Au fil des mois Mélenchon apparaît dans toute sa dimension antinationale, antifrançaise, haineuse même de ses compatriotes, de ses concitoyens, de ses camarades, avec un discours devenu totalement radicalisé, dont on se demande comment il a pu en arriver là. Le voilà ressortant son mot fétiche de « créolisation ».
Il a compris, tout de même, dans sa folie, que le mot de « islamisation », plus conforme à ce qu’il préconise en réalité, ne pourrait médiatiquement pas passer. Alors il joue, non plus sur la religion prosélyte qui ne se cache même plus, mais sur la couleur de peau, avec ce terme de créolisation destiné à faire croire à un gentil bronzage généralisé de la population, façon îliens des DOM-TOM, le tout mâtiné de recettes de cuisine des tropiques et d’une lenteur en forme de farniente. Il n’en est rien, sa créolisation est en réalité un prosélytisme islamique dur et barbu, où pointe l’antisémitisme, l’embrigadement des femmes et la criminalisation de l’homosexualité, à l’image de ce qui se pratique dans les pays musulmans les plus radicaux.
Pour faire bonne mesure, il offre les campagnes françaises à cette « nouvelle France », comme il sied de l’appeler dans les rangs des LFI, tout en niant férocement le grand remplacement, vision soi-disant de l’extrême droite complotiste, qui a le grand tort d’être vérifiable chaque jour et quasiment partout, pour tout un chacun ne souffrant pas de cécité. Il intime aux migrants, aux allocataires originaires de l’Afrique et du Maghreb, de prendre possession des campagnes françaises qui sont leurs terres, qui « leur appartiennent »… quelle mouche le pique ? Que veut-il à la fin, la proclamation d’un état français sous charia ? L’ambiance des cités sensibles jusque dans le plus petit village de France ? La spoliation généralisée des Français au bénéfice de cette nouvelle population dont le taux d’oisiveté est bien supérieur à celui de la population générale ?
Mélenchon, dans son accoutrement soviétique d’un autre âge, même plus véhément comme il l’a toujours été, mais acariâtre, vindicatif, abrupte, comme devant les étudiants de Toulouse. Mélenchon à l’image de ses troupes, ceux d’extrême gauche, qui au nom de la lutte contre l’extrême droite, s’auto-légitiment le droit de casser, de brûler, de menacer, d’intimider, de se placer en permanence dans la sédition. Mélenchon mène-t-il un autre combat que celui de l’islamisation de notre pays, par la violence ? Pourquoi prend-il à ce point fait et cause pour cette « nouvelle France », au point de l’inciter quasiment à prendre d’assaut les campagnes françaises ? A ce stade, il faudrait qu’il nous indique s’il est converti à cette religion pour en adopter le ton radical qui sied à ses éléments les plus fanatisés ? Mélenchon et son poulain, battus à Villeneuve-Saint-Georges, expliquent que même s’ils ont perdu, ils ont gagné… il avaient tout le monde contre eux, le RN, les LR, Zemmour… parce que le RN n’a pas tout le monde contre lui : les LFI, les communistes, les LR, Macron, les Socialistes ? Oui, mais dans ce sens là c’est normal. Mélenchon n’a pas l’air de réaliser que sa radicalisation est maintenant visible, que ses idées, son ton, ses méthodes, non seulement ne séduisent plus, mais font peur. A quelque chose malheur est bon, Mélenchon, poussé dans ses retranchements, apparaît de plus en plus tel qu’il est vraiment, prêt à nous réinventer un goulag…
Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
09/02/2025
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Mélenchon un triste sir qui ne mérite d’être traité que par le silence médiatique total.
L’accompagnateur social, alors caniche fiscal journaliste (…) fit sa première « oeuvre de casse industrielle » avec LIP manufacture horlogère à Besançon dans les 81’s au prétexte que l’horlogerie quartz allait tout raser tout rouiller la mécanique.
Depuis, la Suisse tourne autour des 25 milliards/an en CA horloger, et plus rien du tout en made in 100% France.
Le grand timonier baigne l’essence du mal