DES IDENTITAIRES ACHARNÉS

Chaque fois « qu’un Petit Blanc » (comme les qualifient désormais nos medias avec dédain), entendez par là un « Gaulois », un « beauf », un « Français de souche » donc un « facho », un « pétainiste » ou tout autre électeur du FN, exprime la moindre critique sur l’islam ou les communautés d’où il prend son envol, ou simplement chaque fois que ce « Petit Blanc » expose son désaccord avec la situation pitoyable ou se trouve cette nation, il est immédiatement qualifié de « réactionnaire », de « nationaliste », d’« identitaire », donc de « raciste » irrémédiablement porteur d’ idéologies nauséabondes. Ça, c’est le refrain habituel depuis des décennies, le fait est coutumier.

Or, dès qu’il s’agit d’exigences communautaristes, qui sous couvert de religion ne sont la plupart du temps que des manifestations identitaires à rebours, la perception n’est plus du tout la même. Pourtant, qu’est ce qui peut bien différencier un identitaire « de souche » d’un identitaire « du bled » ? Car il s’agit bien de cela. En empiétant jour après jour sur la laïcité, les mœurs, les droits de la femme et la république, les populations issues de la diversité ne font qu’exprimer et revendiquer haut et fort leur identité cultuelle et culturelle, comme tout identitaire le ferait ! Sauf que le « MAUVAIS IDENTITAIRE » est quant à lui dans son pays, tandis que le « BON IDENTITAIRE » n’y vit que depuis peu… Les propos de Juppette (Juppé) illustrent superbement le cas lorsqu’il déclare « qu’on ne peut pas demander aux immigrés d’oublier ou de renier leur vie d’avant et leur identité propre »… Les Français de souche quant à eux doivent bien entendu se soumettre aux exigences de ces communautés et oublier leurs traditions et modes de vies occidentaux, sous peine « d’incitation à la haine » ou de xénophobie.

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Pourtant, défendant avec acharnement leur « droit à la différence », qui donc est le plus identitaire en France ? En effet, ils ont leurs langues (maîtrisant imparfaitement le Français si tant est qu’ils le parlent), leur vêture (port du voile envahissant l’espace publique, polémique du burkini et de la burka), leur alimentation (halal, imposé jusque dans la moindre superette), leurs quartiers (et autres territoires perdus de la république, sans parler des innombrables ilots communautaires qui pullulent et croissent dans chaque région, ville et village), leurs us et coutumes (souvent sous couvert de religion, pour reproduire le mode de vie oriental au sein de la république), leurs boutiques et commerces (exemple typique : la superette de Colombes ne vendant ni porc ni alcool, une parmi des centaines), leurs mariages (forcés ou non, avec des mineurs, la polygamie), leurs droits de la femme (contraires aux valeurs et lois de la république), leurs écoles et même leurs autoécoles (non mixtes et réservées aux femmes « musulmanes », comme à ville franche), leurs ennemis jurés (les juifs) et autres mécréants (tout non-musulman : nous tous), leur histoire (leur version victimaire de celle-ci : esclavagisme, colonialisme, ghettoïsation, racisme, etc.), leurs horaires de piscine ou exigences communautaristes dans les hôpitaux (sans contact avec les mécréants), leurs plages privés (ou tentatives de privatisation comme en Corse ou sur n’importe qu’elle plage infestée de burkinis ou de femmes voilées), leurs lieux de culte (la rue étant à défaut un endroit de prière toujours toléré par un pouvoir pusillanime, laxiste ou complice)…

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Bref, sous couvert de vivre en toute liberté démocratique leur religion, celle-ci sert depuis longtemps de prétexte pour imposer jour après jour autant de revendications nationalistes (islamistes), communautaires et identitaires pour reconstruire chez nous un mode de vie qui jusque-là y avait échappé, et ce avec un acharnement total et la complaisance absolue des pouvoirs et des medias, bien entendu.

Pouvoirs qui se refusent à voir que leurs valeurs sont en tout et pour tout incompatibles avec les nôtres, et qu’elles le seront toujours ! Et comme la frontière entre coutumes, communautarisme et islam est extrêmement floue et ambiguë, il y aura toujours des imbéciles pour crier à « l’islamophobie » chaque fois que quelqu’un essayera de remettre en cause un tel état de fait. Je l’ai déjà dit et je le répète : Le « vivre ensemble » se limite dans un premier temps a « vivre avec eux » pour bientôt (et déjà) « vivre comme eux ». Mais exprimer ces réalités est devenu un crime d’état… et tenter de dénoncer ces dérives communautaristes n’entre plus dans le cadre de la liberté d’expression, car selon le législateur : la diffamation raciale et la provocation à la haine raciale font partie des infractions qui, par leur extrême gravité, font l’objet d’un régime spécial, limitant la liberté d’expression.

Voilà où nous en sommes, malgré tant d’avertissements et ce depuis des décennies déjà… Quand donc les Français comprendront-ils enfin dans quel pétrin (et pas quel dans quel Pétain) ils se sont fourrés ?

Reste la solution : 2017 !

Tour-effeil-

Voire… Les politiciens, de quelque bord qu’ils soient (admettons que certaines et certains partagent nos valeurs et entendent les défendre vivement, bec et ongles) auront-ils assez de force, assez d’appuis dans la population et assez de « munitions légales » pour repousser les assauts incessants des cafards de la bienpensance ?

Ou bien, sans jouer systématiquement les Matamore, nous faudra-t-il user de « munitions létales » pour faire respecter et imposer notre droit de vivre ?

Nos populations européennes sont atteintes d’un SIDA intellectuel qui les prive peu à peu de leurs défenses immunitaires.

Reste une quadrithérapie dont je vous laisse imaginer quelle est la dernière composante…

Ce texte a été suggéré par un ami anonyme et complété par Votre Serviteur.
LS