LIBRE-PENSEURS, ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE ! ( Cédric de Valfrancisque )

Libre-penseurs, allez vous faire foutre !

           (Poème vaguement inspiré par la  «  Chanson pour L’auvergnat » de Georges Brassens)

 

 

 

La justice t’a donné raison

Toi, le laïcard franc-maçon,

Toi qui te disais offensé

Par Marie sur l’Île-de-Ré.

Tu chassais la « superstition »

En fils de la Révolution,

Au nom de la « Libre Pensée ».

Tu n’es qu’un bouffeur de curé,

Tu ne distilles que la haine,

Tu te fous de faire de la peine,

De blesser ceux qui prient le Ciel,

Et croient à la vie éternelle.

Refrain : Toi, l’ordure quand tu mourras,

  Quand le croque‐mort t’emportera,

  Qu’il te conduise droit chez Satan,

  Je crois qu’il t’attend.

Tu peux être content de toi,

Et tu ne caches pas ta joie,

La haine chevillée au corps,

Tu n’as pas le moindre remord.

Tu es heureux car en Vendée,

Coin jadis catholicisé,

Un jugement (avant appel)

A eu la peau de Saint Michel.

Car ton combat est sans merci :

Tu fais la guerre aux crucifix.

Mais tu n’attaques qu’une croyance,

Celle-là même qui fit  la France.   

Refrain : Toi, salaud quand tu crèveras,

Quand la faucheuse t’emportera,

Qu’elle te livre à Lucifer,

Il saura quoi faire !

Et tu te crois, pauvre imbécile,

Triste couillon, pauvre débile,

Hérault de la laïcité,

Des athées autoproclamés.

En fait, tu n’es que le lampiste

Du Nouvel Ordre Mondialiste,

Qui sous couvert de religion

Veut détricoter la Nation.

Toi, bien sûr, tu n’as rien compris,

Trop aveuglé par ton mépris

Pour la croyance des Chrétiens,

Qui, pour toi, sont pis que des chiens.

Refrain : Mais un jour tu disparaitras,

La camarde t’emportera,

Qu’elle t’emmène par la peau des fesses,

Tout droit chez Hadès.

Jules Ferry et l’Emile Combes

Doivent se retourner dans leur tombe :

Anticléricaux forcenés,

Ils ne pouvaient imaginer

Que quelques salopards haineux

Arriveraient à faire pire qu’eux.

Surtout ne vas pas quémander

Chez moi un brin de charité.

Je n’ai un devoir de chrétien

Qu’à l’égard  de mon prochain.

Hormis le fait que tu m’énerves,

Je t’assimile à une merde.    

Refrain : Les salauds de ton acabit,

Pour parler franc, je les conchie,

Tu peux crever, vieille fripouille,

Je m’en bats les C……. (1)

Cédric de Valfrancisque

12 janvier 2023

1)- On notera la pauvreté des rimes de Cédric de Valfrancisque  qui a peu de chance d’entrer à l’Académie Française (Note de l’Editeur)

14 Commentaires

  1. En fait ces “Libres penseurs” se conduisent comme un certain” Mélenchon”
    qui pervertit, déforme sans vergogne le sens, l’esprit des choses, la philosophie, le débat sociétal et surtout de l’Histoire qui animait ceux qui combattirent le carcan religieux qui après des siècles d’inspiration et d’éducation chrétienne salvatrice face aux rites et comportements des peuples “barbares” n’avait plus d’être totalement hégémonique. Les progrès techniques et culturels accomplis en tous les royaumes de l’Europe Occidentale, sans pour autant devoir renier notre inconscient collectif qui est fort imprégné selon les repères et ressorts des Évangiles. Le culte de la Vierge, plaçant la Femme égale et plus sainte et plus proche de la Perfection Divine que l’Homme créé, mis à part le Christ, et que n’importe quel être qui est venu sur terre et ceux qui viendront encore !
    Donc ces crétins de “Libres Penseurs” se servent de leur Liberté, mais bien mal !
    Je sais que mon commentaire risque d’être considéré comme “nébuleux” par quelques uns, et pourtant …Le Féminisme au sens noble est un fruit du culte de “Marie” autant sur le plan spirituel que civilisationnel !

  2. Magnifique, Cédric ! etmerci pour cette chanson ! Poussons encore un peu l’escarpolette jusqu’à ce que ces goujats en tompbent ! D etrès haut çàa peut faire très mal ! Mais il faut aussi renverser la justice , si ce mot existe encore dans notre Patrie ……

  3. 1)- On notera la pauvreté des rimes de Cédric de Valfrancisque qui a peu de chance d’entrer à l’Académie Française (Note de l’Editeur)”
    Ce n’est pas grave, pour s’adresser à des crevures il n’y a pas à prendre de gants !

    Ce qui leur manque à ces ordures staliniennes et aux juges qui leur lèchent le cul, ce sont des tornioles en quantité suffisante pour leur décoller les oreilles du crâne.
    On se promet que ça se paiera un jour …. l’attente commence à être longue.

    • je suis sûr que vous préférez les vers dorés de gérard de NERVAL
      “homme libre penseur que crois tu seul pensant
      dans ce monde ou la vie éclate en toute chose
      Des forces que tu tiens ,ta liberté dispose
      Mais de tous tes conseils ,l’univers est absent

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