ECOLOGIE RELIGION TOTALITAIRE :
de Greta Thunberg à Claire Nouvian
(L’Imprécateur)

Dans cet article, il n’est pas question de critiquer Greta Thunberg. Cette jeune handicapée est certainement sincère et convaincue de ce qu’elle dit. Ce qui ne va pas, c’est l’exploitation évidente qui en est faite par son entourage, notamment ses parents. Il ne faut pas creuser bien loin pour trouver des intérêts capitalistiques  commerciaux et industriels quelque peu sulfureux dans le phénomène Greta Thunberg.

Que la presse, vu l’état de délabrement moral et financier dans lequel elle se trouve, exploite le filon pour faire de la diffusion et donc du chiffre d’affaires, passe encore.
Que des chefs d’État profitent de ce jeu malsain pour justifier des mesures autoritaires qui n’ont pour but que de faire rentrer de l’argent dans les caisses de leurs États en déficit ne nous étonne guère non plus, nous sommes habitués à les voir bafouer tous les jours les valeurs qu’ils vantent à longueur de discours.
Que le pape lui-même, et l’ONU, participent à ce jeu cruel pour une fillette mineure nous fait penser que ce n’est pas le climat qui va mal sur cette Terre, c’est la morale dans ce qu’elle a de plus élémentaire.


L’oppression justifiée par des théories fumeuses n’a rien de nouveau !

Tous les dictateurs ont été inspirés par  des théories fumeuses. Ils les ont appliquées au détriment non pas de « leurs » peuples, mais des peuples qu’ils avaient soumis par la propagande.
On appelle ça aujourd’hui : la « communication ».

Pour Mao Tsé Toung, ce fut Lin Piao, un militaire et sa « Théorie du génie inné« .

Devenu gênant, il mourut « accidentellement » dans un accident d’avion. Il échappa ainsi à l’une des nombreuses purges qu’ordonna le tyran de la Chine, la première ayant fait la bagatelle de 186 000 morts alors que Mao ne contrôlait à l’époque que la République de Chine – dix millions d’habitants environ – le reste du pays étant aux mains du Kuomintang de Tchang Kai Check.

Le plus grand nombre de victimes de Mao (entre 35 et 50 millions) résulta du « Grand Bond en Avant » des années 1958-1960. Mao ordonna que tous les paysans soient réquisitionnés pour travailler dans les usines afin de développer l’industrie lourde.

Les produits fabriqués par des pauvres types totalement inexpérimentés, furent inutilisables et invendables. Pendant ce temps-là, les récoltes pourrissaient sur pied, engendrant la famine en Chine.

Le second de Mao, Liu Shaoqi, se révolta et l’accusa de provoquer le cannibalisme car, effectivement affamés, les Chinois dévoraient leurs morts et les bébés.
« Peu importe que la moitié de la population meure si l’on instaure le progressisme » répondait Mao !

Staline avait pour mentor « scientifique » Trofim Denissovitch Lyssenko, un pseudo médecin. Lui aussi adepte de l’axiome « la famine est le passage obligé du progressisme », avait affamé la paysannerie ukrainienne entre 1931 et 1933 pour convaincre les paysans d’accepter le collectivisme.

Six millions de morts au minimum dans l’immédiat, une dizaine si l’on compte ceux qui moururent dans les mois qui suivirent, ou des séquelles d’une longue période de famine…
L’équivalent d’une Shoah.

Hitler avait aussi ses « penseurs » dont il suivait les instructions à la lettre : Karl Haushofer, géopoliticien, et Hans Horbiger, théoricien du monde de glace et de feu.

Haushofer convainquit Hitler que le monde devait devenir aryen, comme d’autres croient aujourd’hui que le monde devrait devenir musulman. Quant à Horbiger, il prétendait que les armées nazies dépositaires du feu vaincraient sans peine le  froid soviétique, raison pour laquelle Hitler envoya la Wehrmacht en plein hiver à Stalingrad en n’équipant les soldats que de gants et de cache-nez pour lutter contre le froid (1).

Les dirigeants du totalitarisme soft ont trouvé Greta Thunberg

Ce qui précède avait pour but de montrer que le totalitarisme mène inévitablement à la famine, à la misère et aux tueries de masse.

