INVASION : À QUAND LE MUR MENTON-DUNKERQUE ? (par Maurice D.)

L’état de guerre dans le monde est un sujet qui gêne énormément les gauches de tous les pays, car il démontre la fausseté de leurs théories sociétales pacifistes et de l’idéologie musulmane « d’amour, de tolérance et de paix » qu’elles soutiennent.

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Cette phrase est celle que l’on peut lire sur l’étendard de guerre de l’islam. Notez qu’elle se mène au nom d’Allah, comme l’indique le caractère en forme de sexe masculin dans le coin en haut à gauche.

Le bloc « occidental » qui comprend les Amériques, l’Europe, la Russie euro-asiatique et l’Océanie (Australie, Nouvelle-Zélande, Japon, archipels océaniens) n’a pas connu d’agressions « extérieures » sur son sol depuis 70 ans, seulement des guerres civiles internes à l’ex bloc soviétique comme URSS-Tchétchénie, URSS-Hongrie, Serbie-Kosovo, Russie-Ukraine… et des guerres menées à l’extérieur, coloniales ou d’intervention, avec ou sans mandat de l’ONU comme France-Mali et France-OTAN-Libye.
La fameuse « guerre froide » 1945-1989 menée à coups de menaces, de surarmement, de pressions politiques, médiatiques, économiques, s’est terminée en 1989 par l’effondrement du camp socialiste soviétique sans la conflagration générale redoutée.

Le bloc Asie / Asie-du-Sud-Est a connu des guerres locales et limitées, souvent des séquelles de la Seconde Guerre Mondiale ou de la décolonisation, ainsi que quelques guerres de conquêtes coloniales : Corées, Vietnam, Indonésie-Timor-Papouasie, Chine-Taïwan et Chine-Tibet-Inde, etc.

Le bloc africain a mené des guerres coloniales « de libération » et des guerres civiles internes, du fait de la décolonisation qui a fixé des frontières très souvent idiotes, de la marxisation, de l’islamisation ou de la retribalisation des sociétés locales. Très peu de guerres « extérieures » (Egypte-Israël).

La seule vraie violence de longue durée, puisque quasiment ininterrompue depuis 70 ans, a été celle du bloc musulman avec une série continue de guerres de religion, internes (sunnites-chiites-alaouites) et externes, souvent compliquées de facteurs tribaux ou ex-coloniaux : Israël, Maroc-Sarahouis ; Soudan-Sud-Soudan ; Somalies ; Yémen ; Irak-Iran, etc.
Et bien entendu la grande guerre en cours contre l’Occident dar-al-harb (mécréant) qu’il faut islamiser puisque c’est la volonté divine.

France en guerre

La guerre contre l’Occident est menée en évitant tout affrontement direct, (car perdu d’avance), avec les armées occidentales. Elle se fait donc avec une armée « civile » de migrants désarmés que l’islam (qu’il faut qualifier de « rigoriste » pour ne pas être accusé d’amalgame) envoie en vagues qui prennent de plus en plus l’allure d’un tsunami, au sein desquelles il glisse ses djihadistes kamikazes, dont la mission première est de motiver au passage à l’acte les islamistes-salafistes locaux.

Les dirigeants européens sont aveuglés par leur ignorance de la géostratégie mondiale, de l’islam (on vient d’avoir un échantillon de l’ignorance crasse dont témoignent les déclarations ahurissantes de Juppé sur l’islam et le coran) et de la politique arabe et au Moyen-Orient, mais aussi par leur imprégnation marxiste-trotskiste inconsciente.

Nos dirigeants commencent seulement à réaliser que l’ennemi n’est pas aux portes de l’Europe mais dans la place. D’où l’affolement que montrent Angela Merkel et François Hollande depuis quelques semaines. Non seulement ils ont méprisé et stigmatisé en les accusant « d’islamophobie », « d’amalgame » et « d’incitation à la haine raciale » les lanceurs d’alerte sur les dangers de l’islam conquérant et colonisateur de nouveau en action après un siècle et demi de pause coloniale, mais ils ont négligé aussi les avertissements de l’ennemi, comme celui lancé il y a quelques mois sur une plage de Libye : « On va vous envoyer 500 000 migrants de plus cette année« .

