MACRON EST-IL FOU ? (Éric de Verdelhan)

« Monsieur le président
Je vous fais une lettre,
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps… »

(Boris Vian : « le déserteur »)

 

 

Commencer un article en citant « le déserteur » de Boris Vian n’est pas une provocation car, avec un « Chef des Armées » tel qu’Emmanuel Macron, je choisirais de déserter si ce dernier nous impliquait dans une guerre qui ne devrait pas nous concerner (et si j’étais encore mobilisable, ce qui n’est plus le cas, vu mon âge). Je me demande, le plus sérieusement du monde, si l’avorton, le va-t-en-guerre vibrionnant, qui tient lieu de président de la République française n’est pas devenu cinglé ?  

Depuis le début de l’offensive russe en Ukraine, je ne compte plus les gens – amis, relations ou lecteurs – qui me font la morale, me traitent de « poutinôlatre » voire de lâche, m’engueulent parfois et s’ingénient à m’expliquer qu’il est de notre devoir de soutenir massivement l’Ukraine qui serait un rempart contre les velléités invasives de l’ogre russe, qu’on se plaît à comparer à Hitler (1).

Certains, dont les compétences en stratégie se limitent parfois à un Service Militaire effectué comme caporal-chef dans l’Intendance, se croient obligés de me démontrer que, de toute façon, la Russie ne peut pas gagner cette guerre puisqu’elle incarne le mal absolu. Nous, nous serions les justes, les garants de la liberté, des droits-de-l’homme, etc…etc… bref, le camp du bien.

Durant ces deux années de guerre, je me suis exprimé – quelques rares fois – pour répéter que l’Ukraine n’est ni membre de l’OTAN, ni membre de l’Union Européenne, et que ce conflit n’est pas le nôtre. Rien, absolument rien, ne nous obligeait à prendre position pour l’un des belligérants. Nous aurions dû rester neutres car c’était d’abord NOTRE intérêt. Ce n’est pas forcément très moral mais c’est de la realpolitik et du bon sens. Chez nous, on se doit d’être pro-Ukraine sous peine d’être rangé, définitivement et irrémédiablement, dans le camp des salauds, des traitres ou des lâches. Nos politiciens tiennent tous le même discours, en dehors de Thierry Mariani et de quelques autres.

Tout le monde semble vouloir oublier que ce conflit était en gestation depuis 1991, et qu’il a réellement débuté en 2014. Pour Macron, dans cette affaire, Vladimir Poutine est le seul responsable et le seul coupable. Il occulte les 30 années d’humiliation et de mépris à l’égard de la Russie, écartée de l’Europe. Il ne dit rien non plus sur les promesses faites à Gorbatchev de ne pas élargir l’OTAN à l’Est ; rien sur le refus de Kiev de respecter les Accords de Minsk sur l’autonomie du Donbass (2) ; et  rien sur les bombardements commis contre les populations pro-russes.

Au tout début de l’offensive, le général Lalanne-Berdouticq déclarait : « A partir de 1995, les Américains, qui avaient besoin d’ennemis pour faire survivre l’OTAN, s’étaient lancés dans des guerres folles : dans les Balkans (Serbie et Kosovo) en 1995, puis en 1999, en Afghanistan (2001) ou en Irak (2003). Ils s’engluèrent sur ces théâtres d’opération… Mieux, les Alliés imaginèrent de changer les régimes politiques de certains des pays du glacis vital russe, au nom du « droit d’ingérence », pour étendre leur propre vision de la démocratie… » (3).

Le coup d’État du 22 février 2014, dit « de l’Euro-Maïdan », préparé, organisé et financé par les États-Unis (à hauteur de 5 milliards de dollars) ne visait pas à rendre l’Ukraine plus démocratique mais à la rendre plus… occidentale, c’est-à-dire antirusse. D’ailleurs, après la destitution du président Ianoukovitch, régulièrement élu en 2010, le premier acte législatif de la nouvelle équipe au pouvoir fut l’abolition de la langue russe comme langue officielle. Le message était parfaitement clair !