Or, Greta Thunberg participe à son insu à l’instauration d’un totalitarisme soft.

Les dirigeants du  monde moderne ont trouvé leur théoricien fou.
Il prêche la Théorie du réchauffement anthropique mortel qui va tuer la moitié de l’Humanité dans dix ou vingt ans alors que, comme Lyssenko ou Horbiger, il n’a pas le moindre commencement d’une formation scientifique.

Ce théoricien non scientifique  s’appelle Greta Thunberg. Elle veut que nous soyons terrorisés !

Greta Thunberg est une gamine handicapée mentale de 16 ans, vierge (c’est indispensable), qui, comme Bernadette Soubirous ou Sainte Thérèse d’Avila, a des visions.

Sainte Greta « …voit le CO2 à l’œil nu sortir de cheminées et former un dépotoir dans le ciel » a écrit sa mère, car sa mère ne se contente pas de préparer les interventions verbales de Greta et de les lui faire apprendre par cœur, elle écrit aussi ses livres. Deux pour l’instant : « Rejoignez-nous« , tiré à 65 000 exemplaires rien que pour la France, et « Scènes de cœur, notre vie pour le climat« , qui va bientôt sortir en France.

Les réseaux sociaux s’étant déchaînés de rire en apprenant que « elle voit le CO2 à l’œil nu« , Arte a aussitôt pris la défense de Sainte Greta. « C‘est une métaphore, cela signifie qu’elle voit des choses que nous ne voyons pas« . Ben oui ! Et justement, elle voit le CO2. C’est peut-être une métaphore, mais c’est une méta (un peu) phore de café !

Exploiter le handicap d’une fillette ne gêne personne

Ce qui est réellement un peu fort, c’est d’exploiter le handicap de cette fillette pour lui faire voir des choses qu’elle n’a pas vues et dire des choses qu’on lui souffle dans l’oreille.

Car si Greta savait parler toute seule, elle serait capable de répondre aux questions des journalistes (2), ce qui n’est pas le cas.  Mais, telle quelle, Greta Thunberg est une source de revenus qui n’est pas prête à se tarir. A quand le film et la série télévisée ? Car derrière tout ce cinéma, il y a évidemment beaucoup d’argent en jeu.

Greta est « conseillère spéciale » de la fondation We don’t have time, social media platform, créée pour elle, qui dès le premier jour du lancement médiatique de Greta a levé 10 millions de couronnes suédoises, soit 9,5 millions d’euros.

Ce n’est pas Greta qui a signé le contrat, c’est sa mère. Depuis, elle a abandonné sa carrière artistique pour se consacrer à l’exploitation – beaucoup plus rentable – de sa fille.

Et qui est derrière la mère ?

Ingmar Rentzhog, qui a fait fortune dans le business vert, le conseil, la marketing et l’industrie.

Le business vert compte multiplier son chiffre d’affaires

Ingmar Renzog a fondé We don’t have time pour « noter les propositions des gouvernements à la manière d’un « TripAdvisor » pour la planète » et ainsi, en jouant de l’influence des réseaux sociaux, contraindre les gouvernements à dépenser plus dans les équipements verts comme les éoliennes dont, oh surprise !, Ingmar Rentzhog est un gros actionnaire !

Cela fait que maintenant, il est plus gros salopard que gros actionnaire, parce qu’exploiter une gamine handicapée pour se faire « un pognon de dingue » comme dirait Macron, c’est quand même pas joli.

Emmanuel Macron fut cadre et gérant chez Rothschild Bank & Co. Il a vite reçu Greta Thunberg parce qu’il a compris que son gouvernement – pour augmenter encore les impôts et taxes verts, déjà lourds et pléthoriques, pouvait s’appuyer sur l’émotion provoquée par Greta et sa croisade pour le climat. Il peut ainsi imposer sans discussion des mesures autoritaires, au nom de Save the planet !

L’écologie politique n’est pas une science mais une religion

Il s’agit bien de conserver à l’écologie son caractère profondément religieux d’idéologie catastrophiste intolérante, avec ses dogmes tabous, ses grands prêtres et maintenant sa petite papesse.