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« La flamme s’est allumée en Irak, elle va augmenter par la permission d’Allah jusqu’à brûler les armées croisées »
(Journal de propagande de l’Etat Islamique, qui signale dans le texte que 7604 militaires français pont été blessés en 2014 par les soldats de l’islam)

Tout d’un coup ils sont là, ils déferlent par le Sud et le Sud-Est de l’Europe et c’est panique à bord à Berlin et à Paris.
D’autres dirigeants, comme ceux de Suisse ou du Danemark,  se sont montrés plus prévoyants et plus compétents : ils ont pris les précautions politiques et juridiques qui s’imposaient pour empêcher ou bloquer l’invasion islamiste.

Mais le moyen le plus fréquemment employé, c’est le mur.
Cela dit, il n’empêche pas d’autres moyens plus radicaux, comme le fait la Malaisie en coulant les bateaux de réfugiés en provenance du Bengladesh ou du Myanmar (Birmanie). Certains pays d’Asie centrale exécutent sans sommation toute personne franchissant leurs frontières illégalement ; quant à l’Australie, elle arraisonne les bateaux de migrants économiques et les ramène à leur point de départ, ou stocke les migrants-réfugiés sur des îles éloignées de ses côtes, comme Nauru, le temps d’examiner de leur cas.

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Migrants parqués sur l’atoll de Nauru en attente du tri des vrais et faux réfugiés.
Les installations sont financées par l’Australie qui paie aussi Nauru pour organiser l’hébergement et la surveillance des migrants, considérés comme des présumés 
terroristes avant d’être des réfugiés politiques, puisque l’expérience a montré que seuls 10 % environ le sont. 

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« Si vous venez en bateau et sans visa, vous ne pourrez pas coloniser en Ausralie »

La presse occidentale n’a jamais de mots assez durs et de reportages stigmatisants pour dénoncer le mur Israël-Palestine ou le mur Etats-Unis-Mexique. Mais elle ne parle que très rarement du mur Egypte-Gaza pour empêcher l’entrée de Palestiniens en Egypte, du mur Turquie-Chypre pour empêcher les migrants venus de Turquie d’envahir Chypre, du mur en construction de 9 000 km qui va cerner l’Arabie Saoudite pour la protéger des migrants, dont 900 km sont déjà construits au Nord entre elle et l’Irak pour bloquer les migrants syriens et irakiens, 75 km au Sud pour empêcher le passage de migrants en provenance du Yémen, ni des 410 kms de murs édifiés par les Emirats Arabes Unis pour stopper d’éventuels migrants, ni non plus du mur Maroc-Sahara occidental qui protège le Sud du Maroc.

Car tous les murs actuels dans le monde n’ont qu’un seul but : empêcher le passage de migrants. 

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Ce mur anti-migrants africains sub-sahariens a été construit par le Maroc avec une aide financière de  l’Espagne

Il nous arrive de nous demander pourquoi les migrants ne vont pas vers les pays musulmans riches de leur pétrole où ils trouveraient travail et islam, puisque tous ces pays sont importateurs de main-d’œuvre qu’ils font venir en grande quantité d’Inde et des Philippines. Quand des migrants sub-sahariens pénètrent dans l’espace « dar-el-islam », ils sont pour une petite minorité mis en esclavage (ce que nos associations anti-esclavage n’osent pas dénoncer à cause de la loi Taubira sur la traite), pour la plupart réexpédiés le plus vite possible vers l’Europe par des filières de trafic de chair humaine dont les gouvernements islamiques et les organisations islamo-terroristes s’accommodent très bien depuis quatorze siècles puisqu’ils prennent au passage leur marge bénéficiaire.

Ces filières ne furent démantelées un temps que par les puissances coloniales. Dar-el-islam ne veut pas de migrants, ne veut pas partager ses richesses, les murs arabes le montrent. À cela s’ajoute le fait que les Africains qui y pénètrent savent que sauf à accepter la situation qu’avaient les Noirs dans la Libye de Kadhafi, ils n’ont qu’un avenir de mépris et de souffrance à attendre dans ces pays-là, ils préfèrent venir en Europe.

