LES PSEUDO VACCINS VONT-ILS ÊTRE IMPOSÉS ?
(L’Imprécateur)

« La vaccination (ou l’immunisation) protège contre la maladie en introduisant dans l’organisme une souche affaiblie qui déclenche la production d’anticorps, comme si l’on était exposé à la maladie naturellement« .

 




LES PSEUDOS-VACCINS ANTI-COVID VONT-ILS NOUS ÊTRE IMPOSÉS ?

La vaccination protège dans le futur, mais ne guérit pas. L’OMS recommande d’ailleurs de ne pas vacciner les malades, car en ajoutant du virus – même affaibli – au virus déjà présent on risque d’aggraver la situation sanitaire ou de déclencher des effets secondaires graves.

Les grands laboratoires industriels proposent des « vaccins » anti-Covid-19 qui n’en sont pas. Les produits qu’ils proposent sont des thérapies, c’est à dire un moyen de prévenir la maladie en modifiant l’ADN de nos cellules pour leur apprendre à réagir à l’apparition du virus couronné désigné.

Pourquoi pas ? C’est peut-être la solution qui a le plus d’avenir puisque depuis quelques années les chercheurs en biologie ont appris à modifier le génome (ARN+ADN) des cellules vivantes, à le truquer, à en fabriquer d’artificiels en supprimant les segments indésirables (notamment avec les « ciseaux » protéiniques CRISP-Cas9 inventés il y a trois ans par la récente Prix Nobel Emmanuelle Charpentier), en en greffant d’autres supposés résoudre le problème posé (ex : des segments d’ADN de VIH ou de Covid).

Au fond, on a fabriqué des végétaux OGM qui résistent à certaines maladies végétales et des animaux OGM comme ces porcs qui résistent à la peste porcine… Pourquoi pas des humains ?

LA THÉRAPIE GÉNIQUE EST PEUT-ETRE BONNE POUR LE FUTUR, MAIS LE PROBLÈME N’EST PAS LÀ

Car ce n’est pas là que le problème se situe dans l’immédiat.

L’invention et la fabrication d’un médicament et d’un vaccin prennent en général une bonne dizaine d’années, dont les dernières servent à obtenir la certification des autorités par de multiples contrôles des formules et des tests passant progressivement des animaux de laboratoire à l’homme. En 2020, les mêmes laboratoires ont annoncé qu’ils avaient trouvé la formule géniale de l’ARNm, (le m pour messager), qui va modifier notre ADN pour le rendre plus combatif.

Quelle formule ? Secret de fabrication ! La concurrence est telle qu’il serait dangereux de le divulguer. Mais rassurez-vous, braves gens, on a utilisé les « ciseaux » du CRISP-Cas9 de Madame Charpentier qui a déposé le brevet en 2015, c’est donc du garanti sans risques.

Prudents, les laboratoires ont quand même prévenu les gouvernements : vous voulez nos vaccins (qui n’en sont pas) très vite ? D’accord on va vous les livrer, mais comme l’OMS ne les a pas validés, nous ne garantissons rien.
Dans un premier temps, les gouvernements ont accepté de prendre le risque, s’engageant (moralement) à indemniser les victimes.

Et puis ils ont réfléchi. Ils ont d’abord pleuré à Bruxelles et la Commission européenne a accepté de prendre le risque à leur place et d’indemniser les victimes, sauf que… légalement elle ne peut pas le faire. Mais ça, personne ne l’a dit, laissons les futurs vaccinés dans leurs illusions.

Ensuite, ils avaient prévu de vacciner en priorité le personnel soignant, mais celui-ci a prudemment décliné l’offre. Alors ils ont eu une idée si eugéniste qu’elle pourrait leur avoir été soufflée par Jacques Attali ou Laurent Alexandre : on va vacciner en priorité les plus fragiles, les vieux des EHPAD. D’abord, comme le dit Laurent Alexandre, ils ont « une faible espérance de vie résiduelle« , et si l’on sacrifie quelques milliers de résidus « inutiles« , comme le dit aussi L. Alexandre, ça fera faire des économies de Rivotril (le produit pour les euthanasier), de frais d’hospitalisation, et tout celà améliorera le budget de la Sécu.

