BRUNO JULLIARD-LANDAU, ICÔNE DES BOITES DE NUIT GAYS (par l’Imprécateur)

Tout en égorgeant quelques chrétiens coptes sur une plage de cette Libye que BHL se dit fier d’avoir mise à feu et à sang en la livrant à l’islam radical “pour éviter, dit-il, un massacre à Benghazi” (qu’il était bien le seul à anticiper suite, sans doute, à un petit billet amical de la CIA), le chef égorgeur islamiste annonçait l’envoi de 500 000 migrants en Europe, parmi lesquels des instructeurs djihadistes.

On y est presque avec les 100 000 qui ont débarqué sur nos côtes pendant le seul mois de juillet. Officiellement plus de 300 000 depuis le début de l’année et les 800 000 annoncés par Angela Merkel qui demandent asile à l’Allemagne.

Malheureux ? Sans aucun doute pour un grand nombre d’entre eux en raison des guerres qu’attisent les Obama, BHL et autres Hollande, partout dans le monde. Mais pas tous, certains, probablement plus nombreux qu’on ne l’imagine, sont en mission pour l’Etat islamiste, disent quelques ministres éclairés par les services de renseignements et la déclaration de leur confrère, le ministre de l’intérieur libyen.

Pauvres ? Il est permis d’en douter, quand nombre d’émissions du service public de la télévision annoncent des tarifs de voyage entre 1 200 et 10 000 euros par personne. Si ces émigrants, majoritairement des jeunes hommes en pleine forme physique, les avaient avant d’embarquer pour leur périlleux voyage, ils ne les ont plus en arrivant. Mais pourquoi payer des passeurs alors que les voies légales sont plus sûres et moins chères ? Parce qu’en arrivant avec des papiers dans un port, un aéroport ou une gare, on est considéré (au mieux) comme touriste et toujours soumis à des contrôles. Il est alors impossible d’obtenir tous les avantages financiers et en nature accordés aux arrivants clandestins illégaux et sans papiers.
En réalité c’est un peu plus compliqué que ça, mais c’est la base du système.

Pour loger ces arrivants, Bruno Julliard, premier adjoint d’Anne Hidalgo à la Mairie de Paris, envisage une solution très socialiste dont il a piqué l’idée au maire de Salzgitter, une ville de Basse-Saxe en Allemagne : “réduire de manière passagère le droit fondamental à la propriété“.

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Il n’a pas encore eu connaissance, sans doute, de la proposition des Verts allemands : “une augmentation des impôts afin de soutenir les demandeurs d’asile“, mais ce qu’il fait revient au même, puisque ce sont les impôts des Parisiens qui vont le permettre : Il veut reloger plusieurs centaines de migrants dans un ancien lycée hôtelier de la rue Jean-Quarré, dans le XIXe arrondissement de Paris. Parmi eux, des Soudanais, des Afghans, des Érythréens mais aussi des Maghrébins.
Il faut parler de “reloger” parce qu’ils s’étaient installés dans le local voisin de l’association Ni putes, ni soumises. Pourquoi ne pas les y avoir laissés ? Des femmes vertueuses et insoumises ne leur convenaient pas ? Non, en fait ce sont ces dames qui ne voulaient pas de mâles en rut dans leurs locaux de toute façon trop étroits pour les héberger tous.

Ce lycée sert en temps normal aux activités périscolaires des élèves du collège Guillaume Budé que la mairie de Paris va devoir reloger ailleurs à la rentrée. Mais Julliard-Landau affirme que “le lycée est abandonné, il n’est pas délabré. C’est un bâtiment sain et en bon état“.

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Les “clandestins” jouant dans la cour du lycée de la rue Jean Quarré…

Bon état qui reste à démontrer puisque l’immeuble est pourri d’amiante dans les étages supérieurs, raison pour laquelle les élèves étaient cantonnés aux étages inférieurs et n’y séjournaient jamais longtemps.

Il va donc falloir engager de coûteux travaux de désamiantage et d’aménagements de chambres, réfectoires, sanitaires, etc. Qui “ne coûteront pas très cher” (puisque c’est l’État qui va payer ?) affirme Julliard qui a eu une autre idée de génie : en faire carrément don à l’État. “Il faisait partie des bâtiments que la ville pensait offrir à l’État pour en faire un centre d’accueil. Son occupation, illégale pour le moment, ne change pas nos plans“.
Si l’État accepte ce cadeau empoisonné à l’amiante (raison pour laquelle il n’était plus utilisé pour les cours permanents en hôtellerie), ce ne sont donc pas les seuls Parisiens qui seront mis à contribution fiscale, mais TOUS les contribuables Français !

