L’ANTISÉMITISME, AUJOURD’HUI (Éric de Verdelhan)

« Quand un régime tombe en pourriture, il devient pourrisseur : sa décomposition perd tout ce qui l’approche ».
(Charles Maurras)

           

L’attaque surprise d’Israël  par le Hamas (et le Hezbollah) a produit l’effet d’une bombe dans la landerneau politico-médiatique français. La sidération de ces gens-là est, soit la preuve de leur méconnaissance totale du danger islamiste, soit, ce que je crois plus volontiers, une volonté de nous enfumer en mélangeant allégrement l’antisionisme et l’antisémitisme – qui sont pourtant deux choses bien différentes – pour pouvoir, comme d’habitude, mettre dans le même sac, dos à dos, les supposés fascistes et les islamo-gauchistes de LFI et du NPA. Je note à ce propos que Moussa Dard-Malin  a obtenu récemment  la dissolution de « Civitas » (1). J’attends qu’il entame des poursuites à l’encontre de Jean-Luc Mélenchon, Mathilde Panot, Olivier Besancenot, Philippe Poutou et consorts. J’attends, mais sans trop y croire ; j’ai entendu avant-hier le pathos verbeux, la bouillie de chat, de Madame Borne qui n’a même pas osé citer les gens qui ont soutenu ouvertement l’offensive du Hamas. C’est tout simplement honteux, pitoyable, LAMENTABLE !

A propos de ce mouvement terroriste, à qui va-t-on faire croire qu’une paix est possible entre Israël et le Hamas ? Le Hamas (en arabe : حماس) acronyme de harakat al-muqâwama al-‘islâmiya (arabe : حركة المقاومة الإسلامية) est un mouvement palestinien constitué d’une branche politique et d’une branche armée, les Brigades Izz al-Din al-Qassam. Le Hamas est principalement actif à Gaza qu’il administre seul depuis juin 2007.  Créé en 1987 par Sheikh Ahmed Yassin, Abdel Aziz al-Rantissi et Mohammed Taha, tous trois issus des « Frères musulmans », sa charte affirme que « la terre de Palestine est une terre islamique ». Depuis sa création, il prône la destruction totale de l’État d’Israël et l’instauration d’un État islamique palestinien sur tout le territoire de l’ancienne Palestine.

Et nous apprenons, à l’occasion de cette offensive surprise, que l’Union Européenne alloue 6 ou 700 millions par an à la Palestine !
Où va cet argent ? Mystère et boule de gomme !

Il va sans dire – mais tellement mieux en le disant – que les patriotes, les nationalistes, appuient sans réserve l’État d’Israël qui est un des derniers remparts contre l’Islam conquérant.

Mais comme nos pisses-copies et plumitifs – tous de gauche ou presque – sont obnubilés par le « danger fasciste », quelques-uns font déjà un parallèle entre l’antisémitisme d’extrême-gauche et… « l’Action Française » de Charles Maurras !

Rappelons à ce ramassis d’ignares et/ou d’imbéciles qui était Charles Maurras : 


Charles Maurras est né le 20 avril 1868 à Martigues. Écrivain et poète provençal appartenant au « Félibrige », agnostique dans sa jeunesse, il se rapproche ensuite des milieux catholiques. Autour de Léon Daudet, Jacques Bainville, et Maurice Pujo, il dirige le journal « L’Action Française », fer de lance de la formation du même nom : royaliste, nationaliste et contre-révolutionnaire.

« L’Action Française » a été le principal mouvement politique d’extrême-droite sous la 3ème République. Outre Léon Daudet et Jacques Bainville, Maurras compte parmi ses soutiens des gens  comme Georges Bernanos, Jacques Maritain, Thierry Maulnier, Philippe Ariès, Raoul Girardet (et, plus tard, le mouvement littéraire des « Hussards »).

Avec plus de 10 000 articles publiés entre 1886 et 1952, Maurras demeure le journaliste politique et littéraire le plus prolifique de son siècle. Il aura une grande  influence dans les milieux conservateurs. En 1905, Maurras publiait « L’avenir de l’intelligence », livre (prémonitoire) qui mettait en garde contre le règne de l’argent et son emprise sur les intellectuels.

