FINANCEMENT DE LA MAFIA CLINTON : LA FRANCE AUSSI !
(L’Imprécateur)

Pendant que la France a les yeux rivés sur les primaires et l’aveu récent d’échec de son président, le Trump-bashing a repris de plus belle, un peu partout.

Hier, c’était la Chine qui accusait Donald Trump de vouloir remettre en cause l’entente internationale sur la non-dénonciation des acquis coloniaux récents de la Chine communiste. Trump a osé remercier la Présidente taïwanaise des félicitations qu’elle lui a adressées pour son succès à la présidentielle américaine. « Il n’y a qu’une Chine » ont rappelé les Chinois. Il est donc interdit, sous peine de menace de rupture des relations diplomatiques et commerciales, de contester de quelque manière que ce soit la “chinoisitude” de Taïwan comme l’aurait pu dire Bécassine, mais aussi du Tibet (conquis en 1959), de la Mongolie (1947), de la Mandchourie (1949) ou du Sinkiang ouïgour (1955).

En Europe, ce sont des relais médiatiques appuyés qui ont donné a un soupçon d’erreurs dans les comptages de bulletins dans certains états américains qui, selon les démocrates, auraient privé Hillary Clinton de sa victoire.

En revanche, grand silence sur le scandale révélé par la presse allemande concernant le financement de la campagne de Clinton par des subventions publiques allemandes.

Même chose en France où nos impôts ont aussi servi à financer Clinton (voir plus bas). Là, c’est le black-out quasi-total (excepté sur quelques sites de réinformation que Cazeneuve et Valls aimeraient fermer le plus vite possible).

Les contribuables allemands ont d’abord appris que l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ) avait viré 2,4 millions d’euros à la “Fondation Bill, Hillary et Chelsea Clinton”. Puis, que le Ministère fédéral de l’Environnement a participé lui aussi à son financement à hauteur de 4,5 millions d’euros. Un journaliste, Tilo Jung, en avait parlé dès mai 2016, mais à l’époque aucune réaction n’avait suivi : Clinton n’était pas encore élue. Ce financement illégal, qu’il devenait impossible de garder sous silence en raison de multiples fuites sur les réseaux sociaux, n’a été médiatisé qu’après l’élection. Il semblerait que les journalistes allemands de la presse dominante ou “mainstream” (1) n’aient pas voulu aller à l’encontre de la grande sympathie portée à Hillary Clinton et à la détestation concertée de Trump.

Bien évidemment, l’Agence allemande de coopération internationale et le Ministère fédéral de l’Environnement ont tenté de se justifier. Selon eux, l’argent versé à la Fondation Clinton était destiné à des projets concrets et non pas au financement de la campagne électorale d’Hillary Clinton.

  • Le Ministère de l’Environnement a expliqué qu’il s’agissait du financement de deux projets écologiques en Afrique de l’Est réalisés par la Fondation dans le cadre de l’Initiative internationale pour le climat (IKI).
  • De son côté, l’agence de coopération internationale GIZ a publié un communiqué affirmant qu’il s’agissait d’une contribution versée à un projet humanitaire au Malawi et que l’agence a participé à ce projet de concert avec Clinton Development Initiative (CDI) sur l’instruction du Ministère fédéral de la Coopération économique.

Admettons… Mais l’argent a été donné précisément lors de la phase clé de la campagne électorale où Hillary voyait sa popularité baisser alors que celle de Trump montait, et non il y a deux ou dix ans. Il est clair pour toute personne possédant un minimum d’honnêteté et de conscience politique qu’on ne donne pas de l’argent à un tel moment et à une telle fondation politico-familiale.

Les “marraines” de la mafia Clinton

clinton-hilaryMais que sait-on de ce que devient l’argent versé aux Clinton ? C’était jusqu’ici un grand mystère tant la gestion et les comptes de la Fondation, de ses filiales et de ses organismes satellites sont opaques. D’ailleurs, l’Allemagne n’est pas la seule épinglée dans cette affaire du financement occulte de la campagne d’Hillary Clinton.

Aux États-Unis même, une enquête du journal Politico, basée sur des documents reçus par l’Administration des services généraux (GSA), apporte de nouvelles preuves que, pour la famille Clinton, il n’y avait pas de limites claires entre leur Fondation “à but non-lucratif”, leurs comptes en banque personnels, le poste de Secrétaire d’État d’Hillary et les relations d’affaires de Bill.

Par exemple, la loi sur l’entretien des anciens Présidents américains prévoit que le gouvernement peut leur verser des sommes qui ne sont pas précisément définies puisque votées à chaque budget, mais il est convenu qu’elles doivent être équitablement réparties entre les anciens Présidents. En fait, les partisans de Clinton au sein de la GSA (13 fonctionnaires sur 22) validaient les grosses sommes demandées par Bill et envoyaient l’argent des contribuables à la Fondation, au total 16 millions de dollars entre 2001 − date à laquelle Bill a quitté la présidence − et 2016.

Financement étranger illégal

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La Fondation Clinton a recueilli un don de 12 millions de dollars de la part du Roi du Maroc, selon une série d’e-mails diffusés le 20 octobre par le site WikiLeaks. D’après le site d’information américain The Daily Caller, Hillary Clinton s’est « arrangée pour obtenir un don de 12 millions de dollars de la part du roi du Maroc Mohammed VI » afin de financer son ONG, la Fondation Clinton.

