LA NEIGE (Pierre Malak)

Neige noire en Sibérie

 

La neige a la pureté immaculée de sa blancheur. Pouvez-vous imaginer nos beaux paysages hivernaux du nord, autrement que recouverts du blanc éclatant de la neige ?

Pouvez-vous imaginer à quoi ressembleraient ces paysages si la neige était noire ?

La nuit de l’enfer semblerait tombée sur le monde et seul le soleil d’hiver, bas sur l’horizon, percerait  cette nuit de son éblouissante clarté, de sa mugnificente lumière…  Pas une seule parcelle du paysage ne saurait être vue et, encore moins, reconnue…

Ce serait monstrueux, horrible, tellement affreux que c’en est absurde et même impensable !

Oui, bien sûr, le blanc est aussi une couleur de peau, comme le noir…

Dans ce cadre, paradoxalement, c’est le soleil qui donne à l’homme une peau noire et, là où il est beaucoup moins ardent, une magnifique peau dorée. Entre ces deux extrêmes, existent des gris de couleur café au lait, ce curieux mélange de noir et de blanc.

Oui, le noir convient bien à l’homme, mais pas du tout à la nature. Seule la nuit vante le noir. Rien de vivant n’est de couleur noire, seuls peut-être, de dangereux serpents peuvent se vêtir traîtreusement de cette couleur…

Comme c’est bizarre, étrange et même, à la réflexion, troublant. C’est pourtant une évidence, même si cela perturbe notre prétentieuse logique.

Oui, que la neige soit blanche, que les blancs restent en Occident et que les noirs et les gris soient bien et heureux chez eux, en Afrique et en Orient. La planète n’en sera que mieux équilibrée et la Nature nous sera fondamentalement et harmonieusement acquise.

Incidemment, j’aimerais évoquer ici une évidence physique pourtant très souvent ignorée. Le blanc, c’est scientifiquement la présence équilibrée de toutes les couleurs du spectre lumineux. En revanche, le noir, c’est l’absence de toute couleur, de toute lumière… C’est ainsi que l’on peut dire de l’homme blanc qu’il est rouge de colère, bleu de froid ou vert de peur, ce qui est absolument impossible pour l’homme noir…

Et pourtant, c’est de ce dernier que l’on dit que c’est un « homme de couleur »…

Amusant, non ?

Encore un détail. Les autoproclamés « progressistes » affirment – fruit de leur cerveau perturbé – que les races n’existent pas et que, contrairement à la logique scientifique qui affirme que nous sommes l’espèce humaine – nous sommes, non pas une espèce, mais que tous les humains forment une seule et même race ; la race humaine.

Restons objectivement cartésiens. Si les races n’existent pas, il est impossible d’être raciste. Oui, les races existent bel et bien et prétendre le contraire revient à affirmer qu’il n’existe aucune différence entre une orange et une pomme de terre et prétendre que la neige, devenue noire serait plus belle que la neige blanche.

Encore plus fou et même plus amusant. Non ? Pourtant, à la réflexion…

Au-delà de la couleur de peau, comparez la morphologie trapue d’un Mongolien à celle d’un Tutsi longiligne de plus de 2 mètres. Qui oserait affirmer qu’il n’y a pas de différence entre ces deux races ?

Nier les races, c’est stupide, grotesque. C’est gauche…

Pierre Malak

23 janvier 2024

Laisser un commentaire

Votre commentaire sera publié apres contrôle.


*


Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

7 Commentaires

  1. Comme je l’ai écrit dans un de mes livres : d’une façon générale en finale d’athlétisme du 100 mètres il n’y a que des noirs, et en finale du 100 mètres nage libre que des blancs. Cela ne veut pas dire qu’une race est supérieure aux autres mais qu’elles sont différentes.

  2. On pourrait ajouter que même dans les mythologies africaines, le noir symbolise la nuit, la mort, le danger, la partie sombre de l’être humain. Autrement dit, même les Noirs voient dans le noir quelque chose de négatif. Faut-il en conclure selon les critères des militants de l’antiracisme que les Noirs sont racistes envers eux-mêmes ?

  3. La thèse de Pierre Malak , présente une certaine logique inspirée d’un évident bon sens- commun que la “Gauchiasserie immigrationniste”” étouffe depuis qu’un certain René Pleven lui a fourni au début des années 1970- en tant que Garde des Sceaux, sa loi anti-raciste ; garrot anti-France qui de ce fait est quasi-agonisante aujourd’hui, submergée par la religion belliqueuse qu’est l’Islam qui se sert de ce bouclier, tandis que l’Algérie va ainsi réaliser son rêve et celui des Frères musulmans depuis 1962 :
    Faire des français de souche leurs dhimmis pour la gloire d’Allah et son soit-disant prophète !
    Nota : CERISE SUR LE GÂTEAU, saviez-vous braves gens que la petite- fille de René Pléven serait la compagne d’un non regretté et pourtant “brillant ” ministre de l’Enseignement National qui fut remplacé par un certain Gabriel Attal (source Wikipédia). C’est “Pappy Pléven” qui doit être bien heureux de là-haut, sans même le recours du Pape actuellement en fonction ; c’est -y pas beau tout çà ?

    • Merci de lire : C’est “Papy Pléven” qui doit être un “Bien Heureux”*
      de là-haut, sans même le recours (ou concours) des Papes en fonction depuis 1993, année du décès de René Pléven .
      * Titre religieux accordé par le Pape à un défunt qui peut éventuellement augurer pour ce dernier une consécration de “Saint”.

  4. Merci de rappeler que le noir est l’absence de toute couleur. Je ne cesse de le répéter et l’on me dit que je radote, ce qui est du reste vrai. Le blanc au contraire est du à la conjonction de toutes les couleurs : le Blanc est la race toucouleur.

    • Je suis par ailleurs le parfait raciste : J’aime toutes les races. Aucune ne mérite de disparaître dans le métissage. A chacun d’aimer la sienne .