LA FRANCE EN ÉTAT DE DÉCOMPOSITION AVANCÉE
Dr Jean-Ph. de La Ribausière

Savoir distinguer ses ennemis pour mieux les combattre

La France est gravement malade dans la mesure où le système politique qui y règne ne laisse envisager aucune issue favorable et pacifique. Les élections sont l’occasion de votes, non d’adhésion mais davantage de contestation stérile, dans la mesure où la propagande médiatique et le primat de l’émotion sur la raison font désormais à chaque fois gagner le pire des candidats, à savoir celui qui œuvre délibérément contre les intérêts du peuple français, quitte à lui faire violence. Le Système est particulièrement vicieux dans la mesure où les opposants politiques en font eux-mêmes partie. Le Front National et le Mouvement des Insoumis de Jean-Luc Mélenchon sont ainsi de véritables impostures qui font le jeu de ceux qu’ils prétendent combattre. Aucune solution ne peut de toute façon émerger d’un parti politique, quel qu’il soit, dans la mesure où un parti est par nature profondément anti-démocratique, du fait qu’il évacue systématiquement les gens porteurs d’opinions contraires à la ligne du parti.

La France a besoin d’hommes et de femmes soucieux de mener avec sincérité et de façon totalement désintéressée un combat politique, qui doit d’abord désigner clairement les ennemis de la France à partir de la réalité que subissent les Françaises et les Français au quotidien. Il est possible de distinguer trois principaux ennemis :

Les vecteurs directs de l’islamisation de la France

Leurs motivations découlent de leur volonté d’établir la charia en France qu’ils conçoivent comme un devoir religieux, dès lors qu’ils ont une bonne connaissance de l’Islam (ce qui n’est pas toujours le cas chez bon nombre de musulmans). Outre leur pouvoir de nuisance dans les territoires dits de non-droit, ils ont l’assurance à long terme d’être élus démocratiquement au regard de l’inexorable croissance démographique des Français de confession musulmane.

Les acteurs de la décomposition française

Il s’agit de tous ceux qui font la promotion d’une politique d’immigration de masse en provenance de pays musulmans, notamment d’Afrique et d’une politique d’accueil des migrants. Souvent haut situés dans l’échelle sociale, ils n’hésitent pas à promouvoir aussi le métissage, comme l’a fait récemment Pierre Gattaz. Ils trouvent un écho puissant dans une masse d’idiots utiles, composée notamment de tous ces bobos gauchistes (dont le spectre est très large, allant de la grenouille de bénitier au bouffeur de curé en passant par le franc-maçon naïf de bas grade). Persuadés d’être dans le camp du Bien, ces derniers s’enferment en effet dans une morale grotesque où le péché suprême est celui d’être traité de raciste, de facho, de nazi ou d’antisémite.

Ces acteurs de la décomposition française sont moins homogènes que ceux précédemment cités, du moins en ce qui concerne leurs motivations. Il est toutefois possible de distinguer deux principaux types d’acteurs qui ne sont d’ailleurs pas exclusifs.

Il y a d’une part les Mondialistes qui tablent sur une consommation de biens encore plus accrue au sein d’une population islamisée (l’islam étant par nature abêtissant, un musulman a toutes les chances de correspondre au profil parfait du consommateur décérébré, hypersensible aux opérations publicitaires), voire sur le business juteux d’une reconstruction totale de la France après une guerre civile, sachant qu’ils ont les moyens de vivre loin d’ici dans un paradis fiscal. D’autre part, il y a ceux, plus sournois, qui œuvrent à cette décomposition dans le cadre d’un judaïsme politique, basé sur l’application du Talmud et instrumentalisant l’Islam pour se venger du peuple français éternellement coupable d’avoir été complice du crime impardonnable de la Shoah. Israël primant sur tout le reste, y compris la France, le sort des Français de confession juive leur est tout à fait secondaire. Il est frappant de constater que les talmudistes et les islamistes partagent des points communs majeurs : un caractère tribal et sectaire, une idéologie suprémaciste avec la volonté d’asservir « goyim » ou « dhimmis », la séparation entre ce qui est pur et ce qui est impur sur des critères complètement irrationnels, la maltraitance infantile par ce rite barbare de la circoncision répété de génération en génération, et le fait de générer des conflits et des troubles partout où ils sévissent, quelle que soit l’époque, avec la stratégie bien rodée de se présenter à chaque fois comme des victimes.

