18 JUIN 2021 – Discours du général Antoine Martinez à l’Ile de Sein

Chers amis,

En ce 18 juin 2021, dans toutes les communes de France, nous célébrons l’appel du général de Gaulle, lancé depuis Londres en 1940. Vous me permettrez aujourd’hui, quatre-vingt-un ans plus tard, d’être l’humble lecteur de ce message d’espoir, ici en ce lieu particulier.

“Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s’est mis en rapport avec l’ennemi pour cesser le combat.

Certes, nous avons été, nous sommes submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l’ennemi. Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd’hui.

Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non ! Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

Car la France n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle a un vaste empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l’Empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l’Angleterre, utiliser sans limites l’immense industrie des Etats-Unis. Cette guerre n’est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n’est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n’empêchent pas qu’il y a dans l’univers tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd’hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.

Moi, général de Gaulle, actuellement à Londres, j’invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique, ou qui viendraient à s’y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j’invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d’armements qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s’y trouver, à se mettre en rapport avec moi.

Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas. Demain, comme aujourd’hui, je parlerai à la Radio de Londres.”

L’exemple de ce message, de cet appel, à un moment où tout semblait perdu pour la France et la nation, doit nous inspirer aujourd’hui car une guerre nous a été déclarée que nos dirigeants ne veulent pas reconnaître. Les dernières déclarations du président de la République au G7 sont évocatrices d’un aveuglement, voire d’un renoncement coupable à agir contre ce qu’il nomme la montée des violences qu’il dénonce mais qu’il rattache aux inégalités sécrétées par le fonctionnement de l’économie internationale dont il est d’ailleurs la parfaite incarnation, et l’ensauvagement des discours sur les réseaux sociaux.

Il ne veut manifestement pas se rendre à l’évidence, en fait, du chaos migratoire que nous subissons depuis de trop nombreuses années, qui a débouché sur le chaos sécuritaire avec la mise en grand danger des Français qui ont déjà payé un lourd tribut ces dernières années.

Car la France est aujourd’hui fracturée, défigurée, martyrisée après cinquante années au cours desquelles nos dirigeants politiques ont fait preuve successivement de laxisme, d’absence de clairvoyance et de lucidité, de manque de vision, de déni de réalité, de volonté politique et à présent de renoncement face au plus grand des dangers qui menace notre nation : la guerre civile et ethnique. L’acceptation d’une immigration massive, non contrôlée et surtout hostile et incompatible avec nos valeurs, nos mœurs, nos modes de vie et nos traditions sans avoir modifié les conditions d’accès à la nationalité française, constitue une faute et une trahison inqualifiable commises contre la nation, contre son identité et son droit légitime à sa continuité historique.

En l’espace de seulement quatre ou cinq décennies, nos élites politiques, négligeant totalement le bien commun et l’intérêt de l’Etat et de la nation, ont mis en réel péril plus de mille cinq cents ans d’histoire du peuple français depuis le baptême de Clovis.

Et aujourd’hui, la patrie est en danger. Oui notre patrie est en grand danger, et nos dirigeants ne veulent pas réaliser l’urgence d’un sursaut salutaire. Non seulement ils ne veulent pas reconnaître cette guerre qui nous a pourtant été déclarée par un ennemi qu’ils ne veulent pas nommer, mais ils veulent faire taire ceux qui sonnent le tocsin. Ce n’est plus de l’inconscience ou de l’irresponsabilité mais de la trahison à l’égard du peuple français et de notre patrie. Doit-on leur rappeler ce qu’est la patrie ? La patrie s’identifie au patrimoine, c’est à dire à l’ensemble des biens que nous avons reçus de nos pères en héritage. Et la patrie établit un lien réel entre l’aspect spirituel et l’aspect matériel, c’est à dire entre la culture et le territoire. Elle mêle donc les valeurs et l’aspect spirituel qui composent la culture d’une nation. Est-ce si difficile à comprendre ?

C’est la raison pour laquelle plusieurs peuples ne peuvent pas vivre sur un même sol, plusieurs cultures ne peuvent pas coexister paisiblement sur un même territoire. Ecoutons Julien Freund : « Une collectivité politique qui n’est plus une patrie pour ses membres cesse d’être défendue pour tomber plus ou moins rapidement, car là où il n’y a pas de patrie, les mercenaires ou l’étranger deviennent les maîtres. »

Vouloir, par idéologie et sans l’aval du peuple autochtone, imposer une société pluriculturelle est une pure folie et une démarche criminelle car le pluriculturalisme est une imposture sanglante qui va plonger la France dans la dévastation et le malheur.

