Nos deux résistantes des beaux quartiers sont en mal de reconnaissance et vont tenter de faire parler d’elles lors d’une petite promenade en bateau.
Il est loin le temps où notre Fifi Brindacier de luxe faisait la morale à nos députés au sein même de l’Assemblée Nationale (Le 23 juillet 2019), pour dire stop au massacre de notre planète.
Il semblerait que ce sujet ne l’intéresse plus vraiment ou que plus personne ne veuille l’inviter pour brailler derrière un pupitre. Elle a dû comprendre qu’elle doit « réapparaitre pour ne pas disparaitre ».
Elle a donc choisi un thème à la mode : Gaza. Elle aurait pu choisir Kaboul, pour aider les femmes afghanes à se libérer du carcan religieux que leur impose le « patriarcat » des talibans, ou Khartoum pour soutenir les dix millions de femmes et d’hommes déplacés et les 25 millions de Soudanais qui connaissent la famine. Mais ce qu’il se passe là-bas n’est pas assez médiatisé pour elle et elle ne brillerait pas autant aux yeux de ses petits Kamarades gauchistes.
Eh oui ! Sainte Greta V2.0 est maintenant la patronne des antifa-Pro-HamaSS. Et elle adore les bateaux qui coutent très cher : en 2019 elle embarquait sur un voilier zéro carbone de plusieurs millions d’euros. En 2025 elle embarquera sur le « nouveau navire humanitaire avec la Coalition de la flottille » ; un bateau qui ne doit pas être très écolo (on ne voit ni rames ni voiles sur la photo) mais qui doit couter, quand même, quelques centaines de milliers d’euros à la communauté internationale (un pognon de dingue dirait notre Président boxeur vaincu au 1er round face à sa femme).
Mais c’est pour se donner corps et âme à la cause palestinienne nous diront les islamo-gauchistes de service ! Ah ? Elle va offrir son corps au HamaSS ? (Un peu comme Rima qui nous dit, la voix tramblotante, qu’elle risque d’y mouuuurrrriiiirrrrr (sous-entendu en martyyyyyyr) ) ?
Mouais ….. Je ne suis pas sûr que les terroristes du HamaSS en voudront, même pour assouvir leurs instincts cachés sous leurs treillis made in Qatar.
Le nouvel épisode grotesque qu’offrent ces donzelles (qui finiront un jour avec une burqa « vert pomme » pour la Greta et genre « torchon à carreaux noirs et blancs » pour la Rima) me font un peu plus soutenir le combat des juifs qui ne m’ont jamais traité de sale gwer, ni de « fin de race », ni d’affreux colon.
Rima et Greta sont sur un bateau.
Rima tombe à l’eau.
Que se passe-t-il ?
Rien : on attend que l’autre tombe aussi.
P.S. Ce serait bien qu’elles emmènent aussi leur nouvelle copine Éva (pas Joly qui est aussi écologiste que moi je suis astronaute, mais Daugter-Forgette (version féminine de Son-Forget)) qui vient de refaire sa garde-robe à l’Assemblée Nationale et qui peut fournir les boissons pour tout le voyage.
Xavier Jésu
31/05/2025
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Si le bateau coulait…