LE GREAT RESET, EXPLIQUÉ PAR LE PRINCE CHARLES (L’Imprécateur)

Dans son troupeau de “poulains” Klaus Schwab, fils d’une célèbre famille de nazis, en a un célèbre, Charles, prince de Galles, fils d’Elisabeth II. Il lui a confié le soin d’expliquer ce qu’était le Great Reset.

Charles ne s’en est pas trop mal tiré. Ce qu’il révèle permet de comprendre pourquoi la majorité de la population et des pays du monde n’en veulent pas ! Cela revient à dire en un résumé lapidaire : “Nous, l’élite, nous avons besoin de plus de place et de plus de domestiques disciplinés, nous allons supprimer les autres“.

 

 

 

LES 5 POINTS DU PRINCE CHARLES : QU’EST-CE QUE LE GREAT RESET ?
(Les observations sont en bleu et en italiques)

1 – La prise de possession de l’imagination et de la volonté de l’humanité – le changement n’aura lieu que si les citoyens le veulent réellement.

Il est absurde et contradictoire de dire que si l’humanité est privée d’imagination et de volonté, elle pourra dire ce qu’elle veut réellement !

2 – La relance économique doit mettre le monde sur la voie de l’emploi, du mode de vie et du développement durable. Il faut réinventer les structures de production traditionnelles qui ont eu des effets pervers sur l’environnement planétaire.

Il est facile de critiquer les boomers en les accusant d’être responsables du chômage, de la chute des revenus entrainant celle du niveau de vie et d’avoir créé des structures de production traditionnelles qui nuiraient à l’environnement…
C’est oublier qu’en 1918 et 1945 ce sont eux qui en quelques années ont reconstruit les villes bombardées et rasées par les Anglais de Brest à Dunkerque, par les Allemands ailleurs, créé des millions d’emplois, généré une croissance de l’économie de 5 à 6 % par an, ce qu’aucun régime socialiste n’a jamais réussi à faire.
C’est à partir de 1974 et l’arrivée des énarques socialistes au pouvoir que la chute de la France a commencé.

3 – Les systèmes et les procédés doivent être réinventés pour atteindre la neutralité carbone à l’échelle mondiale. Taxer le carbone peut être une manière de parvenir à un marché durable.

Aucune étude scientifique ne prouve que la neutralité carbone sera profitable à la nature. C’est le passage de 0,040 à 0,047 % de la teneur en CO2 de l’atmosphère qui fait que les forêts ont partout remarquablement résisté à la sécheresse que les écolos prétendent catastrophique. Elles sont denses de jeunes arbres, touffues comme elles ne l’ont jamais été. Il suffit d’ouvrir les yeux pour le constater. Ainsi que le fait que l’Humanité n’en a en rien souffert. Comme dans toutes les périodes chaudes, le taux de mortalité a légèrement bougé. Quant à taxer, l’élite ne sait faire que ça !

 Forêt en Haute Garonne,

4 – La science, la technologie et l’innovation doivent recevoir un nouvel élan. L’humanité est à la veille d’un changement drastique qui changera notre vision de ce qui est possible et profitable dans le contexte d’un avenir durable.

Faux, ce changement drastique n’aura lieu que si les citoyens “le veulent réellement”, comme dit en 1. Tous les sondages montrent qu’à part une infime minorité, ils n’en veulent pas ! 

5 – Les investissements doivent être rééquilibrés. L’accélération des investissements verts peut offrir des possibilités d’emplois dans les domaines de l’énergie verte, de l’économie circulaire et de la bioéconomie, de l’écotourisme et des infrastructures publiques vertes.

Faux aussi, jusqu’ici l’énergie verte, éoliennes, etc. a créé plus de chômage que d’emplois, la bio économie a diminué la productivité de 30% avec une augmentation des prix catastrophique. Un double échec.

Charles de Galles

LE “DURABLE” N’EST PAS SCIENTIFIQUE, IL EST RELIGIEUX

Le terme durable (sustainable) est le concept préféré des mondialistes – « développement durable ». Cette théorie est fondée sur une autre théorie, celle des « limites à la croissance », selon laquelle la surpopulation planétaire a atteint un point critique (ce qui implique la nécessité de faire baisser la natalité).

Cette théorie n’est pas scientifique. C’est un acte de foi dans la religion écolo-mondialiste.

