« MON PANTHÉON EST DÉCOUSU » (Éric de Verdelhan)

 « Quand on rendit le Panthéon au culte, on voulait expulser les restes de Voltaire: Laissez! dit Louis XVIII. Il sera bien assez puni d’entendre la messe chaque matin… »

(Etienne Lorédan Larchey).

Comme beaucoup de Français nés après la guerre, j’en ai marre que l’on tente de m’imposer une « histoire officielle » tronquée, falsifiée ou mensongère. Un roman qui fait toujours la part belle aux communistes, aux allogènes, aux « Français de papiers », et qui fustige systématiquement la droite patriote ou nationaliste, qu’on accuse de collaboration durant « les heures les plus sombres de notre histoire ». J’ai donné quelques exemples flagrants de ces mensonges dans un de mes livres (1).

On occulte volontairement le fait que les ministres ou les collaborateurs du maréchal Pétain les plus ouvertement partisans d’une collaboration « totale et entière » avec l’Allemagne venaient bien souvent de la gauche : Paul Marion, Marcel Déat, Jacques Doriot, Victor Barthélémy…etc…

Les partis les plus collaborationnistes furent le « Parti Populaire Français » créé par Jacques Doriot, ancien député-maire communiste de Saint-Denis, et le « Rassemblement National Populaire » du député socialiste Marcel Déat, ministre de l’aviation en 1936, sous le « Front populaire ».

Credit: Roger Viollet/Getty Images/ND

La droite nationale, qu’elle soit gaulliste ou pétainiste, va pourtant s’impliquer massivement dans la Résistance. Son premier martyr connu, entré en Résistance quand les communistes étaient encore les alliés des Allemands, avant la rupture du pacte germano-soviétique (22 juin 1941), fut l’officier de la « Royale », Honoré d’Estienne d’Orves, fusillé au Mont-Valérien  le 29 août 1941 ; un héros sur lequel je reviendrai pour clore cet article.

Le lecteur qui voudrait se faire une idée moins subjective ou plus honnête de cette période, doit absolument lire  l’« Histoire critique de la Résistance »(2) et, l’« Histoire de la Collaboration » (3) de Dominique Venner, « La droite était au rendez-vous » (4) d’Alain Griotteray, et la série de treize  ouvrages écrits par Henri Amouroux sous l’intitulé générique de « La grande histoire des Français sous l’occupation ». On pourra m’objecter que – même si Amouroux était gaulliste – les références précédentes  émanent d’auteurs classés à droite. Alors, citons aussi l’imposant dossier réalisé par un collectif de résistants de toutes les accointances  politiques, intitulé: « Le patriotisme des Français sous l’occupation » (5). On y parle, entre autres, d’un officier proche du maréchal Pétain, Guillaume de Tournemire, chef des « Compagnons de France » et grande figure de la résistance maréchaliste.

François Mitterrand, décoré de la « Francisque gallique » (N° 2202) par le maréchal Pétain, qui fit valider ses titres de résistant en…1983, ne souhaitait pas trop parler des années d’occupation, et pour cause ; son passé nationaliste et ses amitiés cagoulardes risquaient de lui être reprochés (6).

Mais ses successeurs n’ont eu de cesse que de faire repentance au nom de la France, de jeter l’anathème sur des gens qui, le plus souvent,  n’avaient rien à se reprocher, et de flagorner le « parti des 75 000 fusillés », chiffre qu’on n’hésita pas, après guerre, à porter à 80 000 ;  au diable l’avarice ! (7). Chirac a accusé les Français d’être responsables de la « rafle du Vel’d’hiv » des 16 et 17 juillet 1942. Sarkozy a imposé que l’on lise, dans toutes les écoles de France et de Navarre, la lettre du jeune Guy Moquet, fusillé à 17 ans : illustration de ce qu’aurait été la Résistance communiste. C’est louable ! Certes, mais Guy Moquet n’avait pas été emprisonné pour fait de Résistance.

De son côté, en 2015, Hollande a fait entrer au Panthéon quatre « grands résistants » : Pierre Brossolette, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Germaine Tillion et Jean Zay. Trois d’entre eux étaient incontestablement des résistants, mais ce n’est pas le cas de Jean Zay.