Macron répète à l’envi que nous ne sommes pas en guerre contre le peuple russe, mais il ne se passe pas une semaine sans qu’on nous annonce de nouveaux envois d’armes à l’Ukraine et de nouvelles sanctions destinées à punir Poutine alors même qu’elles pénalisent d’abord et surtout l’Europe (et la France). Mais ces sanctions font les choux gras de « l’oncle Sam »  ou, si vous préférez, de l’oncle Biden (et de la Chine).
Au tout début du conflit, j’écrivais : « La Russie est autosuffisante dans de nombreux domaines, il y a donc fort à parier qu’elle souffrira moins que les pays tributaires –  voire totalement dépendants – de son pétrole, de son gaz, de ses métaux rares ou de son blé… ».

Nous commencions à manquer de tout après quelques mois de guerre et notre paysannerie crève des importations ukrainiennes exonérées de droits de douane.

Nos médias, tous favorables à l’Ukraine, soufflent en permanence le chaud et le froid. Il y a quelques mois on nous expliquait que, grâce à l’aide des Alliés, les troupes de Zelensky enfonçaient partout les Russes et regagnaient des territoires perdus au tout début du conflit. Et des spécialistes – autoproclamés pour la plupart – nous annonçaient à cor et à cri que l’Ukraine allait forcément  gagner la guerre et que les Russes étaient cuits, battus, foutus.

Sur les plateaux télé, les ex-officiers supérieurs ou généraux qui, il y a quelques années, nous affirmaient que Poutine récréait une armée impressionnante, plus forte que l’Armée Rouge d’antan, nous expliquent maintenant que les troupes du Kremlin ne valent rien, qu’elles ne sont absolument pas motivées, qu’elles refusent de se battre et que leur matériel est obsolète. N’oublions pas que ces chroniqueurs sont, pour la plupart, des soldats d’opérette qui n’ont jamais fait la guerre, sinon autour d’un bac-à-sable (4), et que, depuis la Guerre du Golfe, ils passent leur temps à se tromper, un peu comme les économistes qui savent si bien nous dire… le lendemain ce qui aurait pu (ou dû) se passer la veille.

Ces gens-là vivent grassement de la crédulité des imbéciles. Je lis régulièrement les avis contraires de gens comme Jacques Guillemain dans « Riposte Laïque ». J’aurais plutôt tendance à croire Jacques Guillemain – ancien officier supérieur et pilote de chasse –  qui connaît son sujet, plutôt que ces stratèges pontifiants qui s’écoutent parler. Mais en fait, je suis bien incapable d’avoir un avis étayé sur la question. En France, comme dans la plupart des pays européens, nous avons volontairement coupé tous les canaux d’information en provenance de la Russie, il est donc difficile de se faire une opinion. Quelle sera l’issue de cette guerre ? Quand finira-t-elle ? Qui va la gagner ? Personnellement je n’en sais rien mais je me pose des questions de simple bon sens :

Pourquoi Poutine, qui disposerait nous dit-on d’une armée d’un million d’hommes, n’a-t-il pas encore mis le paquet ? N’est-il pas en train d’utiliser la technique mise en œuvre par l’URSS lors de l’opération « Barbarossa » : exposer d’abord ses troupes les moins aguerries pour réserver l’offensive finale à ses troupes d’élites ?
Rappelons que l’opération « Barbarossa » a été déclenchée par Hitler le 22 juin 1941, soit un an exactement après la signature de l’armistice entre la France et l’Allemagne. Les plus sanglantes batailles de la Seconde Guerre Mondiale se sont déroulées sur le front soviétique. L’opération « Barbarossa » est la plus grande invasion de l’histoire en termes d’effectifs engagés et de pertes : du côté allemand, près de quatre millions de soldats pénètrent en Union Soviétique. En plus des troupes, l’opération « Barbarossa » a mobilisé 600 000 véhicules et 600 000 chevaux. La Wehrmacht possédait indéniablement une supériorité sur l’Armée Rouge, elle était mieux organisée, mieux commandée et avait, jusqu’à la gigantesque bataille de Koursk (en juillet 1943), une supériorité tactique. Elle bénéficiait aussi de l’effet de surprise.