Le fait que le mot « durable » ait été utilisé dans le contexte de la pandémie du Covid-19, qui selon certains analystes devait entraîner une diminution de la population, a provoqué une réaction importante au niveau mondial, ne serait-ce que parce qu’il a été utilisé pour justifier un test d’euthanasie sur des centaines de vieux dans les Ehpads, un acte caractéristique du nazisme.

LES POINTS PRINCIPAUX DU GREAT RESET

1 – Le contrôle de la conscience publique à l’échelle mondiale, qui est à la base de la « culture de l’annulation » (wokisme), l’introduction de la censure dans les réseaux contrôlés par les mondialistes (point 1).

Autrement dit, la mise en esclavage avec l’obligation de penser comme l’élite dominante, les “dieux” comme les appelle le Dr Laurent Alexandre, les autres étant “les gens de rien”.

2 – La transition vers une économie écologique et le rejet des structures industrielles modernes (points 2 et 5).

Ces structures ont fait leurs preuves dans l’élévation du niveau de vie, leur capacité à innover (le vrai progressisme) et à créer de l’emploi (quand elles ne sont pas contrariées par les pouvoirs publics), avec des contraintes sur les salaires dont l’État veut assurer la gestion légale parce que “gérer des chômeurs dociles est plus facile que de gérer des ouvriers râleurs et contestataires(P. Bérégovoy).

3 – L’entrée de l’humanité dans le quatrième ordre économique (auquel la précédente réunion de Davos était consacrée), c’est-à-dire le remplacement progressif de la main d’œuvre par des cyborgs et la mise en place d’une intelligence artificielle avancée à l’échelle mondiale (point 3).

Les robots et l’intelligence artificielle ne remplaceront jamais l’intelligence humaine, la seule capable de faire face à un imprévu qui sort des schémas enregistrés dans les logiciels, parce qu’il manque aux robots et à l’IA l’intuition et le flair, l’improvisation et l’imagination, la capacité de mentir et de ruser, que même de nombreux animaux possèdent. Ce ne sont jamais que des machines bêtes et intellectuellement rigides par définition, même le cyborg. Actuellement, le cyborg est un être mi-homme, mi-machine, qui est une invention de la Science-fiction que personne n’a réussi à créer puisqu’il faut un homme à la base, un homme qui va être démembré, dont on va peut-être remplacer le cerveau par des puces électroniques ou un ordinateur. Ça existe déjà pour les membres, c’est un handicapé, et l’homme “amélioré” est encore un fantasme de science-fiction. Si cela consiste à greffer quelques puces sur le cerveau, il faudra savoir si, en cas de situation dangereuse et aléatoire nécessitant une réponse immédiate, ce sera une puce ou le cerveau qui prendra la décision.

Seuls des insectes ont été transformés en cyborgs. Radiopilotés, ils espionnent ce qu’ils “voient”, et enregistrent ce qu’ils “entendent”.

LE RESET A COMMENCÉ AVEC JOSEPH ROBINETTE BIDEN

L’idée principale du Great Reset est la poursuite de la mondialisation et le renforcement du mondialisme après une série d’échecs : la présidence conservatrice de l’anti-mondialiste Trump, l’influence croissante d’un monde multipolaire – principalement la Chine et la Russie, et la montée des pays islamiques – Turquie, Iran, Pakistan, Arabie Saoudite, et leur retrait de l’influence occidentale.

On ne peut que constater un réel manque de réflexion et d’intelligence du parti Démocrate comme du Deep State, quand, après ces échecs, ils choisissent un vieil octogénaire gâteux, Joseph Robinette, dit Joe Biden, pour diriger le pays ce qui a connu une nouvelle série d’échecs. Elle va leur faire perdre les élections du Mid-term, ce qui les obligera à tenter une nouvelle fraude aux bulletins de vote par correspondance.

Même déficience intellectuelle au Forum de Davos qui précéda l’élection de Robinette. Ils crurent que cette victoire ouvrirait la porte du succès au mondialisme. Build Back Better, le slogan de campagne de Joe Biden, fut le marqueur de l’agenda des mondialistes. Ils pensèrent (à tort) qu’après une série de revers, ils reconstruiraient de meilleures infrastructures qu’auparavant.