Au lendemain de la Grande Guerre, la popularité de « L’Action Française » se traduit par l’élection de Léon Daudet comme député de Paris. Mais un grand nombre de ses dirigeants sont tombés au Champ d’Honneur. Maurras leur rendra hommage dans « Tombeaux » en 1921 (2).

Dès 1918, Charles Maurras réclamait une paix qui serve les intérêts de la nation : la division de l’Allemagne, l’annexion du Landau et de la Sarre, un protectorat français sur la Rhénanie. Là où les politiques parlent de droit, de morale, de générosité, « l’Action Française » affirme la nécessité du réalisme pour préserver les  équilibres internationaux.

Dès 1922, Charles Maurras a des informations précises sur Adolf Hitler. Dès lors, il dénonce le pangermanisme de la République de Weimar. En 1930, il condamne l’abandon de Mayence par l’Armée française et titre « Le crime contre la Patrie ». La même année, « L’Action Française » publie une série d’articles sur le National-socialisme, présenté comme « un des plus grands dangers pour la France ». L’obsession de la menace hitlérienne se traduit par l’ouverture du journal à des officiers signant sous pseudonyme. En 1932, le général Weygand dénonce la politique de désarmement menée par la gauche. En 1933, Maurras écrivait : « Quoi que fassent ces barbares, il suffit d’appartenir au monde de la gauche française, pour incliner à leur offrir de l’encens, le pain, le sel et la génuflexion».
Il voit dans l’arrivée d’Hitler au pouvoir la confirmation de ses pronostics.

En 1934, après la « nuit des Longs Couteaux », il fustige l’« abattoir hitlérien ». La menace allemande constitue le fil rouge de ses préoccupations. En 1936, Maurras préface l’ouvrage antinazi de la comtesse de Dreux-Brézé. Il y déplore l’assassinat de Dollfuss par les Nationaux-socialistes.

Il essaiera aussi de détourner Mussolini d’une alliance avec Hitler, puis, inquiet, il prendra diverses initiatives pour renforcer les chances de la France en cas de guerre, dont une démarche auprès du général Franco. Démarche qui explique peut-être la neutralité de l’Espagne décidée lors de l’entretien d’Hendaye, entre Hitler et Franco, le 23 octobre 1940.  

Entre temps, récompense suprême de son œuvre monumentale, le 9 juin 1938, il est élu à l’Académie Française. Mais le président Albert Lebrun refuse de le recevoir comme le voulait l’usage.

Albert Lebrun a été celui qui, en juillet 1940, refila, la pétoche au ventre, les clefs du pouvoir au Maréchal Pétain et qui eut l’impudeur, à la Libération, de venir demander à de Gaulle de le laisser terminer son second mandat. Le chansonnier Martini le surnommait « Le sot pleureur ». De Gaulle, à qui je reconnais un vrai talent pour les formules vachardes, dira de lui : « Comme chef d’État, deux choses lui avaient manqué : qu’il fût un chef ; qu’il y eût un État. ». C’était bien résumé !

En 1940, « L’Action Française » titre en gros caractères: « Le chien enragé de l’Europe, les hordes allemandes envahissent la Hollande, la Belgique, le Luxembourg. ».

Et Maurras écrit :

« Nous avons devant nous une horde bestiale et, menant cette horde, l’individu qui en est la plus complète expression ».
Dès le 3 septembre 1939, il reprend les accents bellicistes de l’Union Sacrée. Jusqu’aux derniers combats de juin 1940, il apporte un soutien sans faille à l’effort de guerre, mais il approuve l’armistice comme l’immense majorité des Français. Et il qualifie de « divine surprise » l’arrivée au pouvoir du maréchal Pétain. La « divine surprise » ce n’est pas la victoire de l’Allemagne, comme certains ont cherché à le faire croire à la Libération, mais l’accession au pouvoir du maréchal Pétain et le sabordage de la République par les parlementaires républicains eux-mêmes.