Que nous dit sa biographie (consultable sur Internet) ? :

« …Jean Zay, à sa majorité s’inscrit au parti radical. Il fréquente les cercles républicains, devient membre de la Ligue des Droits de l’Homme, et se fait initier, en 1926, à la loge maçonnique Étienne Dolet du Grand Orient de France. …

En 1936, il devient membre du gouvernement du Front Populaire comme ministre de l’Éducation Nationale…En juin 1940, il rejoint Bordeaux pour participer à la dernière session du parlement qui s’est replié avec le gouvernement dans cette ville

Le 21 juin 1940, Camille Chautemps, les présidents des deux chambres, Jean Zay, Pierre Mendès-France, et 25 autres parlementaires, embarquent à bord du « Massilia », ce qui fera dire aux commentateurs sur place : « Les rats n’abandonnent pas le navire, ils y montent ». Arrivés à Casablanca, le 24 juin 1940, les passagers du « Massilia » sont consignés dans un hôtel, et quatre d’entre eux, dont Jean Zay, sont arrêtés le 15 août 1940 pour désertion devant l’ennemi. Renvoyé en métropole, Jean Zay est interné le 20 août 1940 à la prison militaire de Clermont-Ferrand… Le 4 octobre 1940, le tribunal militaire le condamne (pour désertion) à la déportation à vie et à la dégradation militaire…Transféré, le 4 décembre 1940, au fort Saint-Nicolas à Marseille, sa peine de déportation est muée par le régime de Vichy en simple internement en métropole et, il est incarcéré à Riom. Durant sa captivité, Jean Zay peut continuer à recevoir régulièrement sa femme et ses deux filles. On lui permet d’écrire et de communiquer avec ses amis. Il ne cherche pas à s’évader… Le 20 juin 1944, des miliciens viennent le chercher à la prison…Les miliciens lui laissent entendre qu’ils sont des résistants déguisés qui ont pour mission de lui faire rejoindre le maquis et l’assassinent dans un bois, près d’une carrière abandonnée, au lieu-dit « Les Malavaux », à Molles, dans l’Allier…Exhumés fin 1947, les restes de Jean Zay sont identifiés… Jean Zay est inhumé dans le cimetière d’Orléans du 15 mai 1948 à 2015, année de son transfert au Panthéon… »

Une bien triste histoire certes, mais pas le moindre acte de résistance. Rien, absolument rien, qui justifie qu’il entre au Panthéon.

Ainsi s’écrit l’histoire, qui fabrique elle-même ses héros, au pays du « mentir vrai » !

Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Élysée, en 2017, la machine à mensonges s’est emballée ; c’est un véritable délire ; tout est bon pour « baver » sur la France éternelle, ses valeurs, son histoire, sa culture. D’ailleurs, pour Macron, il n’y a pas de culture française mais des influences étrangères qui viendraient, selon lui, enrichir notre pays. En fait Macron déteste la France et les Français, seule compte, à ses yeux, cette immigration – souvent mal assimilée  – qui favorise  le grand remplacement voulu par les européistes pour aller à marche forcée vers les États-Unis d’Europe.

Souvenez-vous, par exemple, qu’avant d’être élu, il a qualifié l’œuvre française en Algérie de « crime contre l’humanité » ;  qu’il a humilié l’Armée française en rendant visite à la veuve du traître Maurice Audin ; qu’il a transformé le palais de l’Elysée en lupanar lors de la « fête de la musique » de 2018  en autorisant les invertis en bas-résilles à chanter « suce ma bite et lèche mes boules »(8); qu’il a estimé que « deux mâles blancs » n’avaient pas compétence pour parler des « territoires perdus de la République »…Arrêtons là  cette litanie car il faudrait une encyclopédie en dix volumes pour lister les atteintes – volontaires – à l’honneur et à la dignité de la France (et accessoirement de la fonction que ce gnome vaniteux, méprisant et narcissique est censé incarner). Et, si on le laissait faire, il « panthéoniserait » n’importe qui pourvu que ce ne soit pas un de ces « Gaulois réfractaires » qu’il déteste. En 2018, il faisait entrer au Panthéon l’avorteuse Simone Veil et son époux Antoine. Depuis la Loi Veil en 1975, à raison de 220 à 240 000 IVG par an, le pays a tué 10 millions de petits Français. Je devrais écrire « de petits Blancs » car, ne nous leurrons pas, au sein de la « diversité »  on n’avorte pas (ou très peu), soit par conviction religieuse, soit pour vivre de nos allocations familiales.

