L’ESCLAVAGE A ENRICHI LES FRANCS-MAÇONS (Eric de Verdelhan)

« Un défilé régulier longe l’allée Aimé Césaire de La Rochelle depuis le dévoilement, vendredi 10 mai, de « Clarisse », cette sculpture d’une esclave donnant le sein à l’enfant de son maître.
« Une merveille », « un beau symbole », « une réussite ».
Au lendemain de son inauguration, en ce jour où le soleil cogne, c’est une pluie d’éloges qui s’abat sur « Clarisse », cette représentation d’une jeune esclave haïtienne nourrissant un enfant joufflu, celui de son maître, au détriment du sien… »

(« Sud-Ouest » le 11 mai 2024)

 

La belle ville de La Rochelle est devenue, comme l’Île de Ré et le Lubéron, une réserve de bobos friqués. Ceci explique que le gratin local de la « gauche-caviar » s’extasie devant la statue d’une plantureuse négresse – qui semble fort bien nourrie pour une esclave – qui trône depuis le 10 mai, « Journée des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leur abolition » sur une allée rochelaise du nom d’Aimé Césaire. Ce dernier, comme Léopold Sédar Senghor, revendiquait sa « négritude ». Son nom est donc bien choisi puisque notre pays est en train de se « négrifier ». Mon propos n’a pas une once de racisme, c’est un simple constat : à la télé, au cinéma, dans la pub, on ne voit plus que des Noirs. Sachant que, selon le CRAN (1), les Noirs représentent moins de 10% de la population, on a le droit de s’en étonner et même de s’en indigner car le Blanc est encore majoritaire dans le pays.

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La statue a été inaugurée par Gabriel Attal, ce gamin bien propre sur lui qui a osé déclarer aux parlementaires, lors d’un discours de « politique générale », que nous étions une grande nation puisque nous pouvions avoir « un premier ministre homosexuel ». Pour ma part, je me faisais une autre idée de la grandeur de notre pays, mais je suis ringard, vieux jeu, « has been », comme dirait Emmanuel Macron, qui aime à s’exprimer dans la langue de ses maîtres mondialistes.

Depuis que la France est entrée en repentance, depuis qu’elle a honte de son passé, qu’elle bat sa coulpe d’avoir été conquérante, colonialiste, pétainiste, esclavagiste et que sais-je encore, tout est bon pour commémorer ses méfaits, réels ou supposés (voire carrément inventés).

Le 10 mai 2001, le pays adoptait la Loi Taubira – promulguée le 21 mai 2001 – qui visait à la « reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité ». Rappel, juste pour mémoire : Christiane Taubira appartient à la « Grande Loge Féminine Française ».

En 2006, Jacques Chirac – que le « Grand Orient de France » définissait comme « un Maçon sans tablier » – a fait du 10 mai la « Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions ». Depuis, tous les chefs de l’État se font un devoir d’honorer cette journée.

La Loi Taubira, dans son article 1er, qualifie juridiquement l’esclavage et la traite négrière de « crime contre l’humanité ». C’est une première, il fallait oser ! Ils ont osé !

Initialement, cette formulation était exclusivement utilisée pour parler de la Shoah (2).

La France – qui a honte d’elle-même – est le premier État et demeure le seul qui, à ce jour, ait déclaré la traite négrière et l’esclavage « crime contre l’humanité ». Elle est également le seul État à avoir décrété une journée nationale de commémoration. À l’occasion de cette journée, des actions sont menées par l’Éducation Nationale. C’est une occasion d’apprendre aux petits Français – surtout à ceux issus de l’immigration – la détestation ou pire, la haine, de leur pays. 

Puisqu’on prétend dire la vérité, toute la vérité sur l’esclavage, alors allons jusqu’au bout ! Et parlons du rôle important de la Franc-maçonnerie dans la traite négrière.

