« Le Djihad c’est également l’utilisation de la Taqiya et de toutes les fourberies disponibles pour faire avancer l’Islam politique quand les Musulmans ne peuvent pas l’imposer par la contrainte et la violence…
Chaque défenseur de l’Islam, chaque prosélyte, chaque femme voilée, chaque barbu est un djihadiste en action…
Le Coran affirme que le djihad ne s’arrêtera que lorsque le dernier non-musulman sera converti ou éliminé… »
Hubert Lemaire (1)
Dans mon précédent article, j’ai écrit que nous avions perdu toutes nos batailles pour défendre notre civilisation et j’ai subodoré que nous risquions aussi de perdre la guerre. Ceci m’a valu de me faire traiter de pessimiste et de défaitiste par quelques lecteurs, mais j’ai l’habitude, je suis blindé.
Je parlais de la guerre qui oppose le monde libre à la barbarie ou, si vous préférez, l’Occident chrétien à l’Islam conquérant. Cette guerre semble avoir commencé, pour nous, Français, avec le bradage de l’Algérie française (et de notre Empire colonial), mais je n’ai pas la naïveté de penser qu’on la doit primitivement à l’islam radical. Les Musulmans, au départ, n’ont servi que de troupe de manœuvre à ceux qui entendent dominer le monde et, pour ce faire, veulent le mort des nations. Au fil des ans, le Nouvel Ordre Mondial et la finance apatride se sont ingéniés à nous mettre le monde musulman à dos, mais ils n’ont pas compris que la domination du monde, c’est aussi ce que veulent les suppôts de Mahomet. Dans leur guerre contre la religion catholique, les Loges maçonniques ont favorisé et encouragé le multiculturalisme, le communautarisme, l’immigration massive, et elles sont maintenant dépassées. Certaines s’en inquiètent, mais c’est un peu tard. Qu’on l’admette ou non, nous sommes en train de perdre la troisième manche de la « Reconquista ».
Nous avions gagné la seconde manche quand, en 1492, les armées d’Isabelle de Castille et de Ferdinand d’Aragon chassaient les Maures de Grenade : c’est, en effet, le 2 janvier 1492 que les troupes d’Aragon et de Castille (2) reprenaient Grenade au sultan Boabdil qui, selon sa propre mère, « abandonnait comme une femme une ville qu’il n’avait pas su défendre comme un homme ».
La débâcle totale, la réédition honteuse, presque sans combattre, des troupes afghanes et le repli des Américains en août 2021 a ravivé quelques souvenirs ô combien douloureux : l’abandon de nos supplétifs vietnamiens après les accords de Genève ; nos Harkis livrés, désarmés, aux égorgeurs du FLN ; la chute de Saïgon, en 1975, et la panique des évacuations en hélicoptère de l’ambassade des USA ; la « libération » du Cambodge par les Khmers rouges ; les « boat people » fuyant l’enfer communiste etc… Le monde libre a pris la fâcheuse habitude de lâcher ses alliés, et les Musulmans l’ont bien compris.
En revanche, les Occidentaux n’ont pas intégré que l’Islam radical sera pire, et bien plus pugnace, que le Communisme. Ils ont oublié le message pourtant clair d’Abou Bakr al-Baghdadi, « Calife et successeur de Mahomet », fondateur de l’État islamique (الدولة الإسلامية) en 2014, qui annonçait l’instauration d’un Califat et déclarait « nous reprendrons Grenade ». Ils n’ont pas voulu entendre Recep Tayyip Erdoğan quand il annonçait vouloir récréer le Califat ottoman aboli en 1924 par Mustafa Kemal, dit Ataturk. On peut me rétorquer que Daech, Erdogan et les Talibans n’ont aucun rapport : non, mais ils sont musulmans, c’est tout !
Les USA (cette grosse machine de guerre qui perd toutes ses guerres), qui avaient réussi sans trop de mal à chasser les Talibans, leur a permis de revenir au pouvoir vingt après.
Des barbus shootés au Coran, en burnous et djellaba, chaussés de baskets, sans gilets pare-balles, sans aviation, avec quelques blindés légers et quelques pièces d’artillerie, ont battu autrefois la puissante Armée Rouge. Et, en 2021, ils ont humilié la première Armée du monde (3).
Ceci laisse perplexe et appelle quelques remarques de simple bon sens :
a)- Avec ce qui se joue au Moyen-Orient, cessons de rêver à une guerre en dentelle, une guerre propre, sans victimes civiles et sans morts, nous ne sommes pas dans « la Grande-Duchesse de Gérolstein » d’Offenbach (4). Oublions nos principes démocratiques et nos mœurs aseptisées et policées d’Occidentaux nourris aux droits de l’homme, pour adopter les raisonnements ou la tactique du camp d’en face.
Comme l’éthologie le démontre, l’état de paix ne correspond pas à la nature humaine.