Avoir ignoré cela et continuer de l’ignorer, puis refuser de corriger le cours néfaste des choses, a conduit à la situation explosive et délirante qui frappe aujourd’hui injustement le peuple français qui souffre de l’abandon de ses dirigeants face à l’instauration d’un communautarisme et d’un séparatisme dictés par une idéologie mortifère devenant grâce au nombre, de plus en plus vindicative et agressive. Combien de morts le peuple français devra-t-il subir avant de se révolter ? Combien de temps le peuple français, menacé dans son identité et dans sa vie, attendra-t-il avant de se lever face à des dirigeants qui ne l’aiment pas et qui ne le protègent pas devant la violence barbare et criminelle de ceux qui veulent nous imposer leur loi ? Nos dirigeants politiques peuvent-ils continuer impunément à ignorer les drames qui s’annoncent et à refuser d’assumer leurs responsabilités ? Ne comprennent-ils pas que leur démission et leur renoncement provoquent l’effondrement de l’Etat et conduisent la France et le peuple français au désastre ?

Comme en 1940, l’heure est grave. Face au naufrage de la France qui se dessine sous nos yeux ahuris, le peuple français doit-il se résigner et se soumettre au triste sort qui lui est réservé ? L’espérance doit-elle disparaître ? Tout espoir est-il donc perdu ? Mais la fin de l’espoir n’est-ce pas le commencement de la mort ? Eh bien, non, rien n’est écrit et tout est encore possible à condition de le vouloir.

Les exemples donnés par le général de Gaulle en 1940, mais également par d’autres de nos héros comme Jeanne d’Arc, dans des moments où la situation de la France était désespérée, doivent nous inspirer et nous guider.

C’est pourquoi, moi, général Martinez, animé d’un amour infini que je porte à la France, cette France dont il faut rappeler que la nature l’a faite belle et que l’histoire l’a rendue grande, cette France qui m’a tout donné, j’appelle, en toute humilité mais avec force, les Français, où qu’ils soient, à me rejoindre pour entrer en résistance contre la démission et le renoncement d’un pouvoir politique qui n’entreprendra, malgré l’évidence du danger, aucune action, ni contre une submersion migratoire hostile à notre civilisation et à notre culture, ni contre le séparatisme islamique destructeur, un pouvoir politique qui a décidé de ne pas agir contre un ennemi qui a pourtant affiché clairement ses intentions. Face à cette soumission à l’esprit totalitaire qui conduit à la trahison de la nation française, je les invite à se rallier à moi dans le combat que j’ai considéré avoir le devoir d’engager, car c’est de la survie de la nation dont il s’agit.

Et cet appel comment ne pourrais-je le lancer d’ici, de l’île de Sein, depuis cette magnifique Bretagne qui a su superbement et héroïquement répondre, en des temps troublés, au devoir sacré envers la patrie, ce qui lui a valu, au titre de la Seconde Guerre mondiale, d’être la commune de France la plus décorée, ayant reçu la Croix de la Libération, la Croix de Guerre 1939-1945 et la Médaille de la Résistance ?

Car il nous faut provoquer le sursaut national indispensable au rétablissement d’un Etat fort , soucieux du bien commun et de l’intérêt de la nation qui doit pouvoir exercer son droit légitime à la continuité historique mis à mal depuis trop longtemps. Le moment est donc venu de traiter résolument et courageusement le problème d’une immigration incompatible avec nos valeurs et source de conflits sur notre propre territoire. Après le droit à la différence pour les individus prôné par la gauche française il y a une quarantaine d’années – on a constaté ses conséquences avec la mise en péril de la cohérence interne de notre société par le développement du communautarisme, puis le glissement vers le séparatisme et la création d’enclaves étrangères avec les territoires perdus de la République dont il va falloir engager la reconquête – il est temps à présent d’exiger le même droit à la différence pour les peuples.
Le peuple français a le droit d’être différent des peuples d’Afrique noire ou du Maghreb.
La France doit rester la France.

Cette dérive, qui s’est accélérée dangereusement ces deux dernières décennies, a été rendue possible grâce à une propagande ignoble exercée par l’idéologie “droitdelhommiste” et acceptée par des dirigeants politiques coupables qui se sont succédé. Elle a ainsi, avec leur complicité, formaté progressivement et enfermé notre peuple dans un état de culpabilisation et de repentance totalement injustifié.

