TRUMP vs BIDEN : LE DERNIER ROUND
(L’Imprécateur)

Une chose est désormais certaine : la tricherie des démocrates est avérée. Le 6 janvier, Mike Pence, Président républicain du Sénat, tranchera sur les 7 états accusés d’avoir transgressé leur propre législation.
De sa décision dépendra le résultat final de l’élection…


MALGRÉ LA TRAHISON DE LA COUR SUPRÊME, TRUMP PEUT ENCORE GAGNER

Donald Trump, dont le départ est fortement souhaité par la galaxie de la gauche mondialiste dont il contrarie les projets, comptait sur la Cour Suprême pour examiner les preuves qu’il a données de la plus grande escroquerie aux élections présidentielles que les Etats-Unis aient connue.

Il avait théoriquement la majorité au sein de cette instance juridique. Elle a pourtant rejeté ses demandes, ce qui a réjoui les tricheurs démocrates. Ils n’ont donc pas à regretter d’avoir imprimé des millions de faux bulletins Biden, ni d’avoir truqué les logiciels des machines à voter.

La Cour Suprême a, non seulement refusé de se prononcer sur ce qui semble être des « irrégularités » massives et diverses (terme poli pour désigner la fraude électorale) lors de l’élection présidentielle américaine du 3 novembre, elle a surtout refusé de voir les preuves. Il semble qu’elle ait eu peur que les démocrates déclenchent des émeutes meurtrières avec leurs troupes de choc, Antifas et Black Lives Matter, bien payés par des “dons” des milliardaires démocrates, notamment  les Clinton, Georges Soros et Goldman Sachs.

Son président, John Roberts, nommé président de la Cour en 2005, se présente comme « sans programme » et « sans plate-forme », définissant son rôle de juge comme celui d’un arbitre qui n’a pas à établir les règles mais à les faire respecter. Cependant ses jugements révèlent qu’il est fortement engagé dans le camp de la gauche progressiste. Le jour de son élection en septembre 2005, Joe Biden,  Hillary Clinton, John Kerry et Barack Obama avaient pourtant voté contre lui, ce qui a fait penser à Trump que Roberts serait avec lui, ou au moins resterait neutre.

Roberts a fait pire. “Les juges et les magistrats sont des serviteurs de la loi, et non l’inverse. Les juges sont comme des arbitres… je me souviendrai que c’est mon rôle d’arbitre de distribuer les cartons“.
Mais dans les faits, il a préféré ne pas en distribuer dans l’affaire de la fraude électorale démocrate mettant Trump en difficulté.

Le très populaire juge Mark Levin dit sévèrement de cette lâcheté de la Cour Suprême : “Lorsque les juges (de la Cour Suprême) restent immobiles sur leurs sièges en affirmant n’être que des observateurs qui ne veulent pas s’en mêler, ils imposent un grave préjudice à ce pays. Ils n’ont pas respecté la constitution et nous en paierons le prix lors des élections à venir“.

Trump a-t-il pour autant perdu ?
Ce serait le sous-estimer…

LE 6 JANVIER 2021, C’EST LE PRÉSIDENT DU SÉNAT QUI DÉCIDERA

Le 6 janvier, la session conjointe du Congrès qui doit examiner les listes de grands électeurs, compter les votes et désigner le président, se réunira sous la présidence du vice-président Michael Richard Pence, républicain, président du Sénat.
Sa tâche sera de remplir son serment de protéger et de défendre la Constitution des Etats-Unis, ainsi que veiller à ce que les lois soient fidèlement exécutées.

Le système électoral présidentiel américain est très compliqué. Ce ne sont pas les Américains qui élisent le président, mais les grands électeurs désignés par les 50 états, lesquels ont chacun leurs lois propres.
C’est là-dessus que peut jouer Mike Pence, il va examiner si chaque état a bien respecté ses propres lois pour élire ses grands électeurs.

Selon Pierre Rehov, spécialiste de ces élections cité par le site Dreuz.info, il  y a cependant des règles communes :

Une élection est un processus de comptage des votes pour les candidats. Seuls les votes valides et légaux peuvent être comptés.
Un vote légal valide doit :
– Etre exprimé par un électeur éligible et dûment inscrit, conformément aux lois adoptées par le corps législatif de l’État.
– Etre voté dans les délais prescrits par les lois adoptées par l’assemblée législative de l’État.
– Etre voté dans les formes prescrites par les lois adoptées par le corps législatif de l’État”.