Depuis longtemps, nos grands ports – La Rochelle, Nantes, Lorient, Brest, Le Havre, Marseille, Bordeaux ou Dunkerque – sont de solides bastions de la Franc-maçonnerie. C’est également le cas à la Réunion, en Guyane, en Guadeloupe, ou à La Martinique. Cette implantation des Loges remonte au XVIII° siècle, quand la traite négrière était à son apogée. Dans un port comme Saint-Malo, par exemple, près de la moitié des négriers étaient francs-maçons.

La Franc-maçonnerie « officielle » est née à Londres en 1717 (3). Mais, dès 1721, les Maçons traversent la Manche et commencent leur noyautage de tous les ports négriers : ils s’implantent à Dunkerque en 1725, à Bordeaux en 1732, au Havre en 1738, à Marseille en 1742, à Nantes et Lorient en 1744, à Brest en 1745, à Morlaix en 1746, à La Rochelle en 1752.

Du continent, ils étendent leurs réseaux sur nos colonies : en 1781, la première Loge africaine voit le jour à Saint Louis-du-Sénégal. Notons que le Canada français, colonie de peuplement blanc sans maîtres ni esclaves, n’a jamais eu de Loges. Notre empire colonial totalise une centaine de Loges au XVIII° siècle, et 689 Loges sont recensées dans le Royaume. À Saint-Domingue, on compte 40 Loges et 1000 Maçons (4). La Franc-maçonnerie s’est répandue comme une trainée de poudre.

Paradoxalement, alors que presque tous les leaders révolutionnaires étaient francs-maçons, c’est la Révolution qui va porter un coup d’arrêt à ce petit monde de Maçons-esclavagistes. Mais la parenthèse sera courte. La question de l’esclavage se pose rapidement quand, en 1791, les esclaves de Saint Domingue se révolteront. On trouve des Francs-maçons parmi les abolitionnistes, mais il y en a davantage encore parmi les partisans du statu quo : ils sont au « Comité de Massiac », relais du lobby colonial à l’Assemblée Nationale. Le président de ce comité est Yves Cormier (1740-1805). Fils d’un négociant, admis dès l’âge de 20 ans à la loge « La Parfaite Union » de Rennes, Cormier était juge au tribunal de Rennes et marié à la riche héritière d’une plantation à Saint-Domingue (5).

De 1789 à 1794, la Révolution poursuit son œuvre destructrice du Trône et de l’Autel, mais en 1794, l’esclavage finit par être aboli, ce qui provoque un vent de panique chez les Maçons.

 Louis-Philippe d’Orléans, duc de Chartres, puis duc d’Orléans, dit Philippe Égalité après 1792. Huile sur toile de sir Joshua Reynolds (1723–1792).

Grand-Maître depuis 1771, Philippe d’Orléans, prince de la famille royale traître à son rang, va tenter de s’adapter : il prend le nom de « Philippe Egalité », vote la mort de son cousin Louis XVI et annonce publiquement qu’il quitte la Franc-maçonnerie. Ce qui ne l’empêchera pas de finir sous le « rasoir national », cette guillotine inventée par le Franc-maçon Joseph-Ignace Guillotin.

Avec les « Sans-culottes » sanguinaires, la Maçonnerie a presque disparu, il reste à peine une dizaine de Loges. La chute de Robespierre va la faire renaitre de ses cendres. Le coup d’État du 18 Brumaire du général Bonaparte lui permettra de retrouver son niveau d’Ancien Régime.

En 1802, Napoléon rétablit l’esclavage dans les îles à sucre. En fait, le premier Consul est travaillé au corps par les planteurs coloniaux. Son épouse, Joséphine de Beauharnais, est héritière de plantations à Saint-Domingue et elle est, elle aussi, franc-maçonne. 

Mais, la marche vers l’abolition faisait son chemin, portée par l’Angleterre. Le Parlement de Londres interdit la traite en 1807 (et libère les esclaves des plantations en 1833). La France va suivre, mais en trainant des pieds pour ne pas braquer le lobby colonial. Il faudra attendre la Révolution de 1830 pour que la traite soit abolie, et celle de 1848 pour que les esclaves soient affranchis.