Le peuple français est un grand peuple qui doit maintenant se réveiller et se réapproprier sa riche histoire – que le président de la République actuel voudrait déconstruire, de quel droit ? – pour refuser sa paralysie et sa léthargie dans lesquelles il a été plongé injustement. Avec moi, il  retrouvera sa fierté confisquée, sinon perdue, et renouera avec son riche passé pour se projeter dans un avenir choisi et non pas subi. Devant les drames qui s’annoncent mais que nos dirigeants tentent de dissimuler, y compris en voulant faire taire ceux qui alertent, il doit refuser de mettre un genou à terre et rester debout pour se dresser contre le mensonge et la trahison. Car le tragique de la situation de la France aujourd’hui réside dans le fait insupportable et intolérable que ce sont nos dirigeants eux-mêmes qui oeuvrent contre la patrie, contre la nation et mettent les Français en grand danger. Certaines décisions prises au plus haut niveau de l’Etat sont contraires au bien commun et aux intérêts et à la sécurité du peuple français, qui n’est d’ailleurs jamais consulté dans des domaines essentiels qui concernent son existence et son avenir.
Certains pourraient avoir des comptes à rendre au peuple français.

Le rôle du président de la République, c’est d’être le père de la nation, de tout faire pour la protéger, de la servir et non pas de s’en servir. Il est donc de notre devoir de tout faire pour sauver la France et la nation française, aujourd’hui en perdition, en nous organisant en un mouvement de défense nationale indépendant des partis politiques contre les tenants du mondialisme et du progressisme destructeurs des patries et des identités, incarnés par nos dirigeants actuels qui mènent le pays au désastre.
Il est temps pour les Français d’entrer en résistance pour engager le plus noble des combats qu’il leur est donné de mener : sauver la patrie en danger. La flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre. Elle ne s’est pas éteinte en 1940. Elle ne s’éteindra donc pas aujourd’hui. Elle ne doit pas cesser de grandir. Et le combat que nous allons mener ensemble, sans haine mais avec détermination nous conduira jusqu’à la victoire pour sauver la France et la nation.       

Vive la France !

Général Antoine Martinez
Candidat à la présidence de la république

18 juin 2021

4 Commentaires

  1. Comment ne pas être d’accord avec votre discours ? Rendre la France aux français, à ceux qui y travaillent, soutenir ceux qui sont là pour nous défendre au lieu de les laisser se faire assassiner, remettre la France dans son rôle d’accueil, et non pas de “poubelle” même visuellement, car c’est à çà qu’elle ressemble maintenant ! Merci à vous de vous engager pour sauver notre Nation.

  2. Il manque dans ce discourt un élément essentiel : Le traitement réservé aux envahisseurs de notre Patrie.
    Je rappelle que lorsque U.E. a été décidée, à aucun moment il n’a été question de laisser entrer les non européens, la plupart de ces envahisseurs étant issus de pays indépendants afro-asiatiques qui n’ont rien à faire sur notre territoire. Je rappelle aussi que certains de ces pays ont parfois chassés les blancs en général, et les Français en particulier, de leurs pays, en les massacrant souvent de façon ignoble. Par conséquent, il est paradoxal que nous les accueillons sur notre sol.
    Je pense que nos généraux de V.P.F. devraient, sans ambiguïté, préciser l’avenir des ressortissants de ces régions du monde dans notre pays.
    Pour moi, c’est très simple et très clair : Ils doivent tous être expulsés, manu militari si nécessaire, y compris les « Français de papier », exception faite (Dans toute chose il y a des exceptions) de quelques très rares individus pouvant prouver par leurs actions qu’ils ont valeureusement servi la France pendant des années, démontrant ainsi leur amour pour elle.
    Tous les autres bénéficieront d’un court délai, restant à préciser, pour quitter notre territoire. Les récalcitrants seront débarqués sur des îles françaises et devront s’y organiser par eux même.
    Nous n’avons nul besoin de ces gens dont la plupart nous haïssent, et nous n’en voulons pas. Les Français aussi ont le droit de vivre libres et indépendants dans leur pays sans subir les excès de peuplades n’ayant aucun point commun avec nous, ni la race, ni la religion, ni le mode de vie. De plus, et personne vraiment sincère ne pourra le nier, beaucoup d’actes de violence et de crimes leurs sont imputables.
    Pour les vrais patriotes, leur expulsion n’est pas négociable. C’est le but essentiel de notre combat.
    Peu importe ce qu’en pensent les fonctionnaires européens totalitaires non élus, et qui, de ce fait ne représentent qu’eux même, où les français, traîtres à leur patrie, qui ont favorisés l’invasion de la France pour des motifs sordides.
    Vive la France libre.