Ensuite, pour honorer les morts de la Grande Guerre, il a fait entrer au Panthéon  l’écrivain (et ancien Poilu) Maurice Genevoix. Là, je ne peux qu’approuver car j’ai un immense respect pour ce grand Français et pour son œuvre littéraire. Puis nous avons eu droit à Joséphine Baker, parce qu’elle était noire et féministe. Macron aurait voulu aussi « panthéoniser » Gisèle Halimi, avocate séfarade, pro-avortement et soutien du FLN contre la France durant la guerre d’Algérie. La presse nous dit qu’il voudrait aussi que Robert Badinter entre au Panthéon. Simone Veil a condamné à morts des millions d’enfants à naître et Badinter, « Robert le Diable », a fait abolir la peine de mort pour les criminels. Depuis, dans notre pays décadent, on n’a plus le droit de tuer que…des innocents.

Avec l’entrée de Missak Manouchian au Panthéon le 21 février, Macron déclare qu’il veut honorer «des grandes figures héritières du siècle des lumières». Au moins il annonce laPhotographies non datées de Missak, en tenue de soldat lors d’une permission, et de Mélinée Manouchian, en train de voter. couleur ! En principe il faut être un « grand Français » pour entrer dans ce temple de la laïcité maçonnique, or Missak Manouchian, quels que soient ses mérites,  n’obtint jamais la nationalité française en dépit de deux demandes.

Mais Macron, qui ne manque pas de souffle, estime que c’est une reconnaissance «de ceux qui étaient Français de préférence, et sont morts au nom des valeurs de la France ». Je suis content de le voir, pour une fois, oublier les sempiternels droit du sang et droit du sol pour mettre en avant un concept que je défends depuis toujours : l’amour de son pays, de naissance ou de choix. Mais cet ignare omet un détail : Manouchian était communiste et se battait aussi pour le paradis soviétique.  (Ce qui n’en faisait pas un traitre puisque la France et l’URSS étaient dans le même camp).

A ce stade, je voudrais faire une digression pour vous parler du Panthéon  et vous faire part de ce qui reste, pour moi, un étonnement, un mystère, une incompréhension…à moins que je n’ai trop bien compris qui dirige réellement notre pays. Je vous laisse juges !

Plan de l’église Sainte-Geneviève, devenue le PanthéonÀ l’origine église Sainte-Geneviève – édifiée par Soufflot – le sanctuaire a été transformé en Panthéon destiné à « recevoir les cendres des grands hommes » sous la Révolution. Après Mirabeau (franc-maçon vite « dépanthéonisé »), Voltaire et Rousseau, les philosophes des Lumières, également francs-maçons, en seront les premiers locataires. Le premier Empire rendra  le Panthéon au culte catholique dans sa partie supérieure, mais la crypte accueillera toujours les grands serviteurs de l’État, militaires, scientifiques, hommes politiques ; une « panthéonite galopante ». A ce jour, la liste des personnes transférées au Panthéon compte 81 personnalités (75 hommes et 6 femmes). Or plus de la moitié de ces personnages  est entrée au Panthéon sous le premier Empire. Il y a parmi eux, des savants comme Gaspard Monge ou de beaux sabreurs comme le maréchal Jean Lannes, mais ces « panthéonisés »  sous Napoléon étaient très majoritairement…francs-maçons. Bizarre non ?

Avec la Restauration, l’église redevient lieu de culte. Sous la Monarchie de juillet, le Panthéon redevient Panthéon puis à nouveau église sous le II° République.

Depuis 1885 (à la mort de Victor Hugo) et jusqu’à nos jours, le Panthéon est définitivement Panthéon, temple de la laïcité accueillant des grands hommes (et quelques femmes). Mais, quand on parcourt la liste des « panthéonisés » comment ne pas être étonné d’y trouver une bonne moitié de francs-maçons, beaucoup de radicaux et de socialistes (souvent les mêmes), de gens de gauche en général et, depuis la Seconde Guerre Mondiale, de communistes ? Les gens de droite se comptent sur les doigts de la main. Je note cependant un point positif : ont été « dépanthéonisés », le fourbe Mirabeau, Luis-Michel Lepeltier de Saint-Fargeau, le régicide aïeul de feu Jean d’Ormesson et du centriste Charles de Courçon (9), le traitre marquis Auguste Picot de Dampierre et aussi cette ordure sanguinaire de Jean-Paul Marat. A mon humble avis, on pourrait en virer quelques autres.

Emmanuel Macron, pour marquer son mépris du populisme droitier, est allé racoler à gauche en accordant une interview à l’« Humanité », le torchon communiste qui pleurait jadis la mort de Staline. Le journal d’un parti dont le secrétaire général trouvait que le bilan du communisme était « globalement positif » : 100 à 150 millions de morts dans le monde, une paille !

