EXIGEONS UN RÉFÉRENDUM ! (Christian Vanneste)

 

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Un président élu deux fois par défaut, la première fois grâce à un coup d’Etat médiatico-judiciaire, la seconde dans l’abrutissement post-covidien qui lui a permis d’éluder la campagne, un homme dénué d’expérience politique, sorti de l’Ena et inspecteur des finances comme tous les politiciens qui ont coulé notre pays, un banquier éphémère dont le seul et douteux exploit se réduit à une vente entre deux grandes entreprises internationales, un copain protégé par des parrains à la fois socialistes et amis des milliardaires, adeptes du mondialisme et de la mort de notre civilisation comme Attali, un mari au sein d’un couple improbable dont l’image a été fabriquée par la sulfureuse Mimi Marchand, l’un de ces personnages qui comme Benalla n’ont rien à faire à l’Elysée, mais qui y sont depuis qu’il y est, un grand causeur et un petit faiseur, dont le bilan est en tous points calamiteux, voilà donc le chef que les Français, dupés et pour certains heureux de l’être, se sont donné.

Il est hélas trop facile d’aligner les attendus du réquisitoire : élu dans une vague d’antiparlementarisme moralisateur, Macron a depuis été entouré par des affaires qui ont touché ses amis et qui le rattraperont à la sortie. Qu’est devenue la fortune acquise rapidement chez Rothschild ? Le mot de haute trahison est-il excessif lorsqu’un détenteur du pouvoir au plus haut niveau brade des fleurons industriels français comme Alstom ? Que sont devenus et que deviendront les nombreux chefs de parti, parlementaires transfuges de droite et de gauche, ministres, et jusqu’au secrétaire général de l’Elysée auxquels la Justice demande des comptes ? Mais il suffit de voir dans quel état se trouve la France pour que le mot de trahison devienne le fil conducteur du scénario depuis qu’un certain Macron a pénétré à l’Elysée comme secrétaire général adjoint de la présidence sous Hollande ! Un pays déclassé, qui a perdu son industrie, qui bat des records de déficits et de dette, qui obéit à l’Allemagne, et à travers elle aux Etats-Unis, un pays humilié par une politique de repentance injustifiée qui nous soumet à nos ennemis et fait fuir nos amis, un pays qui a cessé de compter sur la scène internationale où les leçons débitées sur un ton précieux par un ignorant malhabile ne peuvent plus susciter que le mépris, un pays vérolé par la drogue, les trafics et la délinquance, un pays dont l’identité prestigieuse s’efface avec une langue envahie par le sabir anglo-saxon et une population submergée par les vagues migratoires, un pays dont les piliers s’effondrent avec la chute vertigineuse de l’éducation et de la santé, tel est l’état de la France après six ans de macronie !

Mais au coeur de ce noir bilan, il y a une autre victime que la France, c’est la démocratie. Cette caricature de la caste politicienne qu’est Jean-Pierre Raffarin a avoué le crime dont il s’est fait le complice fervent : dans un tweet, il affirme que la démocratie, c’est l’Etat de droit, vieux sophisme qui fait passer le légal pour le légitime, la forme pour le fond, le pouvoir d’une oligarchie astucieuse pour celui du peuple. Non, la démocratie, c’est le régime soumis à la souveraineté du Peuple, au travers de ses représentants, certes, mais aussi directement par l’usage du référendum. Cette double voie fait d’ailleurs partie de notre “Etat de droit”, lequel n’est que l’ensemble des règles qui canalisent la volonté populaire pour qu’elle respecte les minorités et les individus, non pour qu’elle se soumette au bon vouloir de groupes de pression, de factions ou de coteries. Lorsqu’on remet à leur place respective la démocratie et l’Etat de droit dans la situation que le pouvoir a créée dans notre pays à l’occasion de la réforme des retraites, la réalité devient claire : la France n’est plus une démocratie !

