En réaction aux mensonges de pseudo-sociologues de services publics devenus des officines gauchistes, prétendant que la France est devenue en quelques décennies un pays tranquille et serein, voici la liste impressionnante d’exactions de toutes sortes que publie l’excellent hebdomadaire Valeurs Actuelles (merci à Didier H. qui nous a signalé cet article).
Ce ne sont plus des “jeunes de quartiers défavorisés”, ce ne sont plus des “incivilités”, ce ne sont plus des “faits divers”. C’est le prélude à une guerre civile ethnique qui risque de déferler et de ravager la France pendant une longue période.
Jusqu’à ce qu’une équipe solide y mette un terme.Marc Le Stahler
Cet article est paru le 29 août dans l’hebdomadaire “Valeurs Actuelles”
Depuis deux mois, une vague d’ensauvagement déferle sur le pays et ses honnêtes citoyens.
Zoom sur l’enfer quotidien des Français.
JUIN 2020
20 juin.
En ce premier jour d’été, sanglant, un homme est poignardé dans le thorax pour une simple histoire de téléphone portable à Toulouse. Un autre est tué à l’arme blanche à Belfort.
Et un troisième reçoit sept coups de couteau pour une embrouille de bar à Épinal.
21 juin.
Roués de coups pour avoir protégé des victimes contre leurs quatre agresseurs : c’est ce qui est arrivé à ces trois hommes, à Nantes, venus en aide à des jeunes filles assaillies par des voyous.
22 juin.
Plusieurs détonations sont entendues dans le quartier Saint-Martin, à Montpellier. Un homme est tué par balles après avoir été tabassé. Quelques heures plus tard, un policier repart avec 40 points de suture à l’issue d’une violente rixe communautaire à Saint-Omer.
23 juin.
Au McDonald’s d’Agde, une quinzaine de personnes refusent de respecter les règles sanitaires. Un équipier et un manager leur demandent de suivre les consignes de l’établissement. Le ton monte aussitôt. Les deux employés sont frappés à coups de poing et de pied.
24 juin.
Un deux-roues fait un rodéo sauvage dans les rues de Vaulx-en-Velin. Quand soudain, un enfant de 5 ans qui traverse, est percuté par un motard. L’enfant est plongé dans le coma. Le chauffard, après avoir pris la fuite, se rendra finalement le lendemain.
25 juin.
« Il m’a demandé de mettre la tête sur une pierre. J’ai mis le front avant de me dégager ». À Camaret-sur-Mer, un homme de 28 ans agresse sa petite amie mineure de 17 ans. Après lui avoir porté plusieurs coups de couteau, il tente de reproduire sur le trottoir la scène du film American History X. Il sera condamné à seulement dix-huit mois de prison ferme.
26 juin.
Nouvelle journée sanglante. À Bordeaux, un homme est poignardé plusieurs fois.
À Paris, un autre est abattu à la sortie d’un snack, où neuf douilles sont retrouvées au sol par la police.
À Roubaix, enfin, l’employé d’un Carrefour City reçoit une balle au cours d’une rixe.
27 juin.
En attendant paisiblement son tramway à Bordeaux, un homme se voit proposer du cannabis par deux SDF. Il décline. Les deux sans-abris le frappent avec des planches.
28 juin.
“Bonjour, auriez-vous une cigarette ?” À Montpellier, comme partout en France, la question revient sans cesse. Ce jour-là, un jeune homme refuse. Il est poignardé à trois reprises.
29 juin.
Vingt points de suture, dont quatre internes. Caroline, étudiante à Bordeaux, reçoit neuf coups de couteau d’un migrant libyen clandestin, dans sa voiture, stationnée fenêtre ouverte.
30 juin.
Un individu, faisant pourtant l’objet d’une obligation de quitter le territoire national, poignarde un policier, à Bordeaux. L’agresseur immigré écope d’un… simple rappel à la loi.
À Montpellier, il se balade, croise une femme et la dévisage. Le conjoint de celle-ci, qui n’apprécie pas le « regard insistant » , lui colle un revolver de calibre 6.35 sur la tempe. Le promeneur est passé à tabac par deux individus qui escortent le compagnon susceptible.
JUILLET 2020
1er juillet.
Se balader la nuit est de plus en plus dangereux. À Rennes, deux jeunes, dont un mineur, ont agressé des femmes afin de voler leurs effets personnels. « On m’a arraché mon sac, une personne à vélo m’a empêchée de lui courir après », raconte une victime.