L’avorton présidentiel a osé  déclarer que le RN ne faisait pas partie  de  l’« arc républicain » – une formule macronienne qui ne correspond à rien !et que Marine Le Pen n’avait pas sa place à la cérémonie en hommage à Missak Manouchian car son parti était « l’héritier de Vichy ».

Honte à vous monsieur Macron car vous êtes ignare « et en même temps » menteur comme un arracheur de dents : le FN, ancêtre du RN, a été crée en 1972 – précisément le 5 octobre 1972 – par des gens comme Jean-Marie Le Pen, pupille de la nation, qui a rejoint le maquis de Saint-Marcel à 16 ans et d’autres comme Michel de Camaret, officier parachutiste et Compagnon  de la Libération.

Si vous voulez honorer la « diversité » des grands Français, je vous suggère de faire entrer au Panthéon un catholique d’Action Française,  Honoré d’Estienne d’Orves, officier de marine, mort pour la France le 29 août 1941 au Mont-Valérien. Trahi par un membre de son réseau de Résistance, qui était en réalité un agent du contre-espionnage allemand, il est arrêté le 22 janvier 1941, ainsi que des membres de son réseau. Les accusés sont transférés à Berlin puis à Paris où, le 23 mai, la Cour martiale allemande condamne Honoré d’Estienne d’Orves à mort ainsi que huit de ses camarades qui sont transférés à Fresnes. Les condamnés auraient pu  être sauvés. L’amiral Darlan, vice-président du Conseil, intervient, le 25 mai 1941, pour demander la grâce d’Honoré d’Estienne d’Orves et obtient des Allemands un accord de principe.

Mais le 22 juin 1941 marque l’entrée en guerre de l’URSS avec la rupture du pacte germano-soviétique.  Le 21 août 1941, le communiste Pierre Georges — le futur colonel Fabien — abat de deux balles dans le dos l’aspirant d’intendance de la Kriegsmarine Alfons Moser au métro Barbès. L’aspirant Moser n’était pas armé et attendait sa rame de métro. Dès le lendemain, les Allemands promulguaient une ordonnance transformant les prisonniers français en otages et le général von Stülpnagel profitait de l’occasion pour faire un exemple. En représailles, cent otages seront exécutés dont d’Estienne d’Orves le 29 août 1941 au Mont-Valérien, en compagnie de Maurice Barlier, sous-lieutenant FFL, et de Jan Doornik, officier hollandais. Honoré d’Estienne d’Orves a laissé un journal où il exalte sa foi catholique et patriotique, ainsi que des lettres émouvantes à sa famille.

Je vous invite à le lire, monsieur le président de la « Ripoux-blique », c’est plus édifiant que la lecture de l’« Humanité »  ou de « Fils du peuple » du déserteur Maurice Thorez.

Éric de Verdelhan

21 février 2024

1) « Mythes et Légendes du Maquis » Editions Muller ; 2019.

2) « Histoire critique de la Résistance » de Dominique Venner; Pygmalion; 1995.

3)« Histoire de la Collaboration » Pygmalion ; 2000.

4) « La droite était au rendez-vous » Laffont; 1985.

5) « Le patriotisme des Français sous l’occupation » sous la responsabilité de F-G Dreyfus; Editions de Paris; 2000.

6) Il faudra attendre le livre de Pierre Péan « une jeunesse française » pour que les médias fassent semblant de découvrir le passé de Mitterrand (que dénonçait « le Crapouillot » dès 1981).

7) Rappelons que le procès de Nuremberg a mis…20 000 fusillés au compte des Allemands et que tous ces fusillés n’étaient pas communistes.

8) Je déteste la vulgarité mais il est bon, parfois, de rafraichir les mémoires.

9) L’un et l’autre étant très fiers d’avoir un ancêtre qui a voté la mort de Louis XVI.  

 

 

 

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9 Commentaires

  1. Freluquet ne pourrait-il pas rendre son âme à Dieu ou pluitôt au Diable. Lui qui déteste la France au point de la dénigrer dans chacun de ses discours ! lui qui la vend par petits morceaux à qui n’en veut (à quoi sont destinés les 10 milliartds du Qatar dont j’ai entendu parler hier soir mais j’avais du monde et je n’ai pas tout saisi) ? Et on met des jeunes de Mayotte dans un château du XVIIème siècle ! io va être beau le ch$ateau après leur passage ! J’espère que, au moins, on a mis le mobilier et les statues qui devaient orner ce chef d’oeuvre à l’abri avant de faire venir les racailles ! Faut pa sortir de l’ENA pour savoir ce que tout ça va devenir ! Et si Darmanin s’est déplacé à Mayotte pour cela, il auraoit mieux fait de rester dans son bureau ! Ca SUFFIT !