L’Armée Rouge, décapitée par les purges de Staline, disposait de réserves humaines. Après le choc initial, l’éveil du patriotisme russe permettra à Staline de compter sur la troupe et le peuple pour sauver le pays. Pour l’Allemagne, c’est en Union Soviétique que la Seconde Guerre Mondiale commence vraiment, avec une campagne qui du 22 juin 1941 au 22 janvier 1942 voit tomber en moyenne 3 200 soldats par jour. Entre juin 1941 et mars 1942 environ 15 000 officiers furent tués. Au six premiers mois de l’invasion, les pertes allemandes s’élevaient à 750 000 hommes, qui furent portées à un million à la fin de mars 1942. Au total, lors de la première année de campagne contre l’URSS, le Reich perdra 1,3 million d’hommes, sans compter les malades.

En 1942 l’Allemagne occupait l’Ukraine, la Biélorussie, le Nord de la Russie, soit plus de la moitié du pays, mais le Reich avait fait tuer ses meilleures troupes.

L’anticommuniste viscéral que je suis n’oublie pas qu’avec près de 26 millions de morts, l’Union Soviétique a payé le tribut humain le plus élevé de la Seconde Guerre Mondiale.

Certes le combattant russe actuel n’a plus rien à voir avec celui de l’époque, mais pourquoi  l’excellente armée qui s’est bien battue en Syrie serait-elle devenue, depuis, une armée totalement inapte au combat ? C’est difficilement explicable et/ou difficilement compréhensible par le commun des mortels, le simple citoyen que je suis. Je ne sais toujours pas qui gagnera ce conflit. Mais je pressens, en revanche, une volonté occidentale de souffler sur la braise, au risque de nous entrainer vers une Troisième Guerre Mondiale.

Les Américains ont réagi selon la tactique habituelle des Anglo-Saxons, par des sanctions et l’embargo, qui sont la version moderne du blocus, par la disqualification morale, l’inversion accusatoire, la sidération des opinions publiques par la propagande émotionnelle, le pilonnage médiatique et la criminalisation de l’ennemi. La tactique a pour conséquence de rendre impossible tout retour à la paix par un règlement négocié du conflit puisqu’on ne négocie pas avec un criminel ou un fou. A la manière de la « cancel culture », la russophobie ambiante discrédite tout ce qui est russe, de Dostoïevski à Soljenitsyne en passant par Gagarine, les sportifs et les musiciens, tous victimes d’une même « réduction ad Poutinum. »… » (5).

C’est ce que je pense moi aussi : nous faisons tout ce qu’il faut pour rendre les négociations de paix impossibles. La Russie a envahi l’Ukraine (sans lui avoir déclaré la guerre), et c’est hautement condamnable, mais je crains que les gesticulations, rodomontades, surenchères et propos de va-t-en-guerre ne finissent par allumer l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres et justifierait – que dis-je, légitimerait – l’entrée en guerre des forces de l’OTAN contre l’ogre russe. Ceci au nom du camp du bien contre le mal absolu. Les démocraties ont toujours eu besoin de se draper dans un semblant de morale pour envoyer leur peuple au casse-pipe.