Venant de l’étranger, les financements alloués aux Clinton viennent majoritairement d’Arabie saoudite. « Elle a versé plus de 20% du coût de la campagne d’Hillary Clinton », soit environ 70 millions de $ (2), a déclaré dimanche dernier le prince Mohammed ben Salman cité par l’agence jordanienne Petra. Celle-ci déclare aussi que la Fondation Clinton avait accepté des dizaines de millions de dollars de pays que le département d’État des USA accusait de violations des droits de l’homme alors que Mme Clinton était chef de la diplomatie américaine. Cette déclaration a vite été supprimée du site Web de l’agence. Mais… pas de chance pour Clinton, un instantané de la version originale arabe a été republié par l’Institut pour les affaires du Golfe basé à Washington. Curieux, mais le prince Ben Salman a expliqué que « certaines forces influentes dans le pays n’ont pas un regard positif sur le soutien de la candidate [par l’Arabie] parce qu’elle est une femme ».

Or, il est illégal aux États-Unis pour les candidats à la présidentielle d’accepter des financements de gouvernements étrangers. Hillary s’en moquait, c’était d’ailleurs une part essentielle des mails qu’elle a effacés.

Dans une enquête fiscale sur l’année 2008, La Fondation Clinton a du reconnaitre qu’elle avait accepté 25 millions de dollars de l’Arabie pour la seule année 2008.

En 2016, les gouvernements étrangers qui ont donné de l’argent aux Clinton pour l’élection d’Hillary sont la Norvège, le Koweït, le Qatar, Brunei, Oman, l’Italie et la Jamaïque, qui ont versé ensemble environ 20 millions de dollars.

Et la France ?

La France − c’est encore mieux − a organisé un prélèvement fiscal obligatoire sur les Français qualifiés de “riches” (ceux qui prennent l’avion !) par une taxe sur les billets qui alimente les caisses des Clinton, une famille à côté de laquelle les familles de la mafia italienne, les Gambino, Bonanno, Colombo, Lucchese et Genovese, font figure d’enfants de chœur !

La “famille” Clinton

imgresPhilippe Douste-Blazy après qu’il ait quitté la politique française a reçu en 2006 la visite de Bill Clinton. Celui-ci l’a convaincu de faire financer des actions humanitaires par une taxe sur les billets d’avions. Douste-Blazy a usé de son influence sur l’UMP pour la faire voter par la France. Elle va de 4 à 45 euros environ par billet selon la longueur du trajet et la classe utilisée (3).

En remerciement, Bill Clinton est intervenu pour qu’en 2007 Douste-Blazy soit nommé Conseiller Spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies et Président d’UNITAID, une agence de l’ONU. Ces postes en font un fonctionnaire international exonéré d’impôts. Ce fut un échange de bons et fructueux procédés ! Les fonds collectés en France sur le dos des contribuables qui voyagent sont versés à UNITAID qui les reverse à la Fondation Clinton.

Impossible de savoir combien de millions d’euros ont été versés aux Clinton. Sapin, Macron, Moscovici, etc. sont muets comme des carpes.

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Ceux qui se souviennent du scandale de l’ARC (4) en 1996, Association pour la Recherche sur le Cancer, transformée en Fondation en 2012, comprendront tout de suite comment fonctionne la Fondation Clinton.

Une grosse partie des fonds sert en premier lieu à payer le personnel, les voitures, hélicoptères et logements de fonctions, les voyages, les frais de représentation et les indemnités des dirigeants. Du solde, entre 30 et 60% suivant les cas sont versés aux filiales “opérationnelles” de la Fondation pour le financement des opérations extérieures (essentiellement du développement en Afrique).

Selon le même cycle, d’abord payer le personnel américain et local, les moyens techniques et les indemnités de fonction des dirigeants, etc.

Avant de lancer une opération, la Fondation exige des “fournisseurs” que la totalité du budget prévu soit versée six mois avant le lancement effectif. Pendant ce temps d’attente, les capitaux sont placés et rapportent des intérêts aux Clinton. Finalement, environ 15% arrivent réellement sur le terrain (les paysans africains) après bien sûr, que les deux-tiers environ de ces 15% aient été au passage prélevés par des dirigeants africains corrompus !

Selon Peter Schweizer, président américain de l’Institut de la responsabilité du gouvernement (Government Accountability Institute), seulement 6% des financements Clinton arrivent à leur destinataire final africain, bien moins que ce qui a été prélevé pour le financement de la campagne politique d’Hillay et le train de vie fastueux de la famille Clinton.

Le gouvernement français nous a taxé pour financer ces ordures !

Quel homme politique osera remettre en question ce fonctionnement mafieux de beaucoup d’organisations “à but humanitaire”, puisque ceux qui en profitent sont aussi, souvent, ceux qui financent ainsi une partie de leurs campagnes électorales ?

L’Imprécateur


(1) Mainstream = courant dominant sur l’actualité politique ou les modes.
(2) Pour échouer, Hillary Clinton a dépensé 281 millions de $. Pour réussir, Trump en a dépensé 56, soit 5 fois moins (source New York Times).
(3) Rappelons que cette taxe (dite “taxe Chirac de solidarité”), votée par 30 pays, n’est en fait appliquée que par 9 d’entre eux, dont la France, seul pays européen et qui représente… 70 % du total de la contribution !
(4) Le président Jacques Crozemarie faisait payer toutes ses dépenses par les fournisseurs de l’ARC. Il payait toujours un petit quelque chose. Pour le chemin d’accès de sa maison, il payait 14.943 Francs, les fournisseurs de l’ARC, 403.240 Francs. Pour la piscine, il faisait un chèque de 10.616 Francs, quand les fournisseurs alignaient 119.785 Francs, et ainsi de suite pour la climatisation, la plantation d’un verger, l’installation d’une antenne motorisée et d’un vidéo projecteur, ses voitures… L’ARC payait ses villas, il les revendait : une agence de voyages achetait la villa de Rians, un laboratoire celle de Bandol, une caisse noire en Suisse servait à payer la troisième, etc.
Crozemarie a fait de la prison.
Les Clinton en feront-ils ?

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