Pour les moines et bonnes sœurs hystériques de l’écologie, comme Claire Nouvian, la science n’a aucune importance puisqu’ils ont la foi.

Le passage chez Pascal Praud de cette allumée du bulbe restera dans l’anthologie de la bêtise et de l’intolérance.

https://www.dailymotion.com/video/x77vao1

Le fait que 31.000 scientifiques, et non des moindres, aient signé une pétition (Global Warming Petition Project) dénonçant la fable du réchauffement climatique anthropique ne les concerne pas.

Que le GIEC ait été pris la main dans le sac pour avoir trafiqué des données accréditant la thèse du réchauffement global est oublié (cf. « Le réchauffement climatique anthropique : un mensonge qui arrange ! » d’Antoine Calandra, publié le 10 janvier 2016 sur Mediapart). Que Michael Moore ait été convaincu de faux par la Justice anglaise avec sa courbe en J (crosse de hockey) et dont le film fut de ce fait interdit de diffusion, ils s’en moquent.

Comme ils se moquent du calvaire qu’ils imposent à une jeune autiste.

Une pétition vient d’être lancée par Gregory Roose : « Ras-le-bol du phénomène “Greta Thunberg” ? Roose ne nie pas que la douce Greta soit habitée par des convictions sincères, mais il est plus circonspect sur l’entourage : « La jeune Suédoise de 16 ans a des convictions, c’est une certitude. Mais ses parents irresponsables laissent leur fille, atteinte d’une forme d’autisme, sécher les cours chaque vendredi et parcourir le monde pour “sauver le climat”, au détriment de sa santé physique et mentale », dit-il. Et si « la réussite marketing est indiscutable », on est fondé à se poser la question : « Qui s’interroge sur la souffrance que cette enfant, atteinte d’une forme d’autisme, peut endurer pour assurer le rôle d’égérie de l’écolo-catastrophisme voulu par d’autres ? »

D’autant plus que l’on sait qu’elle est timide et craintive et que pour nous vendre l’histoire, on nous a expliqué qu’elle relevait d’une grave dépression causée par ses angoisses climatiques…
Merci papa, merci maman…
(Source : Valeurs actuelles)

L’Imprécateur
6 juillet 2019

1: La jeunesse d’Adolf, Maurice D. 2002

2 : Journaliste à Causeur, Marc Reisinger a voulu interroger la sainte climatique. il a découvert une jeune fille « craintive, mal à l’aise ». Au moment où il la questionnait, elle a retiré son bonnet. Comme s’il s’était agi d’un appel au secours, une femme s’est aussitôt approchée : « Hello, désolée, nous avons quelque chose à faire maintenant. Je dois l’emmener, merci…

2 Commentaires

  1. Merci pour ce rappel sur la petite autiste. Ce n’est pas un hasard si on choisit une personne de sexe faible, enfant et handicapée. Il fut un temps où Darty employait un jeune mongolien dans son SAV. Qui allait se risquer d’entrer en conflit avec lui? On repartait avec l’aspirateur défaillant sous le bras.
    En revanche la comparaison avec Hitler pour le faire passer pour un demeuré est un peu hasardeuse sinon grotesque, pardon. L’opération Barbarossa qu’il a lancée contre l’URSS a bien débuté en Juin et non pas en plein hiver. On sait bien qu’il aurait voulu démarrer bien avant, au Printemps suivant le principe de la guerre éclair. Personne ne comptait affronter le général Hiver après la déroute de Napoléon, pas même Hitler, fin connaisseur de l’histoire de Bonaparte…
    Permettez nous de douter que le manque d’équipements soit à mettre sur le compte d’une inspiration de ‘soldats de feu’…

  2. Le réchauffisme DOIT passer ! Si on ne le veut pas en cachet, ils nous le mettrons en suppositoire. Il y a beaucoup trop de pognon en jeu pour que les financiers renoncent à faire se mouvoir les marionnettes  » escrologistes  » qui concourent à l’extorsion. Qu’il faille exploiter les hallucinations d’une jeune handicapée pour parvenir à leur fin n’est pas un problème : quand on aura pressé le citron, on jettera la peau ! Si les banquiers avaient des scrupules, depuis le temps, ça se saurait.

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