LES ISLAMISTES RELANCENT L’ESCLAVAGE EN FRANCE DANS LES « NO-GO-ZONES »

La nature nous a ainsi faits que nous ne nous sentons vraiment bien que dans le réflexe inné du regroupement par affinités dans les mœurs, les us et coutumes, les idées, la religion et les caractéristiques physiques. Cela commence par le couple, le couple s’élargit en famille formée du couple et de ses enfants, la famille en clan avec la vie en communauté de tous ceux qui ont un lien par le sang, le clan en tribu associant plusieurs clans mais toujours dans le cadre très strict d’une loi commune sous l’autorité d’un chef conseillé par les “anciens” c’est-à-dire les plus âgés ou expérimentés, la tribu en nation où l’on retrouve tous ceux qui se reconnaissent dans leurs us et coutumes liées par la langue et la religion, la nation en peuple où ne subsiste qu’un lien celui du droit, le peuple en société qui tente de faire cohabiter plusieurs peuples ou nations dans la paix.

Plus on monte dans cette hiérarchie, plus les choses sont compliquées, on le voit avec l’échec de la Société Des Nations, suivi de celui de plus en plus patent de l’Organisation des Nations Unies qu’il eut mieux valu nommer “Société des Peuples Unis” puisque le premier article de sa charte est ainsi rédigé : « Développer entre les nations des relations amicales fondées sur le respect du principe de l’égalité de droits des peuples et de leur droit à disposer d’eux-mêmes, et prendre toutes autres mesures propres à consolider la paix du monde. »

images-2

Entrée d’un quartier arabe de Paris, ici Barbès. Les Blancs sont filtrés, l’entrée des véhicules de police interdite de fait, tous les trafics, y compris celui d’être humains peuvent se faire en toute tranquillité.
Ces barrières sont posées aux heures de prière, un alibi commode.

La difficulté d’arriver à une entente globale est due au fait que le vieux réflexe écologique du regroupement par affinités resurgit partout et sans cesse dans les comportements sociaux. On le constate dans les quartiers où se regroupent les bourgeois socialistes, ceux de plus en plus rares où se retrouvent les ouvriers, ceux où se reconstituent des tribus, les Africains avec les Africains, les Arabes avec les Arabes, les Juifs avec les Juifs, les Chinois avec les Chinois. Exactement comme on voit les hirondelles avec les hirondelles, les loups avec les loups ou les éléphants en clans familiaux où les jeunes mâles “étrangers” ne se font adopter qu’après avoir montré leur soumission au chef qui les autorise à séduire une femelle.

Le plus étonnant est que ce que l’on appelle “la communauté internationale” adopte facilement les mêmes comportements grégaires et les tolère, les encourage et parfois va jusqu’à les forcer. Comment apprécier autrement le don fait par l’OTAN, à coups de bombardements, du Kosovo chrétien et serbe aux Albanais musulmans qui se sont empressés d’en chasser ses premiers et légitimes habitants ?

images

Au Kosovo, églises et monastères coptes qui ne sont pas cernés de barbelés et protégés par la force internationale (toujours présente) sont brûlés ou détruits, les mosquées fleurissent, les Serbes autrefois majoritaires survivent sous protection militaire.

Curieuse façon de détricoter le vivre ensemble imposé par le régime socialiste dictatorial de Tito  aux Serbes, en les forçant à accueillir les immigrants albanais qui fuyaient le régime communiste totalitaire d’Enver Hodja, sous prétexte de solidarité socialiste. Il est vrai que l’objectif recherché par les États-Unis en faisant cadeau du Kosovo aux Albanais était déjà d’enfoncer un pieu islamique au cœur de l’Europe chrétienne pour l’affaiblir, une Europe dont les Anglo-saxons sont le meilleur ennemi, comme l’a rappelé François Mitterrand en 1995. On est en fait d’un schéma identique mais symétrique de celui de 1948 quand l’ONU a donné aux juifs un morceau de la Palestine colonisée et islamisée pour enfoncer un pieu au cœur de la nation arabe.