2 juillet.
En plein XVIIe arrondissement de Paris, deux véhicules de police tombent dans un guet-apens, fomenté par une cinquantaine de racailles. Un agent évite de justesse un tir de mortier.
3 juillet.
Au pied de son immeuble, à Nantes, le père d’un jeune enfant est poignardé au thorax par un voisin. Transporté en urgence à l’hôpital, il décède quelques heures plus tard.
4 juillet.
Mélanie Lemée, gendarme de 25 ans, est mortellement percutée par un chauffard qui refusait d’obtempérer lors d’un contrôle routier à Port-Sainte-Marie. À La Ciotat, quatre Marseillais agressent une bande d’amis à coups de poing et de couteau.
5 juillet.
Philippe Monguillot, chauffeur de bus à Bayonne, est tabassé par des voyous auxquels il avait demandé de porter un masque et de présenter un titre de transport. Le père de famille meurt de ses blessures cinq jours plus tard.
À Clermont-Ferrand, au cours d’une rixe, un jeune homme de 17 ans en poignarde un autre de 20 ans.
6 juillet.
Il s’appelait Bingmian Lin et était gérant d’un bazar chinois nommé Firme République, à Fort-de-France. Vers 9 h 30, il reçoit deux balles dans la poitrine. Cet homme de 49 ans, réputé sans histoires, décède quelques heures plus tard.
7 juillet.
Sur l’île d’ Oléron, un homme entre au domicile d’une dame de 88 ans et l’agresse. Les secours arrivent. La femme nue et blessée est en état de choc. Elle décède d’un arrêt cardiaque quelques heures plus tard.
8 juillet.
Alors qu’il marche dans les rues d’Arles, un homme est poignardé dans le dos, l’aine et l’abdomen. Peu avant, son agresseur avait infligé 14 coups de couteau à un autre passant.
9 juillet.
À Versailles, des jeunes décident de jouer au football malgré le confinement. Au coup de sifflet final, la confrontation tourne à la rixe entre spectateurs, armés de barres de fer, de bâtons et de battes de base-ball. Plusieurs blessés sont pris en charge par les pompiers.
10 juillet.
Au Parc Astérix, à Plailly, une bagarre éclate entre de jeunes voyous et des agents de sécurité pour une histoire de casquette tombée sous les rails d’une attraction. Les trois salariés pris à partie s’en sortent avec une contusion au crâne et des blessures aux côtes.
11 juillet.
“Dites donc, messieurs, pourriez-vous stopper d’uriner contre ce mur ? ” Ni une ni deux, le passant bien élevé est aussitôt poignardé par les malpropres, à Bordeaux.
12 juillet.
Des pétards retentissent vers 2 heures du matin devant un perron à Besançon. Un couple d’habitants demande aux jeunes d’arrêter leurs agissements. Ils récoltent une pluie de coups de pied et de poing. Des côtes et le nez cassés pour le mari, un bras fracturé pour son épouse.
13 juillet.
Trois jours après la mort de Philippe Monguillot, un chauffeur de bus de Martigues rejoint son véhicule personnel après son service, la peur au ventre. Plusieurs individus le tabassent. La victime souffre de blessures à la tête et ses effets personnels lui ont été dérobés.
14 juillet.
Les Sables-d’Olonne ne sont pas une ville où sévit d’habitude la délinquance. Sur le Remblai, 150 jeunes se livrent pourtant à une guérilla inédite. Malgré les violences commises contre les passants et les forces de l’ordre mobilisées, aucun des séditieux n’est interpellé ce jour-là.
15 juillet.
À Saint-Palais-sur-Mer, un homme jette une bouteille sur une voiture de police, se taillade le torse avec du verre et blesse un gardien de la paix en lui mettant les doigts dans les yeux, le tout en hurlant « Allahu akbar » .
16 juillet.
Un homme demande à des parents de calmer leurs bruyants enfants dans une salle d’attente, au Havre. Réponse : le croisant plus tard près du tramway, la mère lui plante des coups de couteau au cou et à la jambe.
17 juillet.
À Montpellier, un couple termine son jogging quand un inconnu s’en prend tout d’un coup à la jeune femme, la frappe et la poignarde. Arrêté quatre fois en l’espace de dix jours, le délinquant récidiviste avait été remis en liberté chaque fois, car malade de la gale !
18 juillet.