Les Maçons, qui ont besoin de se dédouaner, mettent en avant la figure de Victor Schoelcher, ce Franc-maçon fervent abolitionniste. En fait il n’était qu’un parmi tant d’autres. Le poète Alphonse de Lamartine a été beaucoup plus influent que Victor Schoelcher mais personne ne le dit !

Voltaire, le philosophe des Lumières, le maître à penser des progressistes, était franc-maçon. Il était favorable à la traite négrière grâce à laquelle il a gagné beaucoup d’argent. Ses écrits anti-esclavagistes (« Candide »,1759) sont pourtant sans ambiguïté. Voltaire aura été un tartuffe de la cause noire, mais la gauche et les progressistes ne s’embarrassent pas de ces détails…

Puisqu’on occulte le rôle de la Franc-maçonnerie dans le commerce triangulaire, tordons le cou à une autre légende, celle de la « Maison des esclaves » de l’île Pierre André Carioude Gorée. Cette histoire a été inventée par Pierre André Cariou, médecin-chef de la Marine dans les années 1950. Ce médecin a imaginé une histoire, intégrée dans un roman non édité « Promenade à Gorée » (6) et dans le circuit touristique qu’il proposait alors aux rares touristes de l’île de Gorée. À l’origine de ce qui allait devenir une escroquerie mémorielle, il y a un jeune garçon qui servait de « boy » à Pierre André Cariou, le jeune Joseph N’Diaye. Une fois adulte, dans les années 1970, Joseph N’Diaye prit la suite de Cariou.  En 1977, le succès de la série « Racine » avec la figure de « Kounta Kinté » l’africain, donna envie aux Américains noirs  de redécouvrir leurs racines africaines. Or le seul pays qui disposait d’un Ministère de la Culture digne de ce nom à l’époque était le Sénégal. Il le devait à Léopold Sédar Senghor, qui, rappelons-le, a étudié au lycée Louis-le-Grand où il côtoyait Paul Guth, Henri Queffélec et Georges Pompidou, avec qui il se liera d’amitié. On orienta les « Tours Operator » noirs vers Gorée, où une personne faisait visiter une maison aux rares touristes, Joseph N’Diaye. Rapidement, l’île de Gorée devint une affaire juteuse pour les Sénégalais, les voyagistes américains et le gouvernement.

Dans les années 1980, un historien américain, Philipp Curtin, intrigué par le chiffre de 20 millions d’esclaves partis de Gorée, démontra que ce chiffre était celui de l’ensemble de la traite partie de toute la côte d’Afrique, de la Mauritanie à l’Angola. Philipp Curtin jeta un pavé dans la mare en prouvant que 900 à 1500 esclaves étaient partis de Gorée et que le Sénégal représentait à peine 5% de la traite. Ceci provoqua un vent de panique à Dakar et chez ceux qui vivaient sur un mythe. Mais la presse – non informée ou complice ? – ne diffusa pas l’information…

Dans les années 2000, c’est Abdoulaye Camara, professeur d’histoire à l’Université de Dakar, qui dénonça le mensonge à un journaliste. Mais son article publié dans « le Monde » fut étouffé car ceux qui vivaient grassement du « Gorée Business » et comptaient de puissantes relations en France.

En 2006, un historien franco-sénégalais, Jean-Luc Angrand, publia une étude démontrant à partir d’archives qu’il s’agissait bel et bien d’une arnaque bâtie sur un mensonge.

Je me suis rendu à Gorée, en gros à cette époque, et j’ai pu constater que le bobard sur le nombre d’esclaves partis de l’île fait encore florès, surtout devant des touristes français toujours prêts à battre leur coulpe et à cracher sur leur pays « capable de telles horreurs ». 

Bon, vous me direz que, pendant qu’on dénonce l’esclavage dans l’île de Gorée, on évite de parler de la traite ottomane et des razzias barbaresques qui ont duré dix siècles. D’ailleurs, madame Taubira ne veut pas qu’on en parle pour ne pas « stigmatiser une communauté ». La France est le seul pays à inviter ses citoyens à l’auto-flagellation. Le Portugal (près de 4 millions de victimes de la traite négrière), les Britanniques (2,5 millions), les Espagnols (1,2 million) ont choisi d’autres voies.