L’agressivité est hélas la règle de l’espèce humaine. L’idéal kantien (ou chrétien moderne) de la paix perpétuelle, n’a jamais fonctionné. Personne, bien sûr, ne peut souhaiter la guerre, mais vouloir l’éliminer (idéologie pacifiste), est aussi stupide que de vouloir éliminer la sexuation (théorie du genre), la religion et l’économie privée (idéologie marxiste) ou le sentiment d’appartenance et d‘identité ethniques (cosmopolitisme).
b)- Il ne faut pas oublier les leçons du passé. Qui a dit que l’histoire ne repasse pas les plats ? C’est une ineptie : Hitler aurait dû s’inspirer des déboires de Napoléon avant de lancer l’Opération « Barbarossa ». La Bérézina est une victoire française, certes, mais au prix de 45 000 morts !
Les Américains n’ont, semble-t-il, tiré aucun enseignement de leur déconfiture au Vietnam.
c)- Une occupation est toujours mal vue. Comment réagit un peuple en voyant débarquer une armée d’occupation ? Au début, il y a toujours quelques adeptes d’une collaboration avec l’occupant, nous avons connu ça ! Mais quand l’occupation s’éternise, l’occupant focalise contre lui le sentiment national ET le sentiment religieux. C’est encore plus vrai dans les pays musulmans où le Coran et la Charia régissent la vie, les mœurs, les lois, les droits et les devoirs des citoyens.
Même si nous sommes marqués par notre passé colonial, liés par des accords plus ou moins caduques ou unilatéraux, imprégnés par un demi-siècle de « Francafrique », ce n’est pas à nous de faire la police dans le Sahel ; c’est au Maroc, à l’Algérie, au Tchad ou à un contingent composé par l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), organisme subsidiaire de l’ONU.
d)- Choisissons nos alliés et ne nous trompons pas d’adversaires. La calamiteuse guerre en Afghanistan était menée sous l’égide de l’OTAN qui, rappelons-le, veut dire « Organisation du Traité de l’Atlantique Nord ». L’Afghanistan, pays asiatique enclavé, n’est pas dans cette zone (mais on peut m’objecter que l’implication de l’OTAN dans cette guerre était moins illégitime que contre la Serbie dans l’affaire du Kosovo en 1999).
A la suite des attentats du 11 septembre, l’Amérique a invoqué l’article 5 de la Charte de l’OTAN, qui oblige les Alliés à se solidariser. Le cerveau des attentats, Oussama Ben Laden, était réfugié en Afghanistan. C’est ainsi que la France s’est trouvée impliquée dans un bourbier dont elle n’a pu s’extraire qu’en 2014, au prix de 90 morts et quelques centaines de blessés. L’OTAN, qui était un contrepoids au « Pacte de Varsovie », à une époque où 6 000 chars soviétiques campaient près de nos frontières, n’avait plus de raison d’être après la chute du Communisme à l’Est. En implantant massivement des bases autour de la Russie, et en fomentant l’Euromaïdan (5) les États-Unis ont fait en sorte de lui redonner une existence. On connaît la suite !
e)- Cessons de nous comporter en « Bisounours », en gogos, en naïfs. Presque toute notre classe politique, nos journalistes, nos intellectuels, bref, tous ces gens, qui font l’opinion, ont voulu se persuader que les Talibans avaient changé, qu’ils étaient assagis, plus ouverts, plus tolérants, moins attachés à l’application stricte de la Charia. Une telle naïveté est confondante ! Aujourd’hui tous ces imbéciles sont en train de déchanter. Ils n’ont rien compris aux objectifs de l’Islam.
Les Musulmans se battent depuis la nuit des temps. Fanatisés par l’Islam qui promet à ses martyrs, 72 houris ( حورية, ) (6) au paradis d’Allah, ils font la guerre pour la gagner et n’ont pas peur d’y laisser leur peau. Ils mènent une guerre sainte, le Djihad ( جهاد ) pour que le Dar al-Harb, le « domaine de la guerre » ( دار الحرب) devienne le Dar al-Islam ou « domaine de la soumission à Dieu » (دار الإسلام). C’est plus motivant que le matérialisme athée des Communistes.
Il ne faut accorder aucun crédit à la parole des Musulmans. La Taqîya ( تقيّة ), la dissimulation, est dans leur mentalité, et, pour eux, elle est politiquement utile et moralement louable.
Quand ils arrivent au pouvoir quelque part, de façon légale ou non, par leur démographie galopante ou par la force, c’est pour imposer la Charia et faire la guerre aux mécréants. Dans les pays musulmans les populations sont très majoritairement favorables à l’application la plus stricte du Coran : l’amputation de la main des voleurs, la lapidation des femmes adultères, l’interdiction de l’alcool, des musiques « décadentes » etc…
De notre côté, nous sommes prêts à accueillir toujours plus de Musulmans, comme si la « 5ème colonne » islamiste présente en France n’était pas assez importante ?