Maurras soutient le régime de Vichy, pas la politique de collaboration, car il est nationaliste, et profondément germanophobe. Il s’oppose à toute orientation germanophile ; il voit dans les partisans de la collaboration les continuateurs de Jaurès et Briand et écrit que « la grande majorité des partisans de la politique de collaboration vient de la gauche : Déat, Doriot, Pucheu, Marion, Laval, une grande partie de l’ancien personnel briandiste. »

Maurras est d’ailleurs regardé comme un adversaire par les Allemands qui font piller par la Gestapo les bureaux de « l’Action Française ». En 1943, les Allemands  placent  Maurras parmi les personnes à arrêter en cas de débarquement. Et, en mai de la même année, en dépit de sa franche hostilité à Pierre Laval, il reçoit des mains du maréchal  Pétain la Francisque Gallique (N° 2068).

Rappelons que le « résistant Morland » – un certain François Mitterrand – a été décoré de la Francisque un peu avant Maurras  (N° 2022) et que ça ne choque personne.

Sous l’Occupation, les membres de « l’Action Française » se divisent en trois groupes : celui des maurrassiens orthodoxes, antiallemands mais fidèles au maréchal, celui des collaborationnistes ouvertement pronazis (Robert Brasillach, Charles Lesca, Louis Darquier de Pellepoix, ou Joseph Darnand), et celui des résistants (Honoré d’Estienne d’Orves, Michel de Camaret, Henri d’Astier de La Vigerie, Gilbert Renault, Pierre de Bénouville, Daniel Cordier ou Jacques Renouvin).

A la Libération, Charles Maurras est emprisonné  et, le 28 janvier 1945, la Cour de justice de Lyon le déclare coupable de haute trahison et d’« intelligence avec l’ennemi ». Il est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité et à la dégradation nationale.

Il commenta sa condamnation par une exclamation restée célèbre : « C’est la revanche de Dreyfus ! ». Selon l’historien Eugen Weber, le procès, bâclé en trois jours, fut un procès politique : les jurés ont été choisis sur une liste d’ennemis politiques de Maurras, les vices de forme et les trucages ont été nombreux, le motif choisi est le plus infamant et le plus contradictoire avec le sens de sa vie : Charles Maurras était viscéralement antiallemand. Il n’a jamais eu la moindre « intelligence avec l’ennemi ». De sa condamnation (art. 21, ordonnance du 26 décembre 1944), découle son exclusion de l’Académie Française (qui attendra  cependant sa mort pour procéder à son remplacement).

Entre 1945 et 1952, Maurras publia quelques-uns de ses textes les plus importants. Bien qu’affaibli, il collabore (sous un pseudonyme) à « Aspects de la France », journal fondé par des maurrassiens en 1947, à la suite de l’interdiction de « l’Action Française ».

Le 21 mars 1952, il bénéficie d’une grâce médicale accordée par le président Vincent Auriol. Il est transféré à la clinique Saint-Grégoire de Saint-Symphorien-lès-Tours. Il meurt le 16 novembre 1952, après avoir reçu les derniers sacrements. Tous les témoignages attestent que les derniers mois de Maurras ont été marqués par le désir de croire et le 13 novembre 1952, il  demande l’extrême-onction. Certains démocrates-CRETINS ont cherché à accréditer la thèse de la conversion inventée rétrospectivement, mais le témoignage de Gustave Thibon atteste du contraire ; il écrit:  « Je n’en finirais pas d’évoquer ce que fut pour moi le contact avec Maurras : …je l’entends encore me parler de Dieu et de la vie éternelle avec cette plénitude irréfutable qui jaillit de l’expérience intérieure. J’ai rencontré beaucoup de théologiens dans ma vie : aucun d’eux ne m’a donné, en fait de nourriture spirituelle, le quart de ce que j’ai reçu de cet « athée » !  ».

Les dernières paroles de Charles Maurras furent un alexandrin : « Pour la première fois, j’entends quelqu’un venir. »
Il meurt le matin du 16 novembre 1952.

