LES FILLES, NOUVELLES TROUPES DE CHOC DU DJIHADISME (par L’Imprécateur)

Elles portent de jolis noms : Inès, comme l’infante de Castille assassinée (en 1355) en pleine guerre pour chasser les colons mahométans d’Espagne ; Ornella, l’italienne catholique ; Camille, comme Camille Claudel ; Sarah, la juive (1). Elles voulaient commettre un attentat islamiste à la voiture piégée !

Les filles musulmanes ne sont plus ce qu’elles étaient, de la chair à djihadistes en rut, mais des combattantes de choc recrutées par l’État Islamique. Il y aurait en Syrie tout une katiba (bataillon) d’emburkannées maniant la kalach et le couteau à égorger comme des pros.

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Les femmes de cette katiba sont dirigées par Nada Al-Qahtani, l’une des maîtresses d’Abou Bakr al-Baghdadi ; elles ont été envoyées combattre dans le nord-est de la Syrie pour contrer les bataillons féminins des Kurdes et celui des Catholiques syriennes (2).

Pauvres Kurdes, pris entre deux feux, l’EI d’un côté, Erdoğan de l’autre, les deux étant alliés pour les exterminer.

Le drapeau rouge-blanc-vert est celui des Kurdes

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Il y a trois bataillons de femmes : les Kurdes, qui sont des militaires, les Catholiques syriennes et un petit bataillon (125 filles) de Yézidies. Les Russes ont fait un reportage sur elles. Vous n’en entendrez pas parler dans la presse française gouvernementale parce que cela mettrait mal à l’aise nos féministes de gauche qui ont pris fait et cause pour les belphégors emburkannées en complète contradiction avec leurs principes affichés.

Ces femmes sont un exemple de courage, de force et de patriotisme. Alors que bien des jeunes syriens musulmans vivent dans la peur et sont devenus amorphes, le bataillon de femmes syriennes chrétiennes montre sa détermination dans sa lutte pour la liberté.

Car contrairement aux jeunes mâles émasculés qui viennent nombreux se réfugier en Europe par peur de se battre en Syrie contre l’ennemi quel qu’il soit, les filles en ont : « La lutte contre Daech, nous nous y sommes engagées délibérément. Tout en nous rendant compte de l’ampleur des difficultés à surmonter, nous nous sommes tout de même décidées à nous porter volontaires » (une Syrienne catho à Sputniknews).

Or, cela pose un gros problème à Abou Bakr al-Baghdadi le calife : ses barbus sont terrifiés par les femmes et se sauvent en jetant leurs chaussures pour courir plus vite dans le sable dès qu’ils comprennent que les femmes et leurs kalachs arrivent ! Pourquoi ? − Parce que dans les hadiths, il est dit qu’un djihadiste tué par la balle tirée par une femme est condamné à l’enfer d’Iblis (Satan). Le calife a donc réquisitionné des femmes pour combattre le mal par un autre mal.

En temps normal, l’État Islamique n’utilise les femmes que pour la copulation et la reproduction. Leur fonction est de faire des futurs djihadistes. Comme EI manque de femmes, il en recrute en Europe et ailleurs en leur faisant miroiter une vie exaltante dans les bras d’un beau djihadiste. Une fois passée la frontière turque, elles découvrent une toute autre réalité…

Reportage tourné clandestinement par deux femmes qui habitent Raqqa.

Enfermées dans les bordels des troupes de l’EI ou mariées de force, cloîtrées dans leur maison avec interdiction de sortir seules, de chanter, de s’instruire, de lire autre chose que le Coran, d’avoir des amis, de refuser toute exigence aussi cruelle ou avilissante soit-elle si elle vient de leur mari, contrôlées par les femmes de la police de l’EI qui peut les faire lapider pour un problème de hijab non-conforme, d’un cheveu qui dépasse, d’un regard porté sur un homme…

Pépère (c’est ainsi que l’appelle Libération à sa une) vient de nous dire dans son premier discours de campagne, applaudi par les membres de son gouvernement et les cadres du parti (puisque personne d’autre n’avait été accepté salle Wagram de peur de huées et de sifflets), que « L’islam peut-il s’accommoder de la laïcité comme l’ont fait avant lui le catholicisme, les religions réformées, le judaïsme ? Ma réponse est oui, clairement “oui” ». Quoi dire d’autre quand on fricote, lui comme ses ministres, avec le gratin de l’islamisme radical de pays où l’on décapite, ampute, lapide, crucifie et fouette quotidiennement ?