À Toulouse, un homme est blessé par balles, tandis qu’à Villeurbanne, un autre est abattu d’une balle en pleine tête.
Enfin, à Bordeaux, un dernier est poignardé près du cœur alors qu’il prend courageusement la défense d’une jeune femme agressée.
19 juillet.
Un homme fonce vers une église du Blanc-Mesnil, armé d’un fusil-mitrailleur chargé et d’un sabre, en hurlant « Allahu akbar » .
À Lyon, une jeune aide-soignante qui promenait son chien, Axelle Dorier, est percutée par une voiture et traînée sur 800 mètres.
20 juillet.
Une petite fille traverse la rue à Aubervilliers. Un chauffard la tue et prend la fuite.
À Alès, un homme pénètre dans une maison vers 5 heures du matin, vole des effets personnels, se dirige vers une chambre et agresse sexuellement une enfant endormie de 7 ans.
21 juillet.
À Nîmes, un homme est poignardé et frappé en pleine rue pour avoir refusé de donner son téléphone à ses agresseurs.
À Poitiers, une conductrice de bus est insultée et menacée par un homme qui refuse de porter un masque.
Et à Metz, une adolescente est agressée par un mineur de 15 ans, qui la frappe pour lui dérober son téléphone.
22 juillet.
Au cours d’un conflit de voisinage, à Chalon-sur-Saône, un homme de 75 ans tue son voisin et blesse grièvement l’épouse de celui-ci et leur fille avant de se suicider.
23 juillet.
Un homme marche tranquillement sur la place des Martyrs à Lyon vers 21 heures. Un adolescent de 16 ans lui demande une cigarette. Après avoir refusé, le passant de 24 ans est aspergé de gaz lacrymogène et reçoit deux coups de couteau.
24 juillet.
Une femme de 40 ans attend le RER B à Cachan avec son bébé dans une poussette quand une jeune femme de 20 ans s’en prend à elle et lui porte des coups. Pis, elle tente de projeter la poussette sur les rails.
25 juillet.
Une fusillade fait un mort et trois blessés à la sortie d’un bar à chicha de Nîmes.
À Montpellier, cinq badauds — dont deux légionnaires en civil qui tentent de protéger des piétons — sont blessés à l’arme blanche par des adolescents, dont un est un migrant, ex-mineur non accompagné.
Un homme est poignardé mortellement lors d’une bagarre à Marseille.
À Nice, deux personnes sont blessées par arme blanche au cours de rixes, et un homme est retrouvé mort dans une cave.
À Limoges, un homme tire plusieurs coups de feu dans un parc pour « impressionner » des jeunes qui embêtaient son fils.
26 juillet.
Macabre découverte au petit matin à Aubenas : le cadavre d’un homme de 36 ans, poignardé à plusieurs reprises, est retrouvé dans la rue.
À Alès, un adolescent de 17 ans et deux de ses amis sont abordés par des individus qui essaient de lui voler sa sacoche et le giflent. La victime, tombée au sol, est tabassée à coups de pied.
27 juillet.
Six mineurs déclenchent des tirs de mortier sur la place du village de Miribel-les-Échelles. Vers 21 heures, le maire décide d’intervenir. Tabassé, il reçoit sept jours d’incapacité temporaire de travail.
28 juillet.
Une femme est égorgée par son ex-compagnon à La Mulatière.
À Bordeaux, un jeune homme de 18 ans, muni d’une sacoche pleine de cannabis, est agressé par deux individus. Il se fait tirer dessus à deux reprises et sa main est sectionnée à la machette.
29 juillet.
Un policier en civil de Pontault-Combault est attaqué avec une bouteille par un homme qui l’a reconnu.
À Carcassonne, deux jeunes enfin sont roués de coups par plusieurs personnes pour avoir demandé à l’une d’elles de ne pas fumer dans le train.
30 juillet.
Saïdou, un adolescent de 15 ans, est poignardé à mort en pleine rue lors d’une rixe à Draveil.
Un chauffeur de bus d’ Orléans demande à un mineur de porter un masque à bord de son véhicule. Il est aussitôt agressé.
Peu avant, c’est un conducteur de tramway de Dijon qui est violemment frappé par deux mineurs pour le même motif.
31 juillet.
En pleine soirée, à Orange, trois individus masqués tabassent un homme de 30 ans, qui a dû être plongé dans un coma artificiel.
Sur la base de loisirs d’ Étampes, une rixe entre 200 racailles éclate : des familles et des jeunes femmes sont harcelées et obligées de quitter les lieux.