Charles Maurras a laissé une œuvre immense : une centaine de livres, des milliers d’articles.

De lui, je n’ai pas lu que trois ou quatre livres et quelques articles : son  « Enquête sur la Monarchie » (publié en 1903) et « Mes idées politiques » (publié en 1937). Un livre de vulgarisation de sa pensée qui devrait faire partie des programmes scolaires si… la pluralité de pensées politiques  avait encore un sens  dans notre pays décadent.

Alors, tant pis ! Je prends le risque de choquer les ayatollahs des « acquis des Lumières », les défenseurs  des « valeurs républicaines » (3) mais je pense que le père du « Nationalisme intégral », le chantre de l’« empirisme organisateur » – dont nos énarques feraient bien de s’inspirer – avait compris pourquoi notre pays va de mal en pis depuis qu’il a tué « Le Trône et l’Autel ».  

Ernest Renan qui n’est pas, tant s’en faut, un de mes maîtres-à-penser, a écrit : « Le jour où la France a coupé la tête de son Roi, elle a commis un suicide ».

Mais chaque fois que je parle de Charles Maurras, les bienpensants me rappellent qu’il était antisémite (4). Et bien oui, Maurras était antisémite… comme plus de la moitié de la population française à son époque. Souvenons-nous que de 1894 à 1906, la France, qui rêvait d’une revanche contre l’Allemagne, s’est déchirée autour des procès d’Alfred Dreyfus, officier français de confession juive, qu’on accusait d’avoir fourni des renseignements  secrets  à l’ennemi prussien honni. 

La France comptait alors autant de « dreyfusards » que d’« antidreyfusards » et, si l’histoire – simplifiée à l’extrême – n’a retenu que « J’accuse » d’Emile Zola, cette belle conscience de gauche, la vérité m’oblige à rappeler qu’il y avait plutôt plus d’« antidreyfusards »  à gauche qu’à droite.

Ce climat propice à l’antisémitisme sera hélas attisé par quelques scandales imputables aux Juifs : en 1928, l’affaire de la « banquière »  Marthe Hanau, lesbienne adulée par le Tout-Paris et qui a ruiné des milliers de petits épargnants. Elle finira par se suicider, en 1935, à la prison de Fresnes.

Puis, l’affaire Stavisky, énorme scandale qui débouchera sur les émeutes du 6 février 1934.

Quand arrêtera-t-on, dans notre pays, de juger (de critiquer ?) notre passé, notre histoire, avec les mentalités affadies, édulcorées, manipulées, culpabilisées, bref formatées par des « élites » pensantes, elles mêmes nourries aux droits de l’homme et au mondialisme apatride ? 

De nos jours, en dehors d’une poignée de nazillons, l’antisémitisme de droite n’existe plus chez nous, et pourtant les actes antisémites sont en pleine recrudescence.

Faut-il parler d’un antisémitisme ethnique, racial, religieux ? C’est difficile à définir, c’est un amalgame des trois sans doute ? Mais c’est indéniablement, un antisémitisme d’extrême-gauche, un antisémitisme islamo-gauchiste, doublé d’un antisionisme virulent qui refuse l’existence même de l’État d’Israël. En 2022, il y a eu, chez nous, 436 actes antisémites, cinq fois plus que d’actes antimusulmans (5). Ces actes sont-ils imputables aux héritiers  de Charles Maurras ? Aux  militants de « Reconquête ! », du « Rassemblement National », de « Civitas » ? Non, bien sûr, et tout le monde le sait, sauf peut-être Madame Borne et Moussa Dard-Malin.  

Alors, de grâce, foutez-la paix à la mémoire de Charles Maurras !

Et à ceux qui, comme moi, doivent leur structuration politique à Charles Maurras et Maurice Barrès.
L’antisémitisme, comme le racisme, « n’est pas une opinion, c’est un délit ».
Dont acte !