En 2022, les Français, épuisés par la crise du covid, ont choisi Charybde-Macron pour éviter Scylla-Le Pen. Beaucoup de ceux qui ont fait ce choix ne partageaient nullement les idées de l’élu, mais refusaient davantage celles de son adversaire. Le niveau d’abstention a atteint un record pour une élection présidentielle. Surtout, contrairement à l’habitude, et malgré l’effet de levier du mode de scrutin, les électeurs n’ont pas offert de majorité parlementaire au président. L’Etat de droit de notre république n’est pas le régime présidentiel, mais un régime parlementaire rationalisé où l’exécutif prend le pas sur le législatif, le président ou le premier ministre quand ce dernier est l’expression d’une majorité parlementaire. Le premier déni de démocratie du pouvoir actuel est de considérer que la France est un régime présidentiel sans contre-pouvoir puisque grâce à l’usage immodéré du “droit” le président impose sa volonté au Parlement. Le choix de faire passer une loi aussi importante par le biais d’une loi rectificative du budget de la sécurité sociale est dès le début une entorse à l’esprit de la loi : son sujet est trop important et de trop longue durée pour entrer dans un processus législatif voué à l’urgence et au détail. Mais il autorise l’usage du 49/3, soit l’approbation sans vote, donc sans l’avis des représentants d’un peuple qui, d’après les sondages vomit très majoritairement le projet de loi !https://images.lanouvellerepublique.fr/image/upload/64132d21471a440f048b45a4.jpg Le cirque déployé par l’extrême-gauche à l’Assemblée a permis de donner le beau rôle au Sénat dont la représentativité est contestable : des notables élus par de grands électeurs qui forment une majorité “en retard” sur la réalité du pays auront pesé davantage sur le vote de la réforme que les députés élus au scrutin direct ! Encore ce vote aura-t-il été obtenu en utilisant des procédures inusitées qui ont amputé le débat sénatorial. Quant à la rue qui mobilise sans cesse, quant aux mouvements lancés par des syndicats unis comme jamais, le mépris souverain les accueille : le président après sa soirée-bière en Afrique refuse de recevoir les représentants syndicaux. Il continue à prétendre que les Français ont choisi cette réforme en le réélisant, alors qu’il avait d’abord proposé une vraie réforme, fondée sur un système comparable à celui réalisé en Suède. Il avait d’ailleurs lui-même dénoncé le caractère injuste de l’augmentation des années de cotisation. Mépris de la colère populaire, désinvolture par rapport à ses propres positions : comment et pourquoi les Français ne se révoltent-ils pas ? Le marteau-pilon de la stratégie anti-covid, dont on découvre maintenant les errements et les fautes, les a habitués à la soumission à d’autres intérêts que les leurs. Les difficultés de la vie quotidienne avec l’obsession légitime du pouvoir d’achat, et l’affaiblissement de la solidarité familiale, rendent plus pénible la participation à des grèves ou à des manifestations. Avec un rare cynisme, le pouvoir actuel en joue, en espérant le pourrissement avec la lassitude des usagers et comme d’habitude les exactions des blacks-blocs, plus utiles que jamais. Après le consensus obtenu au sein d’une commission mixte paritaire qui donne artificiellement une large majorité aux partisans de la réforme, le gouvernement a néanmoins eu recours à l’article 49/3 pour éviter d’être battu. Entre voter un texte et entraîner une dissolution de l’Assemblée, il y a un Rubicon que des députés refuseront de franchir : la peur, à défaut des cadeaux promis à certains d’entre eux, figure le dernier déni de démocratie que le pouvoir inflige à la France : imposer à un peuple réticent, par un vote négatif, la volonté d’un homme dénué de toute légitimité politique ou morale !

https://images.bfmtv.com/mrkJhkDqfPs2IdI3qsmLdY5O1Ac=/7x97:2039x1240/640x0/images/Une-electrice-glisse-son-bulletin-dans-une-urne-du-Touquet-pour-le-premier-tour-des-legislatives-1430109.jpg

La conclusion s’impose : l’intérêt supérieur de la France, comme aurait dit de Gaulle impose que le spectacle cesse, que l’histrion bavard quitte la scène ! Mais, auparavant, la survie de la démocratie dans notre pays implique qu’un référendum soit organisé sur la réforme des retraites : cela est possible grâce à la révision constitutionnelle de 2008. Il se trouve que j’ai été l’auteur d’un des amendements qui ont abouti à ce dispositif référendaire. Il faudra que plus de quatre millions de Français l’exigent par pétition, un électeur sur dix, et un parlementaire sur cinq. Ce qui paraissait impossible devient accessible avec les syndicats, les partis politiques et la masse des opposants motivés ! Certes, le pouvoir pourrait néanmoins se contenter d’un nouveau débat à l’Assemblée, mais, cette fois, on peut penser qu’il n’osera pas !