Le 10 mai, Gabriel Attal a prononcé un discours sans originalité. Il a proposé de « regarder notre histoire en face » et énoncé d’autres fadaises et lieux communs qui laissent à penser que la France doit faire repentance. Il ignore sans doute qu’à l’époque de « Clarisse » les aristocrates et les grandes bourgeoises confiaient leur progéniture à allaiter à des paysannes, des nourrices bretonnes, normandes, ou berrichonnes. Elles étaient blanches donc ça n’intéresse personne !    

Depuis plus de trente ans, notre passé esclavagiste est enseigné dans les écoles, les collèges et les lycées. Les programmes en ont même fait une priorité. Les médias ne cessent de produire des documentaires et des films sur ce thème, souvent diffusés aux heures de grande écoute. Deux, voire trois générations d’élèves – de jeunes et de moins jeunes – ont été biberonnés avec l’esclavage, soit une majorité des adultes d’aujourd’hui. Cela n’aurait donc servi à rien, sinon à ce que les gens issus de notre ex-empire colonial apprennent à détester leur pays d’accueil ?

« Et en même temps », comme dirait l’avorton présidentiel, en terre d’Islam, certains pays continuent à pratiquer l’esclavage, mais ça, il ne faut pas en parler.

Éric de Verdelhan

16 mai 2024

1) CRAN = Conseil Représentatif des Associations Noires (de France), qui regroupe plus d’une centaine d’associations de défense des Noirs. Faut-il que nous soyons racistes pour financer, avec nos impôts, autant d’associations dont beaucoup prêchent la haine du Blanc ? 

2) Notons, au passage, que la loi n’est pas rétroactive pour les crimes de la Terreur ou pour le génocide vendéen mais qu’elle l’est pour l’esclavage ; étrange non ?

3) Selon certaines sources, elle naît bien avant mais je n’ai ni les compétences ni l’intention (ni la place) d’en faire ici un historique, même résumé.

4) « La FM dans les colonies françaises au XVIII° siècle », d’Alain Le Bihan ; 1974.

5) « Annuaire des FM 1760-1940 » de Daniel Kerjean ; 2005.

6) Le manuscrit est disponible à la BNF François Mitterrand.

 

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12 Commentaires

  1. Merci Mr Éric de verdelhan pour cet article bien documenté.En particulier la franc maçonnerie que j’ai étudiée dans ces axes principaux et philosophiques et ses débordement dont parfois ses rites abjects qui mettent parfois au tapis des celebrites quelques années plus tard.Ceci dit vous m’en avez appris beaucoup.

  2. Bonjour Monsieur de Verdelhan. Je reprends juste quelques phrases de votre texte :
    Depuis plus de trente ans, notre passé esclavagiste est enseigné dans les écoles, les collèges et les lycées. Les programmes en ont même fait une priorité.
    Il faudrait commencer par apprendre la langue française, si belle quand elle chante, de Voltaire à Hugo, de Lamartine à Dumas, à nos petites têtes blondes au lieu d’essayer de leur enseigner la langue arabe dès le cours préparatoire. Et puis, j’en ai assez d’entendre pleurnicher tous ces bobos sur le sort des Africains. S’il y eut des esclaves africains, c’est qu’ils étaient “razziés” par d’autres africains qui les vendaient à prix d’or aux capitaines des bateaux marchands. Combien de Français savent que l’Algérie porte ce nom parce que les Frnaçais le lui ont donné en 1830 ? quant aux Algériens, les Pieds Noirs leur ont laissé un pays prospère (en 1962 la faculté de médecine d’Alger était la seconde de France) et qu’en ont-ils fait ? Nos cimetières chrétiens servent de déchetteries ! Il faut que ces choses soient dites aussi. Et reconnues par les Algériens eux-mêmes. Je me demande encore comment Notre Dame d’Afrique et la basilique Saint Augustin (près de Annaba ‘autrefois Bônne) sont encore debout. Pour la seconde, je pense que les élites africaines respectent le fait que Saint Augustin était un berbère, né en Algérie à Thagaste. Mais qu’on laisse la France et son Histoire tranquilles. C’est ce que je demande. Bien respectueusement.