Mais pourquoi ne pas installer  les immigrés dans le hall de la mairie ou au siège du PS rue de Solferino ? A propos, combien d’immigrés Hollande, Valls, Mélenchon et autres, ont-ils commencé à loger dans leurs résidences secondaires vides ?

Admettons. Dans le cas du lycée, il s’agit d’un bâtiment public, et le XIXe arrondissement de Paris est déjà une township africaine dans la ville : “ça manque de white, de blancos” comme disait Manuel Valls à Evry.

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Mais quand Julliard parle de “réquisition de bâtiments vides“, il pense aussi au secteur privé, ce qui, a déclaré le maire de Salzgitter à la NDR (station radio-télé du nord de l’Allemagne), “devrait être possible à condition de restreindre le droit fondamental à la propriété“.

Mais qui est ce Bruno Julliard, marxiste de toute évidence, et de l’école stalinienne qui plus est ?

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Un site internet donne son CV ainsi : “1981: naissance ;
1999 bac et inscription en 1ère année de droit ;
2000 à 2003 ? ;
2004 1ere condamnation ;
2005 ? ;
2006 commence une 2ème année de droit ;
2007
 à 2012 ? ;
2013 2ème condamnation ;
2014 1er adjoint à la mairie de Paris
“.
Beau pedigree ! Sobre mais réaliste.
Cependant il faut boucher les trous.

Bruno est né en 1981 d’une députée socialiste, Arlette Arnaud-Landau, députée-mairesse (il est obligatoire de féminiser les titres) du Puy. On ne sait rien du père, un Julliard qui a du le reconnaître et dont il porte le nom ? Son nom complet est Bruno Julliard-Landau. Quand il est né, sa mère n’était pas encore députée-mairesse, elle l’a été de 2001 à 2008, année où en raison de son bilan de gestion socialiste catastrophique elle a reçu une magistrale déculottée de la part de Laurent Wauquiez.

Pourquoi préfère-t-il se faire appeler “Bruno Julliard” en oubliant “Landau” ? Alors que les Landau ont donné au monde quantité de célébrités :
Chaïm ministre israélien,
Horace banquier,
Joseph fondateur d’une synagogue à Paris,
Lev prix Nobel de physique,
Salo champion d’échecs,
Uzi homme politique israélien,
Wolf et Yehezquel rabins…
Craint-il que sa nullité universitaire fasse tâche sur le nom Landau qu’illustrent tant d’hommes célèbres ? Ou serait-il difficile de racoler les électeurs musulmans quand on porte un tel nom ?

En 1999 il obtient son bac et s’inscrit aussitôt pour un cursus de droit à la faculté de Lyon 2. Mais dès son arrivée à l’université, il s’inscrit au PS et à l’UNEF. Il y sera au bureau en 2003, président en 2005.
L’UNEF est théoriquement un syndicat, mais réellement, comme la MNEF, une machine de propagande politique au service exclusif du PS, UNEF-Renouveau l’étant au service du PCF et UNEF-ID à celui des trotskistes.
Pendant toutes ces années, les dérives de gestion sont innombrables : “elles concernent les salaires (jusqu’à 15 000 € par mois) et émoluments des dirigeants” (source Wikipédia), l’embauche prioritaire des militants de l’UNEF-ID, qui sont ensuite intégrés au PS comme le fut autrefois son secrétaire général actuel, J.C. Cambadélis qui fut condamné pour s’être servi dans la caisse de la MNEF.
Le Point parlera du “binôme MNEF-UNEF-ID : un vivier de jeunes loups socialistes“. Cela avec l’argent des cotisations des étudiants et surtout des grosses subventions de l’État.

Dès 2001, Julliard est animateur fédéral du Mouvement des jeunes socialistes de la Haute-Loire, et milite à La Gauche socialiste. Puis il rejoint Alternative socialiste d’Henri Emmanuelli. Pour en arriver là, on se doute qu’il n’a pas beaucoup bûché son droit mais a par contre déployé une activité politique frénétique.

Devenu président de l’UNEF, il démissionne de son poste de Secrétaire national à l’éducation au sein du Parti socialiste, risque de conflit d’intérêt oblige, et obtient en prime la validation de la première année de son cursus en droit (commencé en 1999), ce qui lui permet d’entreprendre la seconde (en 2006) et de continuer à percevoir toutes les aides possibles qu’un étudiant peut souhaiter, maman étant là pour donner un coup de pouce si nécessaire.