Dans ses prêches aux accents churchilliens, Macron, l’air grave, le regard froid, l’œil figé d’un halluciné, désigne Poutine comme seul responsable de cette guerre. Personne ne conteste, en effet, qu’il soit l’agresseur, mais l’OTAN et les USA ont leur part de responsabilités dans la montée des périls. Macron accuse également Poutine de mensonges, c’est certainement vrai mais lui aussi nous ment. Il sait que notre armée est réduite à une peau de chagrin mais il rêve d’en découdre. Ce type est un inconscient ou un fou. Il est prêt à tout pour faire avancer ses ambitions européennes, même au pire. Or, les combattants slaves ne sont ni des enfants de chœur, ni des tendres ; ils font la guerre sans états d’âme, farouchement, souvent salement. Les Armées napoléoniennes en ont fait les frais, les Allemands aussi, Mais existe-t-il des guerres propres ?

Je me souviens avoir lu jadis un récit de guerre qui racontait comment les femmes-soldats  de la vaillante Armée Rouge, bourrées à la vodka, découpaient des prisonniers allemands à la scie circulaire, dans le sens de la longueur, en commençant par l’entre-jambe. Je me garderais bien de laisser croire que seules les troupes soviétiques étaient barbares. J’ai décrit dans un de mes livres (6) ce que les FTP communistes ont fait subir, à la Libération, au Comte Christian de Lorgeril, parent d’Honoré d’Estienne d’Orves, à qui on reprochait son château et ses idées monarchistes. Il est arrêté le 22 août 1944 : « Complètement nu, le malheureux dut s’asseoir sur une baïonnette. Puis il eut les espaces métacarpiens sectionnés, les pieds et les mains broyés. Les bourreaux lui transpercèrent le thorax et le dos avec une baïonnette rougie au feu. Le martyr fut ensuite plongé dans une baignoire pleine d’essence à laquelle les sadiques mirent le feu. Leur victime s’étant évanouie, ils le ranimèrent pour répandre ensuite sur ses plaies du pétrole enflammé. Le malheureux vivait encore. Il devait mourir  55 jours plus tard, dans les souffrances d’un damné… ».
Ce récit, d’un sadisme écœurant, est paru dans le quotidien « L’Aube » en novembre 1950 (7).

Pourquoi raconter cela, me direz-vous ? Parce qu’on n’en parle pas assez. C’était une époque où tous nos intellectuels étaient procommunistes, ou l’Occident ignorait Soljenitsyne, et où il était interdit de critiquer « le parti des 75 000 fusillés » (8). Après la guerre, les progressistes, les gauches, idéalisaient le « paradis des Soviets » et les gens de droite lorgnaient sur l’« Américan way of life ».

Depuis la chute du mur de Berlin toutes les cartes ont été rebattues : la gauche-caviar et les sociaux-démocrates en général sont devenus pro-américains ; ils ont applaudi l’effondrement de l’ex-URSS ; ils ont humilié la Russie de Vladimir Poutine, et ils jouent les vierges effarouchées quand l’ogre russe montre les dents. Quant à Macron, il ne comprend rien mais il veut jouer les chefs de guerre.

Peut-être suis-je en train d’envisager un scénario-catastrophe ? J’espère me tromper mais ne soyons pas trop naïfs car, malgré les rodomontades d’Emmanuel Macron, dans l’immédiat, c’est au plan économique que nous  souffrons.

Biden, Macron, Ursula von der Leyen, etc… ont choisi leur camp. Au risque de me répéter, j’ai choisi le mien. Ce n’est pas celui de la Russie ou de l’Ukraine, c’est celui de la France (et de sa survie).

Il nous faudra, tôt ou tard, – et le plus tôt sera le mieux ! – reprendre des relations normales avec la Russie, car c’est d’abord et avant tout NOTRE intérêt !     

Eric de Verdelhan

16 mars 2024

1)- Mais jamais à Staline, celui que nos intellectuels ont adulé pendant des décennies.

2)- Je rappelle une nouvelle fois qu’Angela Merkel et François Hollande ont reconnu que les Accords de Minsk II étaient une ruse pour « laisser le temps à l’Ukraine de se réarmer ».

3)-Déclaration à  « Breitz-Info » le 25 février 2022.

