JE NE PEUX PAS RESTER SILENCIEUSE (Henda Ayari)

Henda El Ayari, dite Henda Ayari, née le  à Rouen, est une militante française du féminisme et de la laïcité.

Ancienne pratiquante musulmane salafiste, elle fonde en 2015 l’association Libératrices qui aide à la défense des femmes et à la prévention contre la radicalisation islamiste. L’année suivante paraît son ouvrage J’ai choisi d’être libre, chez Flammarion, consacré à son parcours et à son engagement. En 2018, elle publie Plus jamais voilée, plus jamais violée aux éditions de l’Observatoire.

Je ne peux pas rester silencieuse pendant qu’on met la France et les Français en danger, en toute conscience.
Henda Ayari : «Le salafisme m'a anesthésiée»
Ce qui se passe est grave, les Français doivent savoir. On cherche à leur cacher des vérités fondamentales, et à leur imposer des décisions lourdes de conséquences sans leur accord.
Il est urgent d’alerter, de dire la vérité, et de rappeler des faits historiques que beaucoup préfèrent cacher.
On nous présente l’accueil des Palestiniens comme un devoir moral, une obligation humanitaire. Mais on ne dit jamais pourquoi même les pays musulmans refusent de les accueillir.
Alors je pose la question, simple et directe : 
Pourquoi la majorité des pays musulmans rejettent-ils les Palestiniens ? Des décennies de discours de solidarité avec la « cause palestinienne », mais dans les faits, ils les expulsent, les isolent, ou leur ferment purement et simplement les portes.
Cette vérité dérange, alors on l’efface mais il faut la rappeler.
Les Palestiniens n’inspirent aucune confiance aux pays arabes. Parce qu’ils ont trahi à plusieurs reprises. Parce qu’ils ont semé le chaos et l’instabilité partout où ils ont été accueillis. Parce qu’ils ont défié les lois, refusé de s’intégrer, cherché à imposer leur propre autorité, souvent par la force. Parce qu’ils ont provoqué des violences, des guerres, et des divisions profondes dans ces pays.
En Jordanie, ils ont été accueillis en masse et ont bénéficié de droits importants, mais sous l’égide de l’OLP, ils ont tenté de renverser le roi, organisé des soulèvements armés, et cherché à prendre le contrôle du pays. Cela a conduit à un bain de sang, à une répression violente, et à leur expulsion massive. Depuis, le régime jordanien leur fait une confiance très limitée, et surveille leur présence comme une menace permanente.
Au Liban, leur présence massive a été à l’origine directe d’un chaos monumental.
Ils ont imposé leurs propres lois dans les camps, armé des milices, attaqué Israël depuis le territoire libanais, et provoqué le déclenchement d’une guerre civile sanglante qui a détruit le pays pendant 15 ans. Ils ont plongé le Liban dans un chaos durable, fracturant la société et détruisant l’économie, tout en refusant l’intégration politique et sociale.
Aujourd’hui encore, les Palestiniens y vivent en quasi-isolement, maintenus dans des camps sans droits civiques, car leur présence continue d’être perçue comme une menace pour la stabilité nationale.
Au Koweït, ils étaient plusieurs centaines de milliers, bien intégrés dans la société et l’économie.
Pourtant, en 1990, lors de l’invasion irakienne, ils ont soutenu Saddam Hussein, trahissant le pays qui les avait accueillis. À la fin de la guerre, ils ont été massivement expulsés, sans regrets.
Cette trahison politique a marqué durablement les esprits dans le Golfe.
En Syrie, ils n’ont jamais été de simples victimes. Ils ont souvent défié le régime, provoquant affrontements et violences, en particulier dans le camp de Yarmouk qui est devenu une poudrière au cœur de la guerre civile. Les Palestiniens ont participé aux combats, formé des milices, et contribué à l’instabilité qui ravage le pays. Le régime syrien, pour sa part, a répondu par la répression et le siège, mais il faut bien comprendre que cette relation conflictuelle est aussi la conséquence des choix politiques des Palestiniens eux-mêmes.
L’Égypte a fermé sa frontière avec Gaza depuis des années. Elle considère le Hamas comme une organisation terroriste. Pour se protéger, elle a construit un mur infranchissable, détruit les tunnels, et interdit toute entrée massive.
C’est un signe clair que même les pays proches refusent d’être les complices d’une organisation qui propage la terreur.
Parlons du Hamas.
Les Palestiniens ont démocratiquement choisi de mettre au pouvoir une organisation terroriste islamiste, liée aux Frères musulmans.
Depuis 17 ans, ce régime endoctrine leur jeunesse dès l’enfance, glorifie les martyrs, enseigne la haine d’Israël, de l’Occident, des Juifs, des chrétiens, et même des Arabes modérés.
Le Hamas a massacré ses propres frères du Fatah, imposé un régime de terreur à Gaza, et revendique ouvertement la destruction d’Israël ainsi que l’instauration d’un califat mondial.
Ce n’est pas un accident ni une fatalité, c’est un choix collectif, une culture politique de la haine et de la violence.
Alors pourquoi devrions-nous, en France, les accueillir sans condition, sans filtre, sans poser de questions ?
D’autant plus que cette décision n’a pas été prise par les Français.
Elle a été imposée par des magistrats, des technocrates, et des décideurs non élus, totalement déconnectés des réalités, sans aucun débat démocratique, sans consulter le peuple, alors que notre pays est déjà en crise.
Ce sont eux les propagateurs du chaos à venir. Ils devront rendre des comptes.
Ce sont nos quartiers qui vont payer.
Ce sont nos enfants qui devront vivre avec les conséquences. Accueillir sur notre sol des personnes issues d’un territoire contrôlé par une organisation islamiste armée, où l’éducation est basée sur la haine, ce n’est pas une erreur. C’est une faute lourde. C’est une décision suicidaire.
Les pays musulmans les plus proches, culturellement et géographiquement, ont tous tiré les leçons de leur expérience avec les Palestiniens. Et nous, en France, on fonce les yeux fermés, au nom d’un « devoir humanitaire » déconnecté de la réalité ?
Non. Assez d’aveuglement ! Assez de lâcheté ! Assez de trahison de notre peuple !
Les faits sont là. Ils parlent d’eux-mêmes. Alors ne nous taisons pas.
Henda Ayari
12/07/2025


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