AOÛT 2020
1er août.
Trois policiers procèdent à des contrôles à Montpellier. Un scooter, en grand excès de vitesse, accélère et renverse deux agents.
2 août.
À Corbeil-Essonnes, un homme est poignardé pour avoir demandé de faire moins de bruit dans un parc.
Un homme, accompagné de ses deux enfants, demande à un jeune de porter un masque dans une laverie de Soisy-sous-Montmorency. Dans la foulée, le père de famille est violemment tabassé devant ses enfants par plusieurs racailles, appelées en renfort.
3 août.
Secouru à son domicile par des pompiers à Corbeil-Essonnes, un homme insulte, menace de mort et frappe les sauveteurs.
En fin de soirée, dans l’agglomération de Grenoble, un homme est tué par balles sur un parking.
4 août.
L’agression du maire de Saint-Philippe-d’Aiguille fait scandale. Philippe Bécheau intervient pour faire cesser un tapage nocturne. Un homme le frappe.
À Harnes, un chauffeur de poids lourd se livre à des dégradations sur des véhicules stationnés. Un témoin tente alors de le faire descendre. Il est écrasé devant son fils.
5 août.
Des riverains appellent la police à L’Étang-la-Ville. Un homme d’origine roumaine de 36 ans déshabille et frappe une quinquagénaire. Il tente ensuite de la violer dans un bosquet.
À Tarbes, un homme de 34 ans frappe son conjoint de 23 ans avec une machette.
6 août.
Mort pour un contrôle routier au Mans. Éric Monroy décide de vérifier l’état d’ébriété d’un automobiliste. Ce dernier accélère et traîne le policier sur plusieurs mètres.
À Arras, une femme de 73 ans est violée en pleine rue par un homme qui la saisit à la gorge et la menace de mort.
À Toulouse, scandalisé par le harcèlement que subit sa fille, son père prend à partie un livreur, qui le poignarde de quatre coups de couteau en retour.
7 août.
Et à Charleville-Mézières, un pompier reçoit un coup de poing et des insultes de la part de l’ivrogne qu’il vient de secourir.
Une femme de 27 ans est frappée, traînée par terre et insultée par un groupe de six mineurs à Vichy. La bande de racailles menace de « faire avorter » leur victime enceinte.
8 août.
À Lyon, un chauffeur de bus est agressé au gaz lacrymogène par deux jeunes de 20 ans, hostiles aux règles sanitaires.
9 août.
« Toi, tu ne bouges pas ou je te tranche » : à Tours, un migrant de 19 ans met un couteau sous la gorge d’un gendarme en civil pour un « mauvais regard ».
10 août.
Un homme de 86 ans est insulté et poussé par un client de 40 ans qui l’estime trop lent à la caisse d’un supermarché de Boulogne-Billancourt. Il chute et meurt d’une crise cardiaque. À Brest, deux étudiants algériens séquestrent et menacent d’égorger un camarade de promotion et de la même nationalité, qui leur devait de l’argent.
11 août.
À Neuilly-sur-Marne, une infirmière est tabassée par deux adolescents de 16 ans : elle aussi avait osé leur demander de porter un masque. Un agent de sécurité décrit « deux individus de type africain ». Une information censurée par la chaîne BFM TV.
12 août.
Une femme enceinte de 20 ans est frappée au visage et se fait cracher dessus, à Mantes-la-Jolie, par un individu alcoolisé qui avait, plus tôt, frappé une femme d’une trentaine d’années.
13 août.
À Lille, tôt le matin, un homme est poignardé au parc Matisse, sur un lieu de rencontres homosexuelles. Dans la soirée, un autre homme est poignardé à plusieurs reprises pour avoir refusé de donner une cigarette, par cinq racailles, dont trois adolescentes de 15 à 17 ans.
14 août.
Sept policiers qui n’étaient pas en service passent une soirée dans un bar karaoké de Rouen. Ils sont reconnus par une vingtaine d’individus et roués de coups.
À Brest, l’agent de sécurité d’un bar refoule un client sans masque. Il reçoit deux coups de couteau, dont un à l’œil.
15 août.
À Valdurenque, un policier de 52 ans, en dehors de son service, se fait tirer dessus par un homme de 21 ans.
À Béziers, un jeune homme de 19 ans crie « Allahu akbar » au cours d’un cambriolage chez un buraliste. Les policiers envoyés sur place sont frappés, insultés et blessés.