  3. Un peu trop long ce discours. Il y a certains passages inutiles. Nous sommes dirigés par des traitres, inutiles de le détailler plusieurs fois. Il faut aller à l’essentiel.

    La France est une terre carrefour en Europe. Il est normal que différents peuple s’y croisent et que certains y restent. Mais parce que ces peuples sédentaires ont accepté les mêmes règles, les mêmes valeurs, les mêmes choix, les mêmes traditions qu’ils respectent tous. C’est la conditions sine quanone de leur acceptation dans la communauté gauloise.

    Ce principe doit être l’axe de travail car menacer de virer les gens incompatibles avec nos valeurs sera exploité par les traitres pour vilipender les patriotes en les traitant de racistes. Il faut moduler et rester sur des principes de base clairs et simples.
    Le fait d’être patriote et de vouloir faire évoluer la France vers une paix sociale et une société recentrée sur la Nation et sa souveraineté doit suffire à faire comprendre la direction prise.

  4. (proposé par CASTELIN Michel)

    OPUSCULE pour servir et sauver La FRANCE:
    Les DIX QUESTIONS ESSENTIELLES: et Trait d’Union/ Ordre du Jour/ pour les forces patriotes-souverainistes.

    Question Préliminaire: Oui ou non les sensibilités (gauche- centre- droite)* doivent-elles prévaloir et s’imposer aux deux mots-clés ‘souveraineté-indépendance’ d’où procèdent la survie et la personnalité de la France ? NON
    (*) ”… [le Peuple Français veut qu’elles] … servent ! il faudrait [qu’elles] le fassent comme une partie d’un tout ” DGlle -1944- MG/T1. [mots adaptés]

    Q1-Oui ou non la France peut-elle encore attendre ? NON

    Q2-Oui ou non les concepts ‘souveraineté du Peuple Français’ et ‘indépendance de la France’ sont-ils périmés ? NON

    Q3-Oui ou non devons-nous encore endurer la mondialisation et l’UE totalitaires : collusion notoire des internationalistes et des libéraux (qui poursuivent leur guerre idéologique sur le dos des Peuples / et domination idéologique des premiers sur les seconds) ? NON… la France n’est pas l’otage des idéologies.

    Q4-Oui ou non peuvent-ils infliger aux Français une constitution et des institutions supranationales (référendum 2005 !) et nous spolier de nos frontières, de nos lois, de notre monnaie- le Franc-, de notre budget ? NON

    Q5-Oui on non laissons-nous l’UE totalitaire (cheval de Troie et laboratoire populicide de l’internationalisme et de l’ultralibéralisme) mépriser encore les Peuples et détruire les Nations au premier rang desquelles: La France) ? NON

    Q6-Oui ou non, nous soumettons-nous définitivement à leur slogan sans-frontiériste :
    « libre circulation des personnes, des capitaux, des marchandises et des services » ? NON

    Q7-Oui ou non approuvons-nous leurs méthodes ? Neutralisation des Etats ; Privatisations; Financiarisation; Délocalisations; Désindustrialisation; Submersion migratoire ? NON !

    Q8-Oui ou non devons-nous toujours subir le délabrement de la République Française (Française ! … pas universelle) : décentralisation dogmatique, régionalisme supranational, grandes métropoles suzeraines et communes vassalisées; droit du sol, double nationalité, vote des étrangers, communautarisme rampant, etc. etc. … ? NON

    Q9-Oui on non devons-nous encore assister au carnage politique, économique, écologique, social, civique et sociétal imposé par la sphère politico-intello-médiatique, pathétiquement conformiste et vouée à l’utopie universaliste, à l’endoctrinement internationaliste et à la propagande ultralibérale ? NON

    Q10-Oui ou non est-il temps de crever l’abcès? …… OUI !

    Pour une France libre et indépendante :
    1- œuvrant au dialogue des civilisations et œuvrant à la régulation de la mondialisation;
    2- vecteur de l’entente, la concorde, la coopération équitable et loyale de Peuples souverains et de Nations indépendantes;
    3- exemplaire dans un périmètre européen organisé (de ‘l’Atlantique à l’Oural’?), impulsant des programmes de coopération bi-ou-multinationaux dans et pour le respect des Peuples, des Nations et de l’efficience des Etats.
    CASTELIN Michel

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