IL EST TEMPS DE NETTOYER LA FRANCE ! (Pierre Duriot)

Il faut bien se le dire : il n’y a pas d’urgence « carbone ». Il n’y a qu’une orchestration savamment relayée, comme ont pu l’être celles du Covid, ou de la guerre en Ukraine.

 

 

 

Le taux de carbone dans l’atmosphère terrestre, comme les carottes prélevées dans les sols l’attestent, a été autrement plus élevé à travers les âges, que maintenant. Et ce n’était pas la faute de l’homme ;  il n’existait pas… La température moyenne aussi, a été autrement plus élevée et il n’y avait pas la moindre industrie. « L’urgence écologique » est une machine de guerre, pour nous culpabiliser et nous vendre, hors de prix, des technologies qui ne sont propres que dans les discours officiels. Mais il y a une urgence écologique tout de même, elle est ailleurs.

LA PREMIÈRE URGENCE

Au RPF, nous avons une première urgence : nettoyer la France. Vivre de manière respectueuse de l’environnement, c’est déjà vivre dans un pays propre. Il faut remettre en état des coins de nature pollués par les déchets sauvages. Et surtout, s’occuper des villes, les grandes en particulier, qui sont devenus des dépotoirs à ciel ouvert. Pour s’en convaincre, il suffit d’aller se promener dans Paris, de voir les tonnes d’immondices, sous les tunnels, le long des axes routiers et ferroviaires, ou dans des endroits désaffectés de banlieues.

Marseille, Lille et autres grands centres urbains, sont également constellés de déchets urbains, qui constituent parfois des couches épaisses, facteurs de tous les risques épidémiologiques, avec notamment la profusion de rats, pompeusement rebaptisés surmulots par les écologistes hystériques parisiens, afin de les dédramatiser. Changer le nom ne change pas le problème, comme ils ont l’air de le croire. Pour prendre conscience de la saleté de Paris, il suffit de se rendre à Berne, ou à Singapour et d’y tester le bonheur qu’il peut y avoir à vivre dans une ville propre.

Saleté également liée à l’importation massive d’une population peu sensible, c’est le moins que l’on puisse dire, à ces questions. La France blanche, maintenant honnie, des années soixante, n’était pas un pays sale.

LA SECONDE URGENCE

L’autre urgence est celle de la disparition d’écosystèmes entiers et de petites faunes des champs, des rivières et des marécages, mais la faute est aux pesticides et autres produits phytosanitaires qui ont tôt fait d’empoisonner des régions entières, alors qu’il existe des solutions pérennes susceptibles de ne pas endommager la nature et de préserver les quantités de récoltes. Salamandres, abeilles, grenouilles, petits mammifères disparaissent, tandis que

 


le gros gibier prolifère et se retrouve, en certains endroits, en surnombre, générant pour le coup, des problèmes écologiques.

Avant de se préoccuper de planète, il faut se préoccuper des terroirs. La France, avec ses 1 % de la population et de la pollution mondiales, pourrait bien retourner à un mode vie néandertalien que le visage de la planète ne s’en trouverait pas modifié d’un iota. Ceux qui se disent « écologistes », sont manœuvrés par les lobbies de l’énergie et ne démordront jamais de la doctrine qui les enrichit. Les partis d’opposition doivent reprendre la main sur ces thématiques laissées aux idéologues mondialistes.

Pierre Duriot 

10/10/2022

8 Commentaires

  1. Vraiment nettoyer la France et pas seulement balancer une phrase sans suite comme celle de Sarko et son karcher ! Mais un coup de balai ne suffira pas. Il faudra une noria d’avions via l’Afrique …. ça nous pourrions le faire, nous devons le faire ! Alors Eric ZEMMOUR n’aura pa perdu son temps à écrire : La France n’a pas dit son dernier mot ! Merci Mr DURIOT pour cet article.