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Un pays qui finance jusque chez nous les terroristes  et les mosquées salafistes où l’on enseigne l’islam le plus radical. Qui ne combat le califat islamique d’Al-Baghdadi que parce que ce n’est pas le sien. Où la seule loi est la loi religieuse. Un pays où les Noirs refusent d’aller parce qu’ils savent que l’esclavage y sévit toujours dans le racisme le plus abject. En 2004, Jeune Afrique s’était  déjà posé la question : « Les Maghrébins sont-ils racistes? » Natifs ou migrants, les Noirs s’indignaient d’être les cibles d’un mépris sans nom, essuyant quotidiennement brimades, crachats et noms d’oiseaux : kahlouch (= nègre), qird (= singe), abid (= esclave), etc.

Les Arabes sont-ils racistes ? « La réponse est clairement “oui” » comme dirait notre président !

Et il nous soutient que l’islam est compatible avec la République quand se prépare une vague d’attentats islamistes à la voiture piégée dont les deux qui viennent d’être empêchés par l’efficacité de la police ne sont que les prémices.

Quand l’un des plus dangereux terroristes connus en France, Merouad Benahmed, un ex-membre du Groupe Islamiste Armé (GIA) algérien, que la Justice de Taubira avait remis en liberté (sous surveillance soit, mais en liberté quand même) alors que l’Algérie le réclamait pour le juger pour attentats et meurtres divers. Une Algérie où le Berbère Slimane Bouhafs dénonce « l’islamisation de la société algérienne et la répression d’État contre les ahmadis (3) et les chrétiens ».

Merouad Benahmed vient de fausser compagnie et partir reprendre un djihad que, n’en doutons pas, il reviendra faire en France.

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Hayat Boumedienne, maitresse de Coulibali (assassin du Casher de Vincelles, s’entrainant à l’arbalète dans le Cantal.

Quand les autorités de la République admettent enfin que les “loups solitaires”, les “tueurs isolés”, les “malades mentaux” voire les “ivrognes tueurs” ne sont qu’un leurre lancé au public pour pourvoir accuser d’islamophobie ceux qui, lucides, expliquaient sur les sites de réinformation comment l’islam radical est organisé en toile. Comme le web, avec des liaisons multiples difficilement décelables, tel le clan familial Merah dirigé par sa femme, Saoud, qui formait au meurtre islamique les mâles de la famille, ou des réseaux plus structurés comme semble le montrer l’enquête en cours sur Inès, Ornella, Camille et Sarah, toutes décrites comme “douces” et “charmantes” par leurs voisins interrogés par les journalistes, mais dont quatre autres “liens”, dont trois hommes, viennent d’être arrêtés.

Hollande est très clairement ignorant de tout ce qui touche à l’islam et c’est normal : il est intoxiqué par les seuls musulmans que consultent les autorités françaises, les sunnites salafistes  du CFCM et de l’UOIF, filiales des Frères musulmans dont l’objectif est l’islamisation de la France par la charia, ce dont ils ne se cachent pas.

Il devrait écouter d’autres musulmans, comme Leïla Bensalem, Algérienne, professeur de Français au Québec où elle a immigré en 1982, qui explique comment l’islamisme gagne au Canada, comme il gagne en France.

https://www.youtube.com/watch?v=PWgfTKU0u-A

« Le réseau djihadiste en France fonctionne comme un cancer : vous pouvez toujours extraire un nodule, les autres continuent à proliférer et en peu de temps reprennent le terrain perdu. »

Objectivement, cela arrange Pépère ! C’est ce que rapporte Cyril Graziani dans son livre Le Premier Secrétaire de la République. C’est Julien Dray, pas vraiment réputé pour son intelligence, qui lui a expliqué : Les attentats islamistes ? « C’est la seule fois où [il a eu] la paix. » Grâce au terrorisme et à l’exploitation compassionnelle qu’il en a fait, il a pu diriger « la France sans être obligé de [se] demander si [sa] majorité allait [lui] planter un couteau dans le dos ».

À C dans l’air, de plus en plus gâteux, Roland Cayrol − porte-parole de François Hollande − expliquait pourquoi il a encore une chance de l’emporter à la présidentielle. Certes, convenait-il, sa popularité est au plus bas (un dernier sondage donne 92 % de mécontents), mais « voyez comme elle a remonté deux fois l’an dernier, en janvier et en novembre… » (jusqu’à presque 40%).

Janvier et novembre 2015 ? Charlie Hebdo et Le Bataclan. Autrement dit, encore quelques gros attentats dont le dernier dans la première semaine de mai 2017 et Hollande serait réélu ? On comprend mieux son amour pour l’islam.

L’Imprécateur

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1 : Sarah en hébreu = princesse

2 : source : Al Arabiya. Al-Arabiya (en arabe العربية) est une chaîne d’information saoudienne

3 : Les Ahmadis sont une minorité musulmane que l’on dit d’origine indoue, à ne pas confondre avec les Berbères dits “armazighs” ,qui parlent l’armazigh, peuple qui a été colonisé au VIIème siècle par les Arabes  qui règnent toujours en maîtres sur l’Algérie