LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE “NON À LA NOMINATION DE CHRISTIANE TAUBIRA AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL !”

IMPORTANT

14 janvier 2016 – 16 h…


Mes chers Compatriotes,


Cette lettre ouverte vient d’être transformée en pétition officielle sur le site change.org.

Vous la trouverez en cliquant sur le lien ci-dessous

https://www.change.org/p/m-le-président-de-la-république-m-le-président-de-l-assemblée-nationale-non-a-la-nomination-de-christiane-taubira-au-conseil-constitutionnel

Soyez nombreux à la signer et à la diffuser par tous les moyens possibles à votre réseau (mails, réseaux sociaux, etc…).

Nous devons absolument empêcher Hollande (ou Bartolone) de nommer Christiane Taubira au Conseil Constitutionnel ! 

Ce n’est certes pour l’instant qu’une rumeur. Insistante. Mais si elle est, comme nous le craignons, un ballon d’essai pour “sentir les réactions de l’opinion”, il faut faire vite pour tenter d’étouffer dans l’œuf le processus de nomination qui pourrait être enclenché dans les jours qui viennent si personne ne bouge

En portant ce projet − et ses motivations profondes − sur la place publique, nous avons quelques chances de faire reculer François Hollande et Claude Bartolone (lequel ne devrait d’ailleurs même plus sièger à la présidence de l’Assemblée Nationale après son échec aux régionales !) 

S’ils parviennent à mettre à exécution leur projet, Christiane Taubira sera élue pour 9 ans au Conseil Constitutionnel, garant de la constitutionnalité des Lois de la République, sans qu’il soit possible de mettre un terme à ce mandat avant son échéance, c’est à dire en 2025 !

Ne vous laissez pas enfumer par le gouvernement et ses sbires médiatiques.
Le Minotaure évoque certes la nomination de Laurent Fabius mais le Conseil Constitutionnel est composé de 9 membres, nommés pour 9 ans, et renouvelables par tiers tous les 3 ans.
Il s’agit donc bien de 3 membres qui vont être nommés prochainement, par le Président de la République, le Président du Sénat et le Président de l’Assemblée Nationale, donc 2 par la gauche puisque le Sénat est présidé par Gérard Larcher.

Fabius, peut-être… Mais qui d’autre ?
A l’affût, Taubira attend son heure…
Déjouons ensemble ce complot contre la France ! 

Marc Le Stahler

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NON À LA NOMINATION DE CHRISTIANE TAUBIRA AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL !

Christiane Taubira et Elie Domota, porte-parole du LKP, leader syndicaliste et indépendantiste guadeloupéen, lors de la grande grève générale de 2009.

Monsieur le Président de la République,

Ancienne activiste indépendantiste guyanaise, unanimement critiquée pour son laxisme judiciaire en cette période dramatique pour la France, candidate aux Régionales à Cayenne sur une liste qui n’a réuni que 7% de suffrages, la Garde des Sceaux vient de se faire remarquer par son opposition (proclamée en territoire étranger) au projet de déchéance de nationalité pour les criminels terroristes binationaux (annoncé par vous en Congrès à Versailles le 16 novembre 2015).
Maintenir en fonctions une ministre ayant clairement manifesté son désaccord de fond sur une réforme constitutionnelle initiée par le chef de l’État, projet qu’elle sera, de plus, chargée de défendre au Parlement, est difficilement compréhensible et même contraire aux usages et à la déontologie gouvernementale.
Sauf si l’on considère que les 2,3% de suffrages obtenus par la candidate Taubira aux élections présidentielles de 2002 ont fait chuter Lionel Jospin dès le 1er tour… En pleine pré-campagne pour votre réélection, vous préférez peut-être − c’est humain − ne pas courir ce genre de risque…
Quelques « fuites » savamment organisées laissent entendre depuis quelques semaines que Mme Christiane Taubira serait prochainement nommée par vous au Conseil Constitutionnel lors du prochain renouvellement de 3 de ses membres.
Elle pourrait ainsi prendre la présidence de cette institution majeure de la République, à l’occasion du départ de Jean Louis Debré.
Après quatre années de gouvernance socialiste avec les résultats que l’on sait,  cette funeste nomination pourrait être considérée comme une provocation par le peuple français, éreinté politiquement, économiquement, fiscalement, socialement et blessé  dans sa chair à deux reprises en 2015, en plein cœur de Paris. Considérée par nos compatriotes comme une atteinte majeure aux intérêts suprêmes du pays, cette nomination pourrait contribuer à détruire le fragile équilibre sur lequel repose encore l’unité de la France.
En conséquence, Monsieur le Président de la République, nous vous demandons expressément (si telles étaient réellement vos intentions) de surseoir à cette inacceptable et très dangereuse nomination.

Marc Le Stahler

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