A MA GAUCHE HOLLANDE : 4 % !
A MA DROITE TRUMP : 40 % !

Il est curieux de voir comment certains sondages n’intéressent pas les medias. Ils sont focalisés sur la magnifique opération de « transferts de métastases » de la tumeur calaisienne dans les campagnes de France et à Paris. La presse étrangère ne s’y trompe pas qui voit un effet d’annonce politique plus qu’une action efficace pour régler le problème des migrants en surnombre (Courrier international).

Les Anglais prévoient dans les semaines qui viennent un retour des expulsés de la Jungle vers la côte du Pas de Calais où ils se répartiront en nouveaux petits camps dans les communes voisines de Calais et Boulogne-sur-Mer, ports de départ vers l’Angleterre. La presse allemande (Die Welt, etc.) y voit plutôt le renforcement du sentiment anti-migrants des Français qui vont découvrir dans leurs villages les nuisances et les coûts induits créés par des dizaines de jeunes mâles désœuvrés. Qui n’y trouveront ni travail (il leur est d’ailleurs interdit de travailler), ni divertissements (il faut souvent aller les chercher dans la grande ville voisine), ni même, souvent, commerces.
Le gouvernement n’a pas pris le problème à bras le corps, il l’a émietté en espérant qu’avec l’hiver, la levure contestataire ne prendra pas avant le mois de mai 2017 dans les campagnes, jusqu’ici calmes.

Pendant ce temps-là, Hollande que l’ont croyait au plus bas creuse encore : il en est à 4 % d’opinions favorables.
Plus précisément : 4 % satisfaits, 26 % sans avis et 70 % insatisfaits.

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On comprend que la gauche, qui chante la réussite globale du quinquennat comme Georges Marchais celle de l’URSS autrefois, préfère éviter de discuter du bilan catastrophique de Hollande.
Le Hollande est mort, vive le Valls ! Nous dit-elle !

Même déni de réalité en cachant qu’aux Etats-Unis Trump a remonté le déficit de faveur survenu après la publication par les démocrates d’une vidéo dénonçant de supposés (et possibles) harcèlements sexuels dont les plus anciens remonteraient à… 35 ans.
La plupart des Américains ont compris que le clan Clinton tente de faire à Trump le coup de Hollande à Dominique Strauss-Khan au Sofitel de New York. Surtout que les femmes qui, trente ans après, se souviennent brusquement que Trump leur aurait pincé les fesses sont peu crédibles et toutes, comme par hasard, en dépendance plus ou moins rapprochée du parti démocrate.

Un tiers des Républicains pensent que c’est un affreux dragueur machiste, mais disent qu’à son âge ce n’est pas son passé libertin qui l’empêche de proposer les meilleures solutions pour redresser les Etats-Unis abîmés par Obama, lancés par lui dans des guerres perdues d’avance au Moyen Orient et dans une guerre froide avec la Russie.

En France la presse épargne Hollande et ses misérables 4 % d’opinions favorables.

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Mais elle continue à tacler Trump qui est, lui, à 40 % comme le révèle l’agence Reuters. Et si Clinton le devance encore de 4 points (44 %), elle stagne dans les sondages et commence même à reculer dans certains États-clés. Et bien malin qui sait pour qui voteront les 16 % d’Américains qui, pour le moment, suivent les deux autres candidats à la présidence dont personne ne parle : Gary Johnson, libertarien à 12 %, et Gill Stein, écolo à 4 %.
De plus en plus d’Américains commençant à comprendre qu’Hillary est très liée aux lobbies financiers, dont Goldman Sachs, et qu’elle est sérieusement malade et hystérique, comme son entourage ne le cache même plus, racontant ses malaises à répétition et ses crises de colère ou de fous rires incontrôlés qu’il faut calmer à coups de médicaments après que ses gardes du corps l’aient mise à l’abri des regards et des caméras.

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Il faut écouter Hillary Clinton annoncer son programme : hausses massives d’impôts sur les classes moyennes et aisées, ouverture des frontières à l’immigration, ce n’est pas pour rien que l’Arabie Saoudite et le Qatar financent sa campagne par le biais de la fondation Clinton.
Un  vrai programme socialiste !

Guillaume Roquette fait son travail de journaliste (c’est l’un des rares à le faire), quand il s’interroge sur « Ce que nous dit Trump » (Le Figaro, 30 septembre). Un candidat atypique, certes et qui démontre par l’absurde le mal que font les primaires aux partis politiques et à la démocratie. Aux Etats-Unis elles ont donné Georges W. Bush, n’en parlons pas, puis Barack Obama, improbable Prix Nobel de la Paix. Il a, avec la complicité de sa Secrétaire d’Etat H. Clinton, relancé la guerre froide avec la Russie et fait exploser la Libye et la Syrie pour les livrer à deux djihadistes qui furent dans leur jeunesse formés par la CIA, Oussama Ben Laden et Abou Bakr al Bagdadi.
Aujourd’hui, les primaires ont produit Trump-le-macho côté Républicains et Clinton-la-foldingue côté Démocrates.

En France la première primaire socialiste a donné Hollande, n’en parlons plus. Mais on peut appréhender ce qui sortira de la primaire faussement dite « de la droite et du centre » puisque tous ses candidats voudraient en exclure le FN et que certains acceptent la participation du marécage centriste et de la gauche ex-stalinienne avec au moins deux candidats avouant leur sympathie pour le socialisme et un autre annonçant qu’il votera Hollande si Hollande est face à Marine Le Pen à l’issue du premier tour. Côté primaires, faussement dite elles aussi « de la gauche », le pire est à craindre : Montebourg ? Hamon ? Mélenchon ?  Taubira ? Il y a de quoi avoir peur !