Christian Vanneste

https://www.christianvanneste.fr/

17 mars 2023

23 Commentaires

  1. Applaudissements et chapeau bas. Merci pour ce billet criant de vérités. Même si je ne suis pas pessimiste de nature, je ne crois pas que ce référendum voit le jour. Ce serait un miracle …

  2. De GAULLE désavoué a eu le courage et l’honnêteté de partir, ce n’est pas ce petit morveux et hargneux micron qui le fera.
    Avant lui, d’autres trop nombreux ont détruit ce beau pays qu’était cette France, vendant aux plus offrants ou les plus malins nos grandes industries et faisant de ce pays le plus beau soit disant où il ferait bon vivre, un pays devenu la risée du monde. Même les pires pays sous développés se moque de cette France moribonde.
    Quel aveuglement…
    Depuis toujours, j’ai vu cette France s’auto détruire par l’idéologie d’un nombre grandissant de carriéristes politiciens, d’incapables, de vendus à cette dictature Européenne, mondiale, à cette soumission aux intérêts des Etats Unis, et j’en passe.
    Plus d’industries et une des dernières en date, notre production d’énergie, cette dernière indépendance qui aujourd’hui met à terre et mettra des centaines de petits commerces, artisans, des industries qui ne vendront plus faute de voir le consommateur ne plus pouvoir acheter… Des milliers de chômeurs dont il faudra peut-être faire des soldats pour retrouver ce que chaque après guerre apporte de reconstructions, de travail, de commémorations nouvelles (et de l’oubli de tenir compte du passé pour avancer dignement en faisant en sorte que ce peuple soit heureux.). Ces gens qui comme aujourd’hui gouvernent à courte vue sans pour autant se soucier que le peuple sera toujours le peuple dont certains abusent… Mais attention, quand le peuple aura trop fain, rien ne l’arrêtera.
    Comment peut-on redresser les financements des retraites sans industries ? N’était-ce pas la première chose à faire avant de demander aux françaises de faire des bébés ? Quand la culture de l’anti travail est de mise dans nombres de lieux où l’instruction devrait être la norme avant toutes idéologies, comment donner l’envie d’avoir et pratiquer un métier permettant de vivre désâment ?
    Ce n’est pas avec les nouveaux projets en préparatifs (toujours plus d’immigrations pour combler la main-d’œuvre manquante) que le pays va se redresser.
    Quand les poches sont vides, que ce sont les pays voisins qui travaillent, ce n’est pas avec cette immigration imposée que le peu de français et patriote auront cette envie de reconstruire ce que tant de politiques auront si facilement détruit…,

    Chassez le naturel, il vous reviendra au galop…

    Pauvre France dont le peuple qu’on le veuille où non reste aveugle et passif…

    • ET de plus n’avait pas autant d’ennemi : il avait avec lui des gens et des classes de citoyens qui sont contre macron de l’ouvrier à l’étudiant en passant par la bourgeoisie qu’il etrille ,et les retraités qu’il a trahi et malgré il reste :Je pense tout de même qu’il va se faire avoir
      ….probablement par ses defauts: comme vous dites .Chasser le naturei il revient au galop
      Je réve pour lui d’un beau procés afin que maintenant il ne parte pas en claquant la porte
      comme degaulle ou giscard : ceux là sont partis en pensant que de cet honorable pays je ne ferai pas plus que ce j’ai souhaité, tandis que MACRON partirait en pensant ,je n’ai pas pu les avoir ces enfoirés que j’ai détesté.ET bien nous on dira c’est nous qui t’avons
      “baisé”.car à la longue en te decouvrant on te détestait de plus en plus.

