouve qu’il n’est pas aussi aisé qu’on se l’imagine d’en imposer sous ce rapport ».

« Si le titre d’imposteur s’accole facilement au nom de Mahomet, il répugne tellement avec celui du Christ, que je ne crois pas qu’aucun ennemi du christianisme ait jamais osé l’en flétrir ».

(Napoléon / 1769 – 1821)

« Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. »

(Chateaubriand / 1768 – 1848)

« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. Je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde »

(Arthur Schopenhauer / 1788 – 1860)

« Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte »

(Alfred de Vigny / 1797 – 1863)

« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cour du côté de l’intérieur de la famille » « J’ai beaucoup étudié le Coran. Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman. Je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès »

(Alexis de Tocqueville / 1805 – 1859)

« Celui qui prétend être le prophète d’Allah devrait avoir des lettres de créances, c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu »

(Monseigneur Louis Pavy – Évêque d’Alger / 1805 – 1866)

« Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise la Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme »

(Gustave Flaubert / 1821 – 1880)

« L’islam est contraire à l’esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l’esprit. »
« Mahomet nous apparaît comme un homme doux, sensible, fidèle, exempt de haine. Rien de moins ressemblant à cet ambitieux machiavélique et sans cour. »
« Toute sa conduite dément le caractère entreprenant, audacieux, qu’on est convenu de lui attribuer. Il se montre habituellement faible, irrésolu, peu sûr de lui-même. M. Weil va jusqu’à le traiter de poltron ; il est certain qu’en général il avançait timidement et résistait presque toujours à l’entraînement de ceux qui l’accompagnaient. Ses précautions dans les batailles étaient peu dignes d’un prophète. »
« Le plus mauvais état social, à ce point de vue, c’est l’état théocratique, comme l’islamisme et l’ancien Etat pontifical, où le dogme règne directement d’une manière absolue. »
« L’islamisme ne peut exister que comme religion officielle; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, c’est la religion excluant l’État. »
« Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’Islam est la plus complète négation de l’Europe; l’Islam est le fanatisme »
« L’Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile; c’est l’épouvantable simplicité de l’esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à toute recherche rationnelle, pour le mettre en face d’une éternelle tautologie : Dieu est Dieu… »

(Joseph Ernest Renan / 1823 – 1892)

« Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? D’une manière générale, non. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non-musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non-musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve. »

(Charles de Foucauld / 1858 – 1916)

« Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis. »

(Hermann von Keyserling / 1880-1946)

« Les nazis sont les meilleurs amis de l’islam. »

(Le grand Mufti de Jérusalem en 1943)

« Je n’ai rien contre l’Islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. »

(Heinrich Himmler – Reichführer SS / 1900 – 1945)

« Mais pourquoi nos femmes s’affublent-elles encore d’un voile pour se masquer le visage, et se détournent-elles à la vue d’un homme ? Cela est-il digne d’un peuple civilisé ? Camarades, nos femmes ne sont-elles pas des êtres humains, doués de raison comme nous ? Qu’elles montrent leur face sans crainte, et que leurs yeux n’aient pas peur de regarder le monde ! Une nation avide de progrès ne saurait ignorer la moitié de son peuple ! » « Vous venez me parler des avantages que nous a valu notre conversion à l’Islam, et moi je vous dis : regardez ce qu’elle nous a coutée ! »  « L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. »

(Mustapha Kemal Atatürk / 1881 – 1938)

« L’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles. Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde. Si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la Science, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique. »

(Winston Churchill / 1874 – 1965)

« Des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront pour le conquérir, et ils le feront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre fécond de nos femmes qui nous donnera la victoire. »

(Houari Boumedienne)

« Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats. »

(Erdogan – Président de la Turquie)

« Je ne vois aucune différence entre islam et islamisme.  L’islam est défini comme étant la soumission à la volonté d’Allah, telle qu’elle est décrite dans le Coran.  L’islamisme c’est juste l’islam dans sa forme la plus pure. »
« Une femme occidentale n’est pas la propriété de son père ou de son frère.  Elle est juste elle-même.  Elle peut choisir son style de vie.  Mais dans une famille musulmane, l’honneur d’un homme est entre les jambes d’une femme. »


(Ayaan Hirsi Ali)

« L’islam ne pouvait naître que dans un désert stupide, au milieu de bédouins crasseux qui n’avaient rien d’autre à faire – pardonnez moi – que d’enculer leurs chameaux »

(Michel Houellebecq)

Et enfin, voici pour la bonne bouche les réflexions d’un grand écrivain et homme politique français, paru dans l’hebdomadaire américain Time…

« C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis «musulmane» je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard ! Les «misérables» ont d’ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendns pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution. »

André Malraux, 3 juin 1956.

Cet entretien est donc paru il y a plus de 60 ans ! Visionnaire et prophétique, Malraux ? Sans aucun doute ! Mais que dire de ceux qui, aujourd’hui, refusent encore l’évidence ?
Source Institut Charles de Gaulle. Valeurs Actuelles, n° 3395.
Cité sur 
malraux.org