Alors qu’attend-t-on pour prononcer la dissolution de LFI, du NPA, des « Indigènes de la République » et pour poursuivre  en justice les Mélenchon, Besancenot, Poutou et tous les salopards qui applaudissent les massacres de civils israéliens dans la bande de Gaza ?   

Éric de Verdelhan

10 octobre 2023 

1)- Pour des propos antisémites prononcés par un conférencier qui n’était pas membre de « Civitas ».

2)- Henry Cellerier, André du Fresnois, Pierre Gilbert, Léon de Montesquiou, Lionel des Rieux, Jean-Marc Bernard, Albert Bertrand-Mistral, et 21 rédacteurs de la « Revue critique » dont Joachim Gasquet, Octave de Barral, Henry Lagrange, Augustin Cochin.

3)- Il faudra qu’on m’explique un jour en quoi ces fameuses « valeurs républicaines » diffèrent des oukases maçonniques ?

4)- Le comble c’est que j’aime bien Louis-Ferdinand Céline – le bon docteur Destouches – qui était autrement plus antisémite que Charles Maurras.

5)- Alors que la communauté juive et cinq  fois moins importante que la communauté musulmane…

 

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10 Commentaires

  1. Désolée de n’avoir pu lire cet article qu’ aujourd’hui, l’actualité hélas a fait que.
    Née bien après le décès de Charles Maurras je n’en connaissais que ce qui est raconté dans «l’histoire » alors merci d’avoir permis à l’ignorante, que je suis, de connaître un morceau de la Vérité.
    Celle concernant Charles Maurras et celle qui permet de mieux comprendre l’attitude des gauchistes bien-pensants, donneurs de leçons dont le seul but est d’exister, et qu’importe l’Histoire telle qu’elle fût puisqu’ils la réécrivent et la modèle selon leurs besoins politiques.
    Merci pour cette page véritablement argumentée et documentée.
    Au plaisir de vous lire

  2. Il est toujours bon de remettre les pendules à l’heure et de rétablir certains faits qui furent détournés (et qui le sont encore hélas) de leur contexte.
    En ce qui me concerne, ma lanterne fût éclairée par cet article fort intéressant. Merrci

  3. Très belle chronique qui me permet d’apprendre plus.
    C’est toujours un plaisir de vous lire.

    La situation actuelle de l’Europe envahie va nous mener à plus ou moins brève échéance à un face à face sauf que d’un côté ils ont l’armement et de l’autre nous avons la repentance, les marches blanches et les bougies…

    Merci qui ???

    Quand je lis que le Sarko se permet ENCORE de donner des leçons, des mises en garde, qu’à t-il fait de son karcher ???

    Ce mec mérite la taule comme bien d’autres. Quel dommage de laisser rouiller la guillotine…

  4. Vous voyez pas que ça va nous péter à la gueule ! Le monde arabe (sauf deux exceptions) soutien le hamas, si l’Occident soutien Israël, non seulement les arabes rentreront définitivement dans les rangs des brics (plus qu’un projet économique, un nouvel ordre mondial qui s’érigera sur les ruines de l’Occident !), mais nous risquons aussi purement et simplement de subir le même sort que les juifs ! Nos pays sont prêts à tomber ! Un soulèvement des populations musulmanes en Europe de l’ouest avec tout l’armement dont elles disposent, plus le soutien et la préparation de puissances étrangères de plus en plus au point, et c’est finis ! Alors au diable les palestiniens et cette histoire d’Israël ! Nous sommes en guerre, et ce conflit n’est qu’un engrenage de la bombe qui va nous éclater à la tronche !!!! Je suis tout sauf pour les juifs en temps normal, mais si Israël tombe là face l’union des arabes, nous seront les prochains, et cela ne prendra pas des années !!!!!!

  5. Pour Mélanchon, qui soit dit en passant n’est plus protégé par le moindre mandat électoral, il me semble que la privation à vie de droits civiques pour accointance avec des terroristes s’imposerait, dans un pays normal. C’est ce qui l’atteindrait le plus, lui qui n’a pas renoncé à être Président de la république islamique de France !