  3. Quel dépté aura le courage de demander l’application de l’articl 68 de notre Constitution ?

  4. Accepter un référendum serait pour lui mettre sa tête dans la guillotine et avouer sa nullité.
    Quand on pense qu’avant d’être “élu”, il a dépecer ALSTOM; fleuron de notre énergie, avec la bénédiction de l’artéfact Hollande et le silence lourd de toute la classe politique dont aucun n’a d’envergure pour régner. Alors oui, il faut aller chercher ce minable inculte pour ne pas qu’il continue encore 4 ans. NON. Mais pour qui voter?

    • Le “système” va vite vous proposer le remplaçant qui est en chauffe : Edouard Philippe.

      • Bonjour, si c’est le cas, ce serait remplacer une crotte par une merde… Dans la merde, on y est déjà, les français ont si bien votés, alors pourquoi changer ?

  5. Je me permets d’y revenir grâce à des notes prises d’un propos de Gérard Pierre il y a près de 10 ans.

    Le discours fondateur de l’abbé Sieyès en date du 7 septembre 1789.
    L’abbé Sieyès, un ecclésiastique presqu’aussi retord que l’évêque Talleyrand, …… l’un et l’autre étant des personnages déterminants de la révolution et du directoire, …… L’abbé Sieyès donc dis-je, opposait le gouvernement représentatif, …… qu’il promouvait, …… et le gouvernement démocratique qu’il rejetait.
    Texte intégral de son discours FONDATEUR de la République :
    « Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne serait plus cet État représentatif ; ce serait un État démocratique. Le peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la France ne saurait l’être), le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. »

    Cela peut-il être dit et écrit plus clairement ?

    Depuis la fulgurante 1ère république jusqu’à la Vème, PERSONNE n’a jamais remis ce principe fondamental en cause ! …… et la VIème république réclamée par messieurs Mélenchon et consorts, n’envisage pas de changer quoi que ce soit à cela !

    Vous comprenez peut-être maintenant pourquoi, après que les Français aient rejeté par 53% des voix le projet de traité constitutionnel européen, le Président Sarkozy [représentant au sens très sieyèsien du terme] s’est empressé d’aller dédire à Bruxelles le résultat de notre suffrage universel ! …… et ce en toute conformité des lois de la république une & indivisible, et de la Constitution !

    Les hommes politiques entretiennent sciemment dans l’esprit des électeurs l’idée fausse selon laquelle république = démocratie, et que réciproquement démocratie = république !

    Or, pour que nous fussions une démocratie, il faudrait AU MINIMUM que la république accepte DEUX PRINCIPES qu’elle a toujours rejeté jusqu’à présent avec obstination mais qui sont pourtant pratiqués sans problème dans nos Assemblées Générales d’Associations, dans n’importe quelle Assemblée Générale de copropriétaires, ou dans n’importe quel Conseil d’Administration :
    1 ) Le QUORUM, …… c’est-à-dire l’obligation d’un taux de participation minimum de :
    50 + epsilon %.
    2 ) La reconnaissance et la prise en compte des ABSTENTIONS lors des votes.

    L’ami Gérard Pierre développe ensuite sa pensée. Si ça vous intéresse j’ai le texte intégral. Pas un politichien ne peut contester.

  6. Merci Monsieur Vanneste,Pour vos réflexions toujours aussi pertinentes…
    Depuis plus de 20 ans je vous ai toujours apprécié.
    Le plus… C’est d’avoir pris vos distances avec ce petit énervé de Sarko, qui a préfiguré l’arrivée des deux paies qui ont suivi…

  7. Il n’y aura pas de référendum. Ce serait pour Micron signer son arrêt de mort. Il a violé la constitution (et continue), il a violé les lois tout comme ses ministres, et vous voulez un référendum de la part de ces gens ?!!! Folie !
    Ils font ce qu’ils veulent et les Français laissent faire en continuant de consentir ; Par masochisme, manifestement ! Que voulez-vous qu’il se passe de positif ? Il ne faut plus rêver mais agir.