Les leaders mondiaux, les dirigeants des grandes entreprises – Big Tech, Big Data, Big Finance, Big Pharma – se sont réunis et mobilisés pour vaincre leurs adversaires – Trump, Poutine, Xi Jinping, Erdogan, Khamenei et d’autres. Le point de départ a été d’arracher la présidence à Trump en utilisant les nouvelles technologies – par la « capture de l’imagination » (point 1, prise de possession de l’imagination et de la volonté) -, l’introduction de la censure sur Internet et la fraude au vote par correspondance.

Ce sont des techniques utilisées par tous les partis de gauche dans le monde : détruire la capacité intellectuelle de leurs troupes par les techniques de manipulation (Petit traité de manipulation de Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois, Éd. PUG). Mentir avec des slogans percutants et voler les citoyens par les lois fiscales et sur la propriété. Ce qui conduit les pays à gouvernement socialiste ou communiste à la misère et au délabrement de la société, pendant que l’élite s’enrichit : Cuba, Venezuela, bientôt la France…

Voyez le millionnaire Mélenchon qui ne circule qu’en première classe et ne donne jamais un euro à un pauvre ou à un migrant. Il répond avec sa hargne habituelle à un journaliste qui l’interrogeait sur sa fortune “D’abord, ça ne vous regarde pas, et je n’y suis pour  rien si les cours de l’immobilier et ceux de la Bourse montent“.

L’Imprécateur

2 septembre 2022     

 

11 Commentaires

  1. Tous ces “grands” sont davantage des adeptes de sectes que des démiurges ou des sages, pour être franche je les trouve très c*ns.

    Pouvez-vous nous en dire plus sur toutes ces jolies techniques de manipulation, la “capture de l’imagination et de la volonté” notamment ?
    Comme j’aimerais aller fouiner dans la bibliothèque centrale de tous ces états profonds de cr*tte, et de certains services… Dire qu’on doit se contenter de vieilles études des années 60-70-80, de bonnes bases certes mais manquant d’une bonne mise à jour.

  2. 1/ Le mouvement qui, depuis trente ans, transforme l’École dans un sens toujours identique, peut maintenant être saisi dans sa triste vérité historique. Sous la double invocation d’une « démocratisation de l’enseignement » – ici un mensonge absolu – et de la « nécessaire adaptation au monde moderne » (ici une demi-vérité), ce qui se met effectivement en place, à travers toutes ces réformes également mauvaises mais impacte profondément le cerveau de façon répétitive, lancinante pour en constituer la vérité, la marche à suivre irrémédiablement pour le meilleur assuré. Le “quoi qu’il en coûte” en fait partie intégrante pour mieux assurer les individus avantagés et reconnaissants…

    2/ Le « Tittytainment » et l’enseignement de l’ignorance Jean-Claude Michéa
    Le tittytainment est un mot-valise désignant un sous-système soutenu voire mis en œuvre pour inhiber la critique politique chez les laissés-pour-compte du libéralisme et du mondialisme. Il passe notamment par l’omniprésence de divertissements abrutissants et une satisfaction suffisante des besoins primaires humains Il ne doit pas être confondu avec la propagande et est plutôt à rapprocher de l’expression romaine Panem et circenses.

  3. Chaaaarles est un demeuré. Rien de nouveau si non, depuis le temps, il serait roi. Mais qui mieux qu’une mere connait son fils ? Mais il force un peu sur le rouge pour les joues…. le coquet !

  4. “…C’est le passage de 4 à 4,7% de la teneur en CO2 de l’atmosphère..” C’est une coquille qui s’est glissée dans votre texte. À ce taux, vous auriez de terrifiants maux de tête et ne pourriez plus faire deux pas sans être essoufflé à en tomber par terre. Le taux de CO2 est passé de 0,03% à 0,04% en un siècle et les végétaux s’en sont réjouis autant que vous le dites.

    • Normalement, ce genre de taré se soigne bien au 300 Winchester magnum. Si notre liberté est à ce prix…

    • Yuval Harari, , un parasite prédateur comme une tique ou une sangsue au meme titre que Attali , SCHWAb , Sorros et compagnie …Pas plus intelligent que Pierre , Paul ou Jacques mais se servant des DIEUX MAMMON ET BAAL qui eux utilisent la haine , la force hypocrite et la prédation de l’argent a part cela , NE SONT STRICTEMENT QUE DES ADEPTES DE LUCIFER qui les utilise pour le mal .
      Question ?? qui pourrait expliquer la haine uniquement personnelle de ces gens contre la Sainte Terre de France et son peuple de ST Remi et Clovis ??? merci d’une réponse

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