  2. Article et commentaires de qualité, mes félicitations à leurs auteurs. On constate en effet qu’il y deux écologies, celle discrète et peu audible des vrais connaisseurs du fonctionnement de la Planète, ceux qui savent pourquoi il y a des courants marins chauds et des froids, des vents qui dans l’hémisphère nord vont essentiellement d’ouest en est, des zones terrestres plus chaudes ou froides que d’autres parce que plus ou moins éloignées du très brulant magma du centre de la Terre, Ils savent pourquoi l’inclinaison de l’axe de la terre en s’inclinant un peu plus depuis quelques années fait que l’hémisphère nord se réchauffe et l’hémisphère sud se refroidit, etc.
    Et puis il y a l’écologie politique incarnée dans les partis dits “Verts”, comme EELV, une écologie bruyante, bavarde, voyante. Elle se moque du sort de la Planète. Son seul vrai souci c’est de prendre le pouvoir. Fille du mondialisme et de ses théories de décroissance, malthusiennes sur la démographie, il faut absolument exterminer une partie de la population mondiale, “par des épidémies et guerres”, dit Klaus Schwab. Totalement inculte dans toutes les sciences évoquées plus haut, elle invente des dangers pour la planète avec l’aide de scientifiques de plateaux TV, prêts à dire n’importe quoi s’ils sont bien payés : le CO2 réchauffe l’air, les océans vont monter et noyer une partie de la Terre, les forêts disparaissent, tous les animaux vont être exterminés par les hommes, un réveil massif des volcans va tout détruire. Ils répètent ça depuis 50 ans et rien ne s’est produit. Mais peu importe, l’important est de maintenir un climat de peur et de faire voter pour les partis verts.
    Regardez Paris, c’est l’une des cinq villes les plus sales de France et la capitale européenne la plus sale de toutes avec des rats qui pullulent. Mais parce qu’Anne Hidalgo se dit “verte”, les parisiens votent pour elle.
    mais ce n’est peut-être pas si stupide.Si les pénuries alimmentaires voulues par le gouvernement se multiplient, eux au moins auront des rats bien gras à manger ! (LOL)

  3. Le pire c’est de faire croire qu’en faisant le tri des poubelles on va sauver la planète. En 2005 Engie voulait faire un Co générateur à Fos sur mer avec les poubelles de la vallée du Rhône. Pour cela il fallait réhomogénéiser les poubelles triées sur un an. On trie et Engie remélangeait. Quelle stupidité. Puis maintenant on veut mettre un composteur. Engie n’aura plus rien à brûler.
    Jancovici dit que le plus polluant c’est la fabrication et donc favoriser la réutilisation. En l’écoutant on devrait rester chez soi locaconsommateur et donc anti mondialisation pour l’héritage intégrale (sans que l’état se serve au passage) contre les médicaments vaccins pour développer sa propre immunité sanitaire. Tout le contraire de ce que propose les partis politiques.
    Le retour à l’écologie c’est le refus de l’homme augmenté, de la PMA, GPA, de la migration.
    Les pollutions à combattre c’est l’éolien avec les terres rares et le lithium, les voitures électriques. On repousse la pollution chez les autres pour faire croire qu’on est propre chez nous. Le photovoltaïque n’est pas recyclable et pour compenser la non production les jours nuageux et la nuit on met en marche des usines au gaz au charbon à la lignite en Allemagne.

  4. Je vis sur une île….française…..magnifique, mais …… sale ! J’en conclue que les français sont sales, épicétou !
    Jamais je n’ai jeté un papier par terre, ou laissé une cannette vide à un endroit !
    L’être humain me débecte !

  5. En effet, quelques milliers d’années auparavant, la végétation sur terre était dense et luxuriante, sans beaucoup de désert tant le niveau de CO2 était élevé. Tous ceux qui fustigent les autres à propos du CO2 n’ont aucune connaissance de la photosynthèse. C’est dire le niveau d’abrutissement des escrologistes.

    Les immondices des grands villes sont en effet propices à la prolifération des rats, eux même vecteurs de leptospirose et potentiellement de peste et de choléra. On dirait même que cet état est sciemment installé pour être propice à des épidémies…

    Quant aux animaux sauvages, certes la prolifération des gros implique la disparition des petits. Les sangliers, par exemple, ont un certain omnivorisme et mangent tout ce qui traine ; et vu qu’ils sont de plus en plus nombreux… Dans le Var, par exemple, département le plus boisé de France, les chevreuils, les sangliers surtout prolifèrent…et les loups aussi. Quand c’est la saison de la naissance des marcassins, les loups font le ménage, mais en dehors de cette manne, ils se tournent vers les moutons moins défensifs et plus faciles à attraper. Il savent aussi que les moutons ne mordent pas, pardi ! Quant aux chasseurs, quand 3 vieux cessent de chasser, un seul jeune les remplace. Les associations de chasseurs en ont aussi marre d’indemniser les agriculteurs pour les dégâts des sangliers qu’ils n’arrivent pas à abattre. Parfois, les battues font une hécatombe, mais en vain. Les loups font ce qu’ils peuvent et le Var compte déjà plusieurs meutes ; environ une dizaine.
    Et cela me fait penser par ailleurs que souvent, les loups sont apparus la veille des guerres et des grandes misères, tel un signe du destin… Allez savoir…

  6. Parfait résumé de la situation ! J’en étais consciente, ayant lu ce qu’il y avait à lire sur le sujet… Ayant vécu à Marseille de 2010 à 2019 . Ayant ouvert les yeux et m’étant bien souvent bouché le nez… Enfin bref… Merci et bravo pour cet excellent résumé. Le problème une fois posé et bien posé, reste à savoir comment combattre et mettre hors d’état de nuire, ces lobbies, ces associations nuisibles… Ces idéologues imbéciles et/ou malfaisants, faux humanistes et vrais adeptes d’un totalitarisme pourri…

Les commentaires sont fermés.