On peut se demander aussi pourquoi ils ne vont pas vers la Chine qui reste prospère et attirante, même avec des taux de croissance en baisse (ce qui est normal quand on progresse en volume du Produit Intérieur Brut) et en niveau de vie après des décennies socialistes de taux de croissance à zéro voir négatifs. Après les premières années à 12 ou 14 % de croissance libérale, on retombe naturellement à 7, puis 5 ou 4 %. Après tout, au départ de l’Irak ou de la Syrie, la Chine n’est pas plus loin que l’Europe. Seulement il y a quelques obstacles à franchir !

Le chemin le plus court quand on part d’Irak, ou de Syrie en contournant l’Irak par le Nord, c’est de traverser l’Iran, puis de se diriger vers le Nord-Est pour traverser le Turkménistan, l’Ouzbékistan, puis le Tadjikistan qui a une frontière commune avec la Chine. Le premier problème, c’est que l’Iran est chiite et n’aime pas les sunnites, ni les étrangers en situation irrégulière. Le second obstacle, c’est que depuis le golfe d’Arabie au Sud, jusqu’à la mer Caspienne au Nord, il y a un mur qui commence par séparer le Pakistan de l’Inde sur 2 900 km, puis le Pakistan du Cachemire indien sur 550 km, puis l’Ouzbékistan du Kirghizistan sur 870 km, puis le Turkménistan de l’Ouzbékistan sur 1700 km. Au total, un mur quasi continu de 6 020 km, mur cofinancé par des procédés divers, soit argent, soit fournitures de matériel, par la Chine et les pays concernés, un mur qui met la Chine à l’abri des terrorises et migrants quels qu’ils soient et qui est bien gardé par des armées très libres de leurs actes et sans pitié, qui n’aiment pas les étrangers.

La seconde solution, c’est de partir vers le Nord, de traverser la Géorgie, puis le Sud de la Russie, puis encore tout le Kazakhstan jusqu’à la Chine. Problème : les Russes ayant une vieille et douloureuse expérience du terrorisme islamiste n’aiment pas les musulmans, et les Kazakhs n’aiment les étrangers que fortunés et touristes en règle.

Donc, la seule issue c’est l’Europe, dont les dirigeant aveuglés par leur idéologie droits-de-l’hommiste et pacifiste sont prêts à accueillir toute la misère du monde, malgré l’opposition grandissante des peuples qui, eux, ont du bon sens.

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Jusqu’ici, il n’y avait pas de murs pour protéger l’Europe, mais ça vient ! Il y a au Sud celui qui tente d’empêcher le passage du Maroc vers les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla et au Sud-Est, en construction depuis peu, le mur Hongrie-Serbie qui a pour objectif de bloquer les migrants arrivant de Turquie par la Grèce et la Macédoine, le mur Bulgarie-Turquie et le mur Grèce-Turquie dont la France a soutenu le projet. Mais les fonctionnaires de la Commission européenne, ainsi d’ailleurs que le président et les ministres fonctionnaires français, ne sont pas d’accord et veulent punir la Hongrie qui construit son mur.
Toutes les autres frontières maritimes au Sud de l’Europe sont des passoires.

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Plus de 300 000 clandestins sont passés par ces routes depuis le début de l’année 2015, dont une majorité de Syriens. Deux fois plus qu’en 2014 sur la même période…

Il est hors de question de construire un « mur de la Méditerranée », comme il y eut un Mur de l’Atlantique. Une solution serait d’aller détruire, avant l’embarquement (parfois forcé) des migrants, les bateaux des passeurs dans les ports du Sud et de l’Est méditerranéens qui sont hors contrôle en Libye, en Syrie et en Turquie. Les armées et les services spéciaux sont prêts à le faire, seule manque la volonté et le courage politique d’en donner l’ordre.

Comme vient de le déclarer Angela Merkel, « On tiendra une conférence inter-gouvernementale sur le sujet… si nécessaire » ! Cinq attentats islamistes en France depuis le début de l’année, mais il n’y a, selon nos dirigeants, ni urgence, ni nécessité, alors que les services secrets annoncent la forte probabilité d’un 11 septembre en France même, qui pourrait aussi bien avoir lieu ou être doublé d’un autre à Bruxelles, Rome ou ailleurs !

Maurice D.

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