En quelques années le Kosovo est devenu un ghetto musulman et mafieux, comme on en trouve dans les cités entourant nos grandes villes, voire au cœur même des grandes villes, où on les appelle “zones de non-droit” ou “quartiers sensibles”. Ces “no-go-zones” fonctionnent en quasi autarcie, vivent de la délinquance, des trafics de drogue, d’armes et de subventions, sont gouvernées ou fortement influencées par les lois islamiques. Les autorités en reconnaissent environ 750 en France. Le premier ministre les dénonce et les appelle “ghettos”, mais son gouvernement, s’il ne fait rien pour en encourager la formation ne fait rien d’efficace non plus pour l’empêcher.

images-1

Le pire, est que dans ces zones de non-droit où police, pompiers et services sociaux ont du mal à pénétrer sans une protection quasi militaire, se redéveloppe lentement un phénomène inhérent à l’islam que les autorités ignorent totalement parce qu’elles ne veulent pas le voir ni le savoir, allant jusqu’à légiférer pour interdire que l’on en parle (loi Taubira sur la traite Atlantique) « afin de ne pas faire porter aux jeunes des cités le poids des crimes de leurs pères » : l’esclavage des  Africains noirs par les Arabes musulmans.

Bien que l’anthropologue algérien Malek Chebel dénonce l’existence dans les quartiers d’un esclavage déjà massif” des Noirs par les musulmans, cela ne semble concerner encore que peu d’individus, principalement des fillettes d’origine africaine.

Mais c’est un fait dont il vaudrait mieux prendre conscience et s’occuper pour l’éradiquer tout de suite par des sanctions exemplaires, plutôt que d’attendre en fermant les yeux qu’il se développe.

« Adoptant une stratégie marketing ciblant les personnes de couleur noire, des prédicateurs professionnels instrumentalisent massivement l’esclavage, soit dans les quartiers, soit par internet, pour convertir à l’islam, en en rendant le christianisme responsable et en niant l’ampleur et même l’existence de la traite arabo-musulmane. Alors que cette traite est unanimement reconnue par les historiens, ils traitent de “menteurs haineux” ou de “victimes des sionistes” ceux qui la leur rappellent », dit le professeur Malek Chebel dans une vidéo très longue, de plus de trois heures, que nos gouvernants feraient bien de consulter, à moins qu’ils ne veuillent faire de nos enfants et petits-enfants, de leurs enfants et petits-enfants, les victimes de cette horreur.

Le “droit des peuples à disposer d’eux-mêmes” est une notion que refusent systématiquement les régimes socialistes et la religion musulmane. L’Arabie Saoudite demande-t-elle au peuple arabe s’il veut moderniser la société en établissant l’égalité hommes-femmes, en supprimant les châtiments corporels et la peine de mort par décapitation, lapidation et crucifixion ? − Non, elle applique la loi islamique dans toute sa rigueur. Le gouvernement français demande-t-il au peuple français s’il veut vivre ensemble avec des étrangers de langue, de mœurs et de religion différentes, s’il veut de la théorie américaine du “genre”, s’il veut être marxifié ? − Non, il impose ses lois scélérates et refuse catégoriquement tout recours au référendum. Écoute-t-il les Français qui à chaque élection intermédiaire lui demandent de partir ? − Non, il s’accroche au pouvoir par tous les moyens juridiques en sa possession.

Ces deux théologies, le socialisme et l’islam, sont d’essence dictatoriale et totalitaire et ne s’en cachent plus, la première, le socialisme en décomposition, veut s’intégrer à la seconde dont il préfère l’esprit de soumission des peuples à la liberté et à la démocratie qu’il prétend défendre dans ses discours, mais qu’il bafoue dans ses actes. Il en a pourtant fallu des siècles aux peuples d’occident pour obtenir la liberté de choisir leur destin, souvent en versant leur sang.

Les révolutionnaires de ’89 doivent faire des sauts dans leurs tombes !

L’Imprécateur

Logo signature