16 août.
« C’est une agression purement gratuite, Ange s’est interposé lorsqu’ils ont été abordés par ces sauvages. » Une mère s’indigne de la terrible agression subie par son fils de 19 ans, poignardé 17 fois par un groupe d’individus à Marseille, qui s’en sont pris à ses amis.
17 août.
Au cours d’une rixe communautaire à Saint-Étienne, un Camerounais et un Centrafricain se battent avec un autre habitant d’origine africaine à coups de barre de fer, de couteau et de tournevis.
À Nancy, un homme de 41 ans, verbalisé pour non-port du masque dans un tramway, jette une bouteille de bière et menace de mort une contrôleuse.
Et à Besançon, une adolescente musulmane de 17 ans est tondue et frappée par sa famille pour avoir osé fréquenter… un garçon chrétien.
18 août.
Après la qualification du PSG en finale de la Ligue des champions de football, des policiers sont caillassés et insultés par des bandes de racailles près de l’Arc de Triomphe, à Paris. Un fourgon de CRS est vandalisé et des magasins pillés sur les Champs-Élysées.
19 août.
Sous les yeux de ses enfants de 3 et 7 ans, une femme âgée d’une trentaine d’années est poignardée à la gorge par son compagnon ivre sur un parking d’Annecy. Traumatisés par l’effroyable scène, les enfants ont été hospitalisés.
20 août. Coups de barre de fer, de couteau, balle dans le dos… À Reims, un homme est lynché par deux hommes noirs, selon des témoins. « De toute façon, je vais mourir, je le sais ! », hurle-t-il, touché à la moelle épinière. Il devrait garder de lourdes séquelles.
À Pont-de-Roide, un père de famille de 38 ans est frappé au crâne avec un marteau pour avoir demandé à un adolescent d’attendre son tour pour sauter d’un plongeoir.
Valeurs Actuelles
Compilation réalisée par Jules Torrès et Alexandre Bertolini
29 août 2020
C’est bien beau tout ça!
Mais quand allez-vous vous bouger????
Plus le temps passe, moins vous devenez crédibles.
Dans la continuité de cet étalage de faits et qui confirme bien que la France ne pourra pas attendre les prochaines échéances (qui de toutes façons seront faussées puisque le système est faussé) je vous invite à aller voir l’excellent document sur Youtube et qui s’appelle Djihad judiciaire.
Si Minurne le permet je place ci dessous le lien :
https://www.youtube.com/watch?v=k1dfwzajARU&feature=youtu.be
En bref….. N’attendons pas les prochaines échéances pour nous manifester, il faut reprendre le contrôle de notre Pays avant qu’il ne soit trop tard
Et pendant ce temps, les Force de l’ordre s’en prennent aux gens sans masque et verbalisent à tour de bras. Comme disait une amie : “Forts avec les faibles, faibles avec les Forts, la devise des lâches”. Bon, elle a un peu tort pour certains des services spécialisés, mais en général, on constate souvent cet adage.
Il est clair que la république est incapable d’assurer la sécurité des citoyens qui ont quasiment interdiction de se défendre et surtout de faire justice eux-mêmes. Mais tant va la cruche à l’eau qu’un beau jour elle casse.
Tout ce que nous importons, c’est la sauvagerie tribale africaine et surement pas de la matière grise, sauf en ce qui concerne de nombreux asiatiques paisibles, intelligents et travailleurs qui ne gémissent jamais.
Ne jugez pas la police quand on a un président comme Macron .Un jour ils seront ainsi que les gendarmes à nos côtés alors les petites phrases assassines n ont pas lieu d être ,d autant qu ils ont d autres missions très importantes .Connaissez vous un pays sans police ?
Tiens, c’est dommage: eux aussi ont oublié de donner les noms de ces délinquants voire criminels. Avec un peu de recherche, on peut les trouver. Il est peut être temps de briser l’omerta et appeler chat un chat. Il faut savoir à qui on a affaire si on veut combattre le mal. Sinon cette liste est une perte de temps. Autant lire fdesouche…
La bienpensance ne voit pas cet article mais s’offusque bruyamment de la petite saynète sur obono.
La gauche est propriétaire du bien et de la liberté d’expression. La gauche brûlerait volontiers Valeurs Actuelles.
Voir dans DREUZ l’excellent article de Maître Gilles-William Goldnadel sur ce sujet.