Et il y a… nous-mêmes. C’est d’ailleurs sans doute notre plus grand ennemi, du fait de notre vide spirituel, de notre manque de courage si bien souligné autrefois par Alexandre Soljenitsyne et enfin de nos penchants invétérés à se soumettre au règne de l’argent et de la technique.

Il ne sera pas possible de redresser la France sans combattre de front ces trois ennemis. L’opposition à l’islamisation de la France doit commencer par une opposition à l’islam même, dont la nature est avant tout politique, relevant du totalitarisme et de ce fait antinomique de toutes les valeurs prônées par la République française :

  • Pas de liberté de pensée et de jugement avec en filigrane condamnation de toute critique de l’islam, et volonté du passage d’une reconnaissance du délit d’islamophobie au délit de blasphème tout court.
  • Pas d’égalité, du fait d’une supériorité du musulman sur le non-musulman, et de l’homme sur la femme.
  • Pas de fraternité hormis celle de la oumma.
Ali Sina

Une femme voilée dans la société française est aussi choquante qu’une personne qui se baladerait dans les rues avec un brassard arborant une croix gammée, du moins pour une Française ou un Français qui juge l’Islam de façon rationnelle. Des apostats de l’islam tels que Ali Sina, livrent une feuille de route politique pour combattre l’islam (voir : http://alisina.org/?p=5284 [en anglais]) dont il serait possible de s’inspirer. Cette politique ne peut bien sûr être mise en œuvre par le régime en place, qui n’a aucune légitimité et tout juste un vernis démocratique. Sachant que nous sommes en guerre, et que les lois de la guerre priment sur les lois d’un pays en situation de paix, se pose dès maintenant la question essentielle du « traitement » d’une part des islamistes fichés « S » avant leur passage à l’acte et d’autre part des acteurs de la décomposition française, qui ont sévi ou sévissent encore. Il conviendrait en effet que la peur change de camp.

La France ressemble à une vielle dame qui fait tout pour retarder l’islamectomie salvatrice par peur irrationnelle de l’intervention chirurgicale et des chirurgiens. En médecine, il est fréquent que le médecin fasse souffrir son patient pour le guérir de son mal. Quand la situation n’est pas critique, le consentement du patient est une obligation déontologique. Mais lorsqu’il y a urgence vitale et que le patient est en refus de soins, alors l’équipe médicale intervient, même sans consentement. Pour la France, nul doute que nous sommes dans cette situation. Et c’est par l’action que nous combattrons notre lâcheté, si nous la menons dans un esprit de vérité et de justice, afin de renverser ce système mensonger et injuste qui nous opprime.

Dr Jean-Philippe de La Ribausière


Précisions de l’auteur relatives à certains commentaires fort compréhensibles

Par souci d’objectivité, il n’est en effet pas possible de désigner d’emblée quelqu’un comme ennemi sur son seul nom de famille, ses origines, la religion dans laquelle il a été élevé. Ce serait bien trop réducteur.

Parmi les musulmans de nationalité française, une proportion certes minoritaire correspond à des apostats potentiels, qui n’osent apostasier du fait des conséquences graves qui s’en suivraient, sociales en particulier (à commencer par la rupture avec leur propre famille qui les rejetterait).

En ce qui concerne la communauté juive, c’est complexe d’avoir une idée juste sur la question. Nul doute que des Français de confession juive peuvent avoir par exemple une position très critique vis-à-vis du CRIF ou de la LICRA, emblématiques du « Système » ou “État Profond”. Sont-ils si nombreux ? – On ne les voit guère se manifester… Les contributeurs du site Europe-Israël (http://www.europe-israel.org/) dont les articles sont souvent relayés par les sites patriotes peuvent donner l’impression que le sort des français de confession juive face à la montée de l’Islam en France est leur principale préoccupation. Sont-ils sincères ou ne font-ils que rajouter de l’huile sur le feu, dans le but caché de favoriser au maximum l’aliyah ? Depuis la création d’Israël, le patriotisme des Juifs est devenu forcément parfois ambivalent.

JPR