Les États contestés (Arizona, Géorgie, Michigan, Nouveau-Mexique, Nevada, Pennsylvanie et Wisconsin) ont envoyé deux listes électorales à Washington. L’une « homologuée », l’autre… “véridique” !

Ces sept États contestés ont clairement violé leurs propres lois.

Tout processus qui ne respecte pas les règles enlève toute valeur à l’élection. Tout ce qui en découle ne peut être considéré comme ayant une quelconque importance légale, parce que lorsque les personnes chargées de gérer l’élection décident d’ignorer la loi, quel que soit le processus qu’elles supervisent, ce n’est plus le processus défini par la loi.
Les résultats donnés par cette procédure illégale n’ont aucune valeur. L’élection est supposée n’avoir pas eu lieu.

Si Pence prend la décision de déclarer que, les sept états contestés n’ayant pas respecté les lois n’ont donc pas élu de grands électeurs, il n’y a pas à examiner leurs listes.

Il sait que cela mettra les démocrates dans une rage folle ! Ils pourraient lâcher leurs chiens enragés, Antifas et BLM, maintenant surarmés grâce aux dons des milliardaires démocrates, il faudrait leur opposer l’Armée ou la Garde nationale pour les empêcher de ravager les centres villes. Plusieurs états se retrouveraient en guerre civile.

Mais d’autre part, étant un homme honorable confronté à une illégalité massive, Mike Pence doit agir pour protéger les lois et la Constitution.  

LE CAS CONTESTÉ DE LA GÉORGIE

Prenons le cas emblématique de la Géorgie où l’élection présidentielle a été organisée par le Secrétaire d’État démocrate Brad Raffensperger. Il n’est pas habilité par la Constitution américaine à apporter des modifications à la loi électorale. Il a pourtant promulgué un décret qui a vidé de leur substance les protections édictées par l’assemblée législative géorgienne.

La loi exige  des procédures de concordance des signatures sur les bulletins de vote par correspondance, une exigence selon laquelle tous les bulletins de vote par correspondance doivent être demandés par un électeur légitime.  Ensuite, les observateurs électoraux doivent être présents de manière significative à tout moment pendant le décompte des votes.

Les procédures prescrites par le Secrétaire d’État étaient manifestement contraires à cette loi. En outre, l’État de Géorgie, comme les six autres États contestés, a suspendu le décompte des bulletins de vote au milieu de la nuit, prétextant une « rupture de conduite d’eau » qui s’est révélée être une fausse déclaration.
Nous savons maintenant, grâce à la vidéo de surveillance, que plusieurs milliers de « bulletins » ont été comptés illégalement en l’absence des observateurs légalement requis.

De plus, la Géorgie a utilisé des machines de vote du Dominion, bricolées, peut-être en Chine (qui a racheté la marque), dont il a été démontré qu’elles n’étaient pas fiables. Lors des tests, le taux d’erreur des machines Dominion a dépassé les 60 %, ce qui est bien supérieur aux limites légales. Elles sont conçues pour faciliter la fraude sans créer la trace écrite requise par la loi. Cela suffit largement à faire basculer une élection.

LES ÉTATS TRICHEURS PERDRONT LEURS GRANDS ÉLECTEURS

Si Mike Pence décide que la Géorgie et les six autres états, n’ayant pas respecté leurs propres lois, n’ont pas élu de grands électeurs légalement acceptables, les résultats de ces états seront annulés. Dans cette hypothèse,
votes pour Biden = zéro, votes pour Trump = zéro.

En effet, en ayant violé l’article II section 1 de la Constitution, n’ayant pas organisé légalement d’élection présidentielle, elle est considérée comme nulle dans leur état.

Le candidat Donald Trump obtiendra ainsi 232 votes, et Joe Biden 222.

Le 12e amendement dit : « Les votes sont alors comptés […]. La personne ayant obtenu le plus grand nombre de voix pour le Président est le Président […] ».

Trump retrouverait alors son poste de président des Etats-Unis et poursuivrait son œuvre de “nettoyage du marécage” démocrate et mondialiste.

L’Imprécateur
29 décembre 2020