  8. Le référendum est LA solution puisqu’il permet au Peuple de donner son avis DIRECTEMENT et non par le truchement d’un politicien. Et c’est un peu le problème. Le député est élu par les gens de sa circonscription et les représente à l’AN. Ors, à l’Assemblée Nationale, il n’est plus qu’un pion du parti auquel il appartient et doit obéir aux ordres de ce parti même s’ils sont contraires aux volontés des électeurs. On peut dire que les partis politiques ont volé la démocratie, déjà pour le TCE et de nombreuses fois depuis.

  9. Il faut que nous nous battons pour que tous nous demandions l Article 68 nous ne pouvons plus continuer d avoir un Président. Imbuvable que tout le monde entier nous tourné le dos il n en fait qu à son ordre mondial nous en avons marre

  10. On sait ce qu’il advint d’un certain référendum donc pour s’assoir dessus et faire l’inverse de ce que le peuple a voté je dis non merci doux rêveur. Quant à ce que députés et sénateurs fassent ce qui leur impartit à savoir constitution d’une procédure de destitution de macrotte et consorts pour haute trahison , les potins évoqués sont suffisamment nombreux et graves pour espérer légitimement aboutir. Au lieu de cela que constate t on , une caste de nantis préoccupés par leurs seuls privilèges et qui se contrefoutent des problèmes sociaux que je sache leur régime spécieux de retraite n’ont pas été évoqués à une réforme…. Cherchez l’erreur.

    • le referendum n’est pas dans la culture française :En france il y a referendum que lorsque la situation est pourrie ou lorsque les carottes sont deja cuites. :et je me demande même si les vôtes ne sont pas truqués :alors là je vous donne raison mais ce n’est pas une raison de désespérer.
      Qu’est ce qu’il y a eu comme referendum…. Truqués
      Algérie française ou algerienne puis l’europe et c’est tout je crois ou alors rafraichissez moi la mémoire.: Alors la democratie française s’écrit bien avec deux S
      Bon courage mr martel

  11. Mr Vanneste, j’aime beaucoup vos articles, toujours justes, mais avec le respect que je vous dois, vous êtes trop discret, des gens comme vous devraient s’engager, encore, selon votre affinité, avec….. ? C’est vous qui décidez !
    Sinon, j’avais participé au référendum sur l’aéroport de Paris……ça n’était pas facile, la procédure était assez complexe pour tenter de décourager le quidam…! Résultat : pas assez de votes !

  12. C’est la meilleure des solutions à condition de bien expliquer les possibilites annexes
    Nous sommes dans un pays de democratie soit disant :Et pour le prouver ce n’est pas à coups de 49/3:Je comprends la colère :Elle est légitime Mais au dela du plan retraite ,il y a aussi un lourd contentieux et personne parmi les opposants au regime MACRON n’a veritablement le courage de s’y opposer et en général quand on a du courage ,on profite du pretexte.: ce qu’ils ne font pas :ils ne doivent pas etre si malheureux que ça.et le peuple ,ils s’en foutent tout autant que macron.:
    Le travail est peut être moins pénible qu’avant mais il est plus usant nerveusement et à tout point de vue en commençant par l’instabilité du travail ,des remises en question permanentes, de l’instabilité familiale,du manque de respect et de reconnaissance:C’est une époque ignoble oui ignoble ,une époque de salauds ou d’ordures,de traitres:C’est une époque incomparable d’apres ce que disent les ancêtres.qui ont pourtant connu aussi de mauvaises periodes.

  13. Le tableau :
    – D’un côté Macron, petit exécutant de la destruction de la nation, aux ordres de Swab et Soros. Pas besoin d’en dire plus.
    – De l’autre la caste des politiciens uniquement préoccupés de leur situation et prêts à tout pour ça. Le meilleur exemple est celui que vous citez, cette ordure de Raffarin qui vient donner des leçons de démocratie alors qu’il est le valet servile de la Chine !
    -Et en face le peuple de France, de moins en moins éduqué ni formé, de moins en moins concerné par la France, avec une jeunesse soumise avec force aux diktats abominables du wokisme.. Un peuple abstentionniste.
    Alors votre idée de référendum est séduisante mais avec le niveau atteint par l’abstention il vaut mieux oublier … ou rendre le vote obligatoire.

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