  2. Ah ben tiens, en fouillant un peu :
    « Avant d’être fusillé, Manouchian, dans sa dernière lettre, pardonne à tous, « sauf à celui qui nous a trahis pour racheter sa peau et ceux qui nous ont vendus ». Qui est le traître ? » interroge l’Histoire.
    https://www.lhistoire.fr/qui-a-trahi-manouchian
    Question à laquelle tentent de répondre les archives de l’INA :
    « Il faudra attendre 1985 pour que l’affaire soit enfin révélée dans un documentaire explosif, Des terroristes à la retraite, de Mosco Boucault. Dans son film, le réalisateur démontrait le rôle primordial des immigrés dans la Résistance. Interrogée dans ce film, Mélinée Manouchian accusait la direction du Parti communiste français d’avoir lâché le groupe Manouchian pour des raisons tactiques. Dans la conférence de presse, elle accusait Davidovitch, le commissaire politique du groupe Main d’Oeuvre Immigré Résistant et Olivier Olbal, le supérieur hiérarchique de son mari, d’avoir trahi le groupe ».
    https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/missak-manouchian-resistance-seconde-guerre-mondiale-ftp-moi-communiste-juif-armenien

    • J’ai dénoncé ça dans l’article suivant : Manouchian a été “vendu” par le PCF.
      C’est sa veuve qui l’affirmait, pas moi

  3. Une information qui mettra peut-être un peu de baume au cœur des lecteurs et que l’on pourra balancer à la figure des affidés de la gauche : en relisant le journal de l’abbé Franz Stock, aumônier allemand du Mont-Valérien décédé en 1948, l’historien Paul Airiau y a découvert que l’aumônier avait noté avoir reçu la confession de Missaak Manouchian et lui avoir donné la communion. Manouchian, élevé dans la foi orthodoxe et devenu communiste athée, s’est finalement confessé et a reçu la communion d’un prêtre catholique avant sa mort. Je songe avec satisfaction à la tête que vont faire les gauchistes et républicains de tout poil lorsque cela va commencer à se savoir. Je ne doute pas que, comme à leur habitude, ils vont tenter de mettre en doute la véracité du journal de Franz Stock, mais celui-ci étant tenu au jour le jour et n’ayant pas vocation à être publié, cela va être difficile

  4. Comme il est de bon ton de se prosterner devant les mahométans ou devant les LPPBITOQUBCNZ, il est aussi très apprécié de se prosterner devant les communistes.
    Le minuscule résident de l’Elysée ne manque pas une occasion de faire le malin devant un aéropage de crétins éblouis par son cirque infame et ses discours pondus par une IA folle.
    La détestation d’une partie grandissante du peuple, il s’en balek comme on dit dans les cités qu’il adore.
    De toutes façons, son maître Soros lui a déjà signifié sa prochaine promotion, très probablement à la tête de l’EURSS.
    Quant à son successeur, Moussa Darmanin est sur la rampe de lancement, le magazine MATCH à tiré la première fusée, les autres suivront. A ceux qui peuvent douter, je dis allez retrouver sur le Net les multiples couvertures du lancement du µcron.
    Le cirque du Panthéon n’est qu’un moment de comm de la marionnette, personne ou presque n’ira fouiller l’historie pour savoir et faire savoir qui étaient ceux qui ont dénoncé les Manouchian.
    Les Français moyens continuent de croire au mythe du “parti des 70 000 fusillés” et ce n’est pas à l’école que désormais on leur apprendra autre chose.

  5. Quelques remarques en complément, je prétends que parmi les collaborateurs, mais sans doute pas les dirigeants, nombre d’entre eux étaient des patriotes qui ont fait un mauvais choix par conviction ou parce que n’ayant pas une culture politique et ou historique suffisante. Si certains n’étaient pas fréquentables d’autres furent courageux et principalement anti communistes. ¨Parmi les gens du FN on comptait également le général Valette d’Osia résistant s’il en fut et combien d’autres. Ainsi se côtoyaient des résistants et des collaborateurs mais en général des gens qui avaient mis leur peau au bout de leur idées. A l’histoire de France d’Amouroux on peut également ajouter “les dossiers secrets de la France contemporaine de Claude PAILLAT. Et en effet il serait bon que l’Histoire de soit pas travestie à l’envi au profit de je en sais qu’elle aventure politique !. Ce fut le cas avec la mythologie gaulliste et celle des communiste et leur 75 000 fusillés dont les historiens sourit aujourd’hui.