Il n’est plus au PS, mais avant il a obtenu son brevet d’extrême gauchisme en salissant Bernard Lugan, l’historien spécialiste de l’Afrique, qu’il a traité de “négationniste” en plus de divers noms d’oiseaux. Cela lui a valu en 2004 une condamnation pour diffamation et, en appel, une amende supplémentaire de 4 200 euros.
Il rejoint la tendance Benoit Hamon, puis Martine Aubry. Cette capacité à louvoyer entre tous les caciques de la gauche du PS le fait remarquer. Quand il se présente à Paris (XIIIè art.) en 2008, il est élu, puis recruté par Bertrand Delanoë.
Hollande élu en mai 2012, il est aussitôt pris dans le cabinet de Vincent Peillon, le naufrageur de l’Education nationale, jusqu’en janvier 2013. Il y concocte la réforme des rythmes scolaires, ce qui ne l’empêche pas de cumuler comme Chargé de la culture à la mairie de Paris à partir de juillet 2012, avec pour mission de flatter et développer les “squats artistiques” !
Ses gouts artistiques sont très personnels.

CochonMcCarthy-300x238Quand l’hispano-française Anne Hidalgo est élue mairesse, grâce à la division de la droite, elle prend son petit Bruno pour premier adjoint, chargé “de la culture, du patrimoine, des métiers d’art, des relations avec les arrondissements et de la nuit“. Pourquoi un “chargé de la nuit” ??? Parce qu’il est très souvent dehors la nuit à draguer dans les boîtes pour homos.

Oui je suis homosexuel, je vais en boîte, dans des soirées gays, j’aurais du mal à le cacher”, déclare-t-il  en 2011 à Têtu, la revue homo dont le propriétaire est Pierre Bergé. Il y a trois autres homos déclarés à la Mairie parmi les adjoints d’Hidalgo, grâce à quoi les LGBT parisien.ne.s. et autres associations gays et goudous (mot utilisé par les ados pour désigner les gouines) ont droit à bien des faveurs matérielles et financières payées par les contribuables “parisiens.ne.s”.

Si nous évoquons l’homosexualité de Bruno Julliard-Landau, c’est que “On ne peut pas comprendre un homme politique si on ne comprend pas sa sexualité” (Laurent Wauquiez qui, lui, a déclaré se masturber !)

A picture taken on October 15, 2014 shows a 25 meters high inflatable sculpture by US artist Paul McCarthy on the Place Vendome in Paris, as part of the 41st edition of the FIAC Art Fair scheduled from October 23 to 26. AFP PHOTO/BERTRAND GUAY RESTRICTED TO EDITORIAL USE, MANDATORY MENTION OF THE ARTIST UPON PUBLICATION, TO ILLUSTRATE THE EVENT AS SPECIFIED IN THE CAPTION
AFP PHOTO/BERTRAND


C’est à Bruno Julliard-Landau, que l’on doit l’installation d’un plug anal gonflable de 25 mètres de haut place Vendôme.
Il fut inconsolable quand on le retrouva dégonflé.
Y a-t-il vu un sinistre 
présage ?

Il arrive souvent à Julliard-Landau de s’éclipser pendant les conseils municipaux pour aller faire, soit du vélo – ce qui donne lieu à des plaisanteries douteuses du petit personnel de la Mairie – soit de la musculation à la salle de sport L’Usine, proche de la mairie.
Déborah Pawlik, conseillère UMP-LR de Paris, qui n’a rien vu de coquin dans sa plaisanterie, s’en amuse. “Pendant que Bruno Julliard travaille ses abdos, le tableau l’annonce pour un passage en séance“.

Ayant déclaré le 21 décembre 2011 sur Canal Plus, qu’il considérait sa condamnation du 30 juin 2004 pour diffamation envers Bernard Lugan “comme un honneur“, Bruno Julliard a été à nouveau condamné en 2013 pour insulte à l’institution judiciaire.

Pour finir, constatons que comme la plupart des élus socialistes, Bruno Julliard-Landau n’a jamais vraiment travaillé de sa vie, a été condamné par la justice et ne sait rien faire d’autre que de la cuisine politicienne aux frais des citoyens qui paient des impôts.

C’était un autre volet de la “République exemplaire” de Hollande ?

L’Imprécateur

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