4)- On me rétorquera sans doute que moi non plus je n’ai jamais fait la guerre, c’est vrai. C’est pour cela que je me garde bien d’avoir un avis tranché sur des questions qui me dépassent.

5)- Dans la revue « Eléments » de juin-juillet 2022.

6)- « Mythes et légendes du Maquis » ; éditions Muller ; 2019.

7)- Récit fait d’après les déclarations des tortionnaires.

8)- Alors que le procès de Nuremberg imputait, sur notre sol, 4 000 fusillés aux Allemands et tous n’étaient pas communistes, loin de là. Mais « au diable l’avarice ! »   

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14 Commentaires

  1. Macron est un dément narcissique donc imprévisible, je doute qu’une bonne fessée maison puisse lui remettre les idées en place.
    Mais je ne vous cache pas que j’aimerais bien voir Poutine lui en administrer une à sa façon.
    Et, pour totalement déstabiliser les USA de Biden le roquet, Trump au pouvoir pourrait favoriser la fin de la guerre Russo ukrainienne, puisque selon certaines sources Trump et Poutine entretiennent des rapports amicaux.
    Imaginez que pour casser ce salopiaud de Zelinsky inféodé à l’OTAN, Trump modifie le rapport de force en cessant l’envoi d’armes à l’Ukraine mais opte pour un envoi de troupes G.I en URSS pour une opération conjointe visant à la prise rapide de l’Ukraine et à la condamnation de Zelinsky.
    Tout l’Europe sait que les sommes envoyées à l’Ukraine ne rentre pas pour aider le pays mais sont détournés au profit de certains. Ukraine ou magouilles and compagnie.
    Il n’est en aucun cas souhaitable de voir ce dictateur corrompu copain de Macron se hisser sur les ruines de ce pays, en vue d’asseoir les plans des Soro Gate and Co.
    Le monde et notre pays y perdraient leurs âmes.

  2. Poutine ne souhaite pas la disparition de sa population, à l’inverse du machiavélique Macron. Donc, je suis pour une amitié FRANCO-RUSSE.

  3. « …ces sanctions font les choux gras de « l’oncle Sam » ou, si vous préférez, de l’oncle Biden (et de la Chine) ». Les USA sont dans une fuite en avant avant leur effondrement (et nous avec par effet domino). Son économie est catastrophique et ses dettes monstrueuses (plus de 30 000 milliards de dettes). Seule solution pour eux continuer à générer des guerres pour faire tourner leurs industries et tant pis pour les alliés, on est dans le pays des cow-boys !Mais personne parmi nos experts et autres chroniqueurs de haut vol n’émet le moindre doute sur la sincérité des USA !

  4. Vous avez raison Monsieur de Valfrancisque ….. ce gamin est fou et il n’aurait jamais du être élu ! D’ailleurs, malgré ses deux quinquennats, il n’aura pas grandi d’un pouce, lui qui veut péter plus haut que son cul ! Et la seule chose que l’Histoire, (la grande, la vraie Histoire) retiendra de lui, ce sera qu’il aura défiguré notre Patrie, vendue par morceaux, et cassé toute notre économie comme le vilain garnement qu’il est. N’y a-t-il donc personne à l’Elysée pour lui faire comprendre que trop c’est trop ?

    • Vous avez entierement raison.Mais je pense qu’il s’agirait plutôt d’un traitre qui, mérite une condamnation.Il se donne des airs de fou, de gamin ,de tout ce qu’on voudra. Non pour moi je le ressens comme un traitre convaincu de la validité de son attitude qu’il ne faudra pas épargner au nom de la folie car il sait ce qu’il fait et c’est programmé depuis sa tendre jeunesse.