Le succès de Trump devrait faire réfléchir notre « élite » politique, persuadée qu’étant énarque elle détient le Saint Chrême supposé pouvoir guérir les écrouelles françaises du chômage, de la guerre ethnico-religieuse, de la misère qui s’étend.
Aux Etats-Unis, malgré un bon niveau de croissance et d’emploi, il devrait interpeller Hollande et Sapin : la classe moyenne (celle qui fait les élections) n’a pas retrouvé avec Obama son niveau de vie d’avant la crise et se demande pourquoi c’est elle qui finance  – par des impôts en forte augmentation, comme en France – le sauvetage de la finance de Wall Street, soutien intéressé d’Hillary Clinton.

« Ils doutent du capitalisme qui ne les enrichit plus depuis que la finance a pris le contrôle du système. Du libre-échange (voulu par Wall Street et par l’Europe) qui ne profite qu’aux autres » (Guillaume Roquette, Le Figaro).
Sans oublier un interventionnisme américain débridé pour soi-disant instaurer la démocratie dans les dictatures socialistes qu’étaient La Syrie, l’Irak, l’Egypte, la Libye… et qui a finalement abouti à mettre au pouvoir ou à ses portes des islamistes archaïques et sanguinaires soutenus par les pétromonarchies du Golfe : Frères musulmans (Morsi en Egypte), Al Qaïda-Al Nosra ou Etat Islamique.

Trump promet de ramener les Etats-Unis dans leurs frontières ? N’est ce pas ce que souhaitent aussi pour la France de plus en plus de Français effrayés par le changement de civilisation et de culture que veut leur imposer la gauche ?

Laure Mandeville, correspondante du Figaro à Washington pendant huit ans, pose le bon diagnostic sur Trump : « (Il) parle à la hache, mais il révèle l’ampleur des défis et refuse de les éluder. Les réponses qu’il propose sont controversées, potentiellement dangereuses. Mais elles attaquent le sujet central de front : la capacité de l’Occident à protéger sa civilisation et à établir un nouveau modus vivendi avec le monde« .

Nous vivons dans une France secouée à un rythme croissant par des émeutes urbaines ultragauchistes, des violences civiles et banlieusardes meurtrières, des attentats importés et une immigration massive, mahométane et dangereuse parce qu’incontrôlée, et incontrôlée parce que voulue par le pouvoir socialiste, le CAC 40 et la Commission européenne.

Nous vivons dans une France où police et gendarmerie sont anesthésiées (et s’en plaignent) par un pouvoir incapable d’empêcher des groupes armés de circuler, comme à Marseille-Nord et Paris et d’empêcher des pays étrangers de les financer.

Nous vivons dans une France où les trafics de drogue se développent, encouragés par des salles de shoot publiques financées par l’impôt, où les pouvoirs publics financent plus ou moins ouvertement une religion incompatible avec la République.

Ne pensez-vous pas que malgré tous leurs défauts, des hommes qui savent monter au front sans trop de scrupules ne vaudraient pas mieux que les chochotteries altermondialistes, immigrationnistes et droitdelhommistes que l’on veut nous faire gober comme la panacée d’une identité heureuse et d’un rêve réenchanté ?

Et puis, des hommes capables d’épouser et de garder en leur restant fidèle des mannequins, Melania et Carla, ne peuvent pas être foncièrement mauvais !
Contrairement à Carla Bruni, Melania Knavs est peu connue. Née dans la province slovène de la Yougoslavie communiste en 1970, fille de deux ouvriers membres du parti, elle a connu la lutte pour l’indépendance à dix ans et n’a pu quitter la Slovénie passée du communisme au socialisme qu’à 19 ans pour gagner les Etats-Unis. Elle y a rencontré Donald dans une soirée chez lui, à laquelle participaient les Clinton, Bill et Hillary, l’un comme l’autre en pleine effervescence sexuelle, ce dont ils ne se vantent pas aujourd’hui ! Après une relation amoureuse orageuse émaillée de ruptures et de retrouvailles, elle a épousé Donald.

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Elle a aujourd’hui 46 ans,  est parfaitement consciente du machisme de son mari, « il n’est pas du genre à changer les couches« , dit-elle. Mais de même que lorsque l’on épouse un brasero, il ne faut pas être surpris de voir les hommes tourner autour pour s’y chauffer, elle convient qu’épouser un étalon comporte le risque de quelques bavures avec des pouliches qui veulent l’essayer. Elle ne lui en tient donc pas rigueur. Elle est du genre « sois belle et tais-toi », mais conseille et instruit Donald, et il l’écoute, quand il s’agit de socialisme et de communisme, car les ayant vécus et en ayant souffert dans sa chair, elle en parle en connaissance de cause. Ce n’est pas le cas de bien des premières dames. Alors, certes, si Trump est élu, elle ne sera pas comme Madame Reagan « une faiseuse de paix« , ni comme Madame Clinton « une fouteuse de guerres« , mais elle a ce qu’il faut pour séduire bien des chefs d’Etat.

Quand on a vu comment Hollande a dragué ouvertement la très belle reine d’Espagne lors d’une visite officielle, on peut être certain qu’après avoir rencontré Melania Trump, il deviendra trumpiste à 100 % !

L’Imprécateur

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