En conclusion, je me pose une question : Nous avons vécu le basculement de l’Iran, du Liban, de l’Afghanistan et de quelques pays africains dont on parle moins. Où sont les brillants stratèges qui nous expliquaient, il y a quelques années, qu’il fallait supprimer le Service National et réduire le budget de la Défense car l’effondrement de l’URSS et du Bloc de l’Est nous assurait la paix au sein d’une Union Européenne créée précisément pour garantir la paix ?
Ces gens-là n’ont pas compris que c’est la paix qui a fait l’Europe et non l’inverse. Et ils ont oublié que la défunte « Société des Nations » (SDN), ancêtre de l’ONU, visait elle aussi la paix entre les peuples : une utopie qui a coûté 50 millions de morts entre 1939 et 1945.
Bien sûr, il va sans dire – et tellement mieux en le disant – qu’il existe sur notre sol beaucoup de Musulmans parfaitement intégrés et qui respectent nos lois, mais ne nous voilons pas la face ; une grande partie de la jeunesse qui nous arrive du continent africain a appris à détester la France.
Plusieurs sondages effectués auprès de cette jeunesse démontrent qu’elle fait passer la Charia avant les lois de la République et qu’elle ne se sent absolument pas française.
Finalement, je préfère qu’on me traite de pessimiste que d’inconscient, d’irresponsable ou de naïf. J’ai été, durant mes études secondaires, un honnête cancre en Latin, mais je sais ce que veut dire l’adage « Si vis pacem, para bellum » (7).
Éric de Verdelhan
9 octobre 2024
1)- « Musulmans vous nous mentez » par Hubert Lemaire ; Riposte laïque ; 2014.
2)- Troupes qui comptaient dans leurs rangs de nombreux chevaliers français.
3)- Les dépenses militaires des USA représentent 15 fois les nôtres (778 milliards de dollars contre 52,7).
4)- « La Grande-duchesse de Gérolstein » est un opéra bouffe de Jacques Offenbach, créé en 1867.
5)- Euromaïdan (en ukrainien : Євромайдан, Yevromaïdan ; en russe : Евромайдан, Yevromaïdan) est le nom donné aux manifestations proeuropéennes en Ukraine, débutées en 2013 à la suite de la décision du gouvernement ukrainien de ne pas signer l’accord d’association entre l’Ukraine et l’Union européenne au profit d’un accord avec la Russie.
6)- Les « houris » sont, selon la foi musulmane, des vierges dans le paradis d’Allah.
7)- « Si tu veux la paix, prépare la guerre ».
Encore un excellent article Monsieur de verdelham. Il est particulièrement détailllé et vous y dites des coses que nombre de Français ne veulent pas entendre. J’ai 88 ans et je suis fils d’officier. J’ai fait la guerre d’Algé&rie de 1957 à 1962 comme sous-officier …. mais je vivais déjà en Algérie où j’étais arrivé à l’âge de 3 ans. Je peux donc dire que je connais très bien les musulmans et ce dont ils sont capables. Vous le décrivez très bien et je vous cite :
« Il ne faut accorder aucun crédit à la parole des Musulmans. La Taqîya ( تقيّة ), la dissimulation, est dans leur mentalité, et, pour eux, elle est politiquement utile et moralement louable. »
et votre citation finale le dit bien : les musulmans ne connaissent que la force. Tant que nos policiers ou gendarmes n’auront pas l’autorisation de tirer àballes réelles lors des manifestations, nous ne règlerons pas le problème de l’ennvahissemeent.
Je suis un grand-père et j’en ai assez de voir des enseignants molestés ou assassinés ; j’en ai assez de ces jeunes qui violent nos jeunes filles et les tuent après J’en ai assez de voir ces femmes en burka. Nous sommes dans une France chrétienne, fille aînée de l’Église. Je suis caatholique. Mais je ne tendrai jamais l’autre joue. Nous sommes en guerre contre l’islamisme. Qu’attendent les autorités pour donner les bons ordres et remettre les zones de non-droit en état ? Dehors Macron ! Dehors l’OTAN ! et retour à nos frontières pour que Vive la France !
« Chaque défenseur de l’Islam, chaque prosélyte, chaque femme voilée, chaque barbu est un djihadiste en action…
Le Coran affirme que le djihad ne s’arrêtera que lorsque le dernier non-musulman sera converti ou éliminé »
Nous devons, nous, affirmer et faire en sorte qu’il ne reste plus un seul mahométan sur notre sol et que toute parole prononcée en leur faveur soit sévèrement sanctionnée.
Quand nous serons morts il sera trop tard.
Nous perdons cette guerre parce que nous ne la faisons pas. Les voleurs nous dévalisent parce que toutes nos portes sont ouvertes. Ils ne sont forts que de notre faiblesse.
Le premier qui osera larguer une bombe thermonucléaire massive sur la Mecque un jour de méga rassemblement de mahométans dira ainsi haut et fort que l’islam ça suffit !
Seulement vola, ce fou ne doit être né.