  5. Macron est il fou ? une chose est sure est qu’il ne réalise pas bien l’ampleur des problêmes quels qu’ils soient et même peut être ce qui peut lui arriver..Il a de l’aplomb comme un adolescent qui ment.
    Certes on loi a appris à travailler la pensée et même les pensées les plus absurdes Ca c’est en partie l’ENA mais il a des capacites naturelles :Seulement il n’a pas de mémoire historique car il veut la nier et presuq il ne s’en cache pas..Il voudrait faire croire que la terre est carrée,que l’espèce humaine est tres malléable dans tous les sens qu’on pourrait imaginer , que un et un ne font pas deux mais que pour un banquier un et un fasse trois et pour le peuple seulement un. On parle du pluralisme: oui bien sur pour
    lui et les grands patrons sans ethique mais pour le peuple c’est la pensée unique
    dite bien pensance qui bien sur, lui est reprochée quand elle ne va pas dans le bon sens,qualifiée la plupart du temps d’extreme droite actuellement et depuis queLques années .
    En france on est libre mais cause toujours ,tu m’interresses.C’est le pays des paradoxes mais aussi des réactions parfois tardives mais redoutables.Que les psycho
    et socio conseilleurs relisent leurs cours surtout à l’élisée.

    • On a eu deja un paul deschanel descendu du train en pyjama:Lui je ne sais pas ce qu’il va nous faire :peut être un délire paranoide: Difficile car c’est un cas.

    • Et bien il y a des gens qui restent encore sans avis sur ce personnage.Il disent parfois u’il est depassé.Je leur dis que le problême est qu’il n’en a peut être pas conscience mais mon petit doigt me dit avec force que Cet individu agit comme quelqu’un a qui on a ordonné d’agir de la sorte car sinon c’est impossible d’agir de la sorte.On le croit fou ou il s’en donne les airs mais il n’est seulement que le porte parole de salauds et de nous il n’en a rien à foutre.Cependant c’est vrai que nous avons eu des presidents cingles ou depressifs :Lui c’est autre chose
      :je pense que c’est plutôt un traitre ou quelqu’un agissant pour le compte de ?.

      • jeanmi je crois qu’effectivement cet « individu » est : sous influence! La manière dont il a été « pris » en mains par un adulte alors qu’il était très jeune (14 ans) l’a totalement déconnecté d’une suite d’éléments qui forment un esprit SAIN. Ayant été « formaté » me semble t il dans un but précis (voir son cheminement d’études) je pense que c’est un être immature, incomplet, dénué de bon-sens. Il s’entoure de « courtisans » qu’il mène ou il veut, qui n’ont aucun pouvoir personnel. Je pense qu’il est connecté et manipulé par un(e) adulte depuis ses 14 ans. Dire qu’il est fou, je ne pense pas, « robotisé » à des fins bien définies oui.

    • Monsieur, vous n’avez pas entériné mon commentaire! Il faisait suite à l’assertion que vous convoquez vous même. Nous savons que cet être n’est pas fini. Que pensez vous de son acharnement à vouloir irriter V. Poutine; seul contre tous les dirigeants de la planète? Il a les codes nucléaires et se délecte de provoquer et de semer la désunion.

    • Ben le comprendre, le serait pour toutes ces personnes qui ont acceptées l’ensemble des préconisations COVID et l’acceptation de ces pseudos vaccins destructeurs des défenses immunitaire et qui ont gobées toutes ses assertions prises pour argent comptant….
      Imaginez juste que Poutine au lieu de nous balancer un ou x missiles nucléaire, nous envoie un joli cadeau en mode maladies virales…… Prenons la peste par exemple….
      Si ce que m’ont dit deux médecins anatomo-pathologistes et un virologue, les vaccinés ont eu leur système immunitaire totalement désorganisé et ou supprimé, remplacé par un système de défense adapté à la lutte contre le COVID. Et aujourd’hui les vaccinés sont bien moins résistant à n’importe quelle autre maladie.
      Les nonvax sont bien moins nombreux mais plus ou moins résistant selon leurs modes de vie et professions.. il est possible de tout supputer.