  3. Si les vérités doivent être dites pour l’édification des peuples alors TOUTES les vérités doivent être enseignées. Car si on base l’Histoire d’un pays sur des mensonges à terme ce sera l’explosion ou l’implosion selon les circonstances !. Un pays ne se construit qu’avec le sang de ses enfants au cours des siècles, pas avec les négoces en tous genres qui génèrent les conflits

  4. “Depuis que la France est entrée en repentance, depuis qu’elle a honte de son passé, qu’elle bat sa coulpe d’avoir été conquérante, colonialiste, pétainiste, esclavagiste et que sais-je encore, tout est bon pour commémorer ses méfaits, réels ou supposés (voire carrément inventés).” J’attends à présent la critique du Gaullisme et du général par les mêmes qui l’encensent aujourd’hui et le critiquait hier. Mais girouettes ils sont et restent !. Mais ça va venir …..

  5. il faut déconstruire l’Histoire, dixit le sinistre franc-maçon macron
    le même individu à déclaré que la France n’a pas d’Histoire

  6. attention la révolution Française en doit pas grand chose à la Franc Maçonnerie ; mais je pense comme vous que nombre de Bénéficiaires du commerce de “bois d’ébène” comme on disait , étaient bien Franc maçons ( notons cependant que Voltaire en a profité bien avant d’être reçu Mon , sur le tard )
    A propos des nourrices vous oubliez le Morvan.

  7. Quand ceux qui ne connaissent rien a la FM la citent ils se réfèrent systematiquement au GODF, officine marxiste fort éloignee de la vraie FM

    • En même temps, le GODF a joué un rôle central sous les trois républiques et se trouve encore dans toutes les réformes dites de société. Les autres obédiences disent ne pas se mêler de politique, mais elles n’osent pas s’opposer au GODF quand elles ne le suivent pas tête basse ; au mieux, elles se bornent à ne pas appliquer ses consignes ou à ne pas cosigner ses communiqués.

      • Un franc maçon de mes connaissance m’indiquait que ces derniers se réunissaient régulièrement en convents pour discuter d’un projet.Les conclusions de tous les convents remontaient à Paris puis étaient soumises au Sénat (où il doit y avoir un nid de FM actuellement), puis une ou des lois étaient ensuite , comme par hasard, proposées aux votes et devenaient rapidement effectives. Ce qui me fait donc penser et ou croire, que la FM œuvre en coulisses. Mais qui donc la mandatée pour cela ? Imagine-t-on les pêcheurs à la ligne se réunirent pour discuter de futures lois et les faire voter ? Que diraient alors les chasseurs, les ouvriers ou paysans, fonctionnaire ou artisans ? De quels droit s’arrogent ils le droit d’agir comme ils le font ?

  8. Plusieurs remarques :
    J’ai appris qu’il y avait plusieurs loges de Frères de la truelle et qu’il n’y avait pas de communications entre elles, voire plutôt une guerre. Plus de 90% des Frères de la truelle le sont pour des raisons bassement matérielles d’entre-aide, pour ne pas dire magouilles, entre coquins ou escrocs. Le reste est peut-être plus ou moins sincèrement dans la spiritualité.

    Avez-vous remarqué que dans les pubs où l’ont trouve des gens de couleur et la mixité (couples), c’est toujours l’homme qui est de couleur. Tout un symbole…Vous avez compris ?

    Et avez-vous remarqué que les Asiatiques sont rarement représentés ? D’ailleurs on entend jamais parler des Asiatiques, notamment en ce qui concerne exactions et délinquance !

    Pour l’instant, le système immunitaire de la France est toujours amorphe face au virus de la Franc-maçonnerie.