Car il n’est toujours pas question de prendre les mesures qui permettraient d’économiser autour de cinquante milliards (soit environ 2000 € par foyer fiscal !) sur les fraudes aux cartes vitales et aux prestations sociales.
Donc on va envoyer les vieux au casse-pipes, les + 85 ans d’abord, puis les + 80, etc…

Parce qu’évidemment , il n’est pas question non plus de dire…

« on va montrer l’exemple, nous la présidence, le gouvernement et les élus, nous qui sommes absolument indispensables au bon fonctionnement du pays, nous ces nombreux experts de la santé, la Haute Autorité de la Santé, dont les préconisations apparaissent si sages, le Conseil scientifique, dont les conseils avisés ont permis au gouvernement de gérer cette crise avec les résultats que l’on connaît, et, bien sûr, les agences régionales de santé qui sont à la manœuvre au quotidien. Nous serons vaccinés les premiers« .

Pas folles les guêpes ! Petits vieux et vieilles, passez donc les premiers !

IMMUNISER EN MODIFINT L’ADN A DÉJÀ ÉTÉ TENTÉ, CE FUT UN ÉCHEC LAMENTABLE

Et personne ne fait observer qu’une tentative d’immuniser contre une maladie par modification de l’ADN a eu lieu en Chine. Elle fut un échec lamentable.

En novembre 2015, le professeur chinois He Jiankui de l’Université de Shenzen annonçait la naissance de jumelles OHGM (Organisme Humain Génétiquement Modifié) à partir d’ E.G.M.” (embryons génétiquement modifiés) possédant une résistance innée au VIH (Sida).
En 2018, il précisait avoir utilisé la méthode d’édition du génome CRISPR-Cas9 pour introduire des modifications dans l’ADN des bébés.

En 2019, les chercheurs chinois indiquaient qu’un seul des deux embryons avait accepté la mutation. Ils en concluaient alors que cela conférait une résistance complète à l’infection par le VIH, mais rien n’indique que cela soit le cas. « Selon de nouvelles révélations, la procédure n’a pas eu l’effet escompté et a introduit des mutations imprévues » (Le Temps, Suisse). « Le résultat est qu’ils ont généré des mutations inédites, pour lesquelles les effets sont inconnus » (Huffington).

En effet, il aurait fallu que les chercheurs réalisent la même manipulation génétique sur des cellules immunitaires pour savoir si elles sont effectivement devenues résistantes au VIH. Surtout, l’article publié en Chine ne comporte aucune indication d’une telle vérification après la naissance des bébés.
L’acquisition d’une résistance au VIH n’a donc en aucun cas été démontrée.
En outre, les jumelles ont acquis des mutations à d’autres endroits du génome que celui désiré et sont maintenant cachées (les jumelles comme les mutations) par les autorités chinoises, car les chercheurs s’attendent à d’autres éventuelles mauvaises surprises.

C’est exactement le risque que font courir les nouveaux « pseudo-vaccins » qui n’ont toujours pas été testés selon les normes exigées par l’OMS. 

CE N’EST PAS UN VACCIN MAIS UNE MODIFICATION GÉNÉTIQUE

Pfizer, Sanofi, Moderna, AstraZeneca, Sputnik, nous auraient  donc tous menti ? Et, après eux, tous les média, le plus souvent pour promouvoir les pseudo-vaccins ? Oui !
Le vaccin n’existe pas. Les hommes politiques nationaux, régionaux qui organisent des plans de vaccination devraient plutôt annoncer un « Programme de changement de patrimoine génétique ».
Ca risque d’être plus difficile à faire passer !

« On connaît encore très peu de données scientifiques sur les effets secondaires de ces pseudo-vaccins contre le Covid-19. Pour l’instant, les laboratoires ont peu communiqué », dit le  Centre de cancérologie et d’immunologie du CNRS.

« On connaît la liste des effets généraux. Ce sont de la fièvre, de la fatigue, des douleurs musculaires ou articulaires, parfois des frissons », liste Anne-Claude Crémieux, la professeur pourtant habituellement spécialiste à la TV de « Tout va bien Madame la marquise ». Elle ajoute «  leur intensité paraît ici plus importante d’après les premiers résultats« . Donc les effets secondaires « de base » sont déjà plus forts. Ca promet !

La quasi-totalité des effets secondaires surviennent rapidement, dans les 40 jours après l’injection. Or, les délais imposés par les autorités sanitaires sont de 60 jours. Il ne devrait donc pas y avoir trop de surprise de ce côté-là.

Les effets secondaires sont-ils les mêmes pour tout le monde ? « On n’a pas beaucoup de chiffres, quasiment rien par tranche d’âge… Il nous manque encore beaucoup de données ». Donc, on ne sait rien !

Parmi les points d’interrogation, la fréquence des effets secondaires reste encore à déterminer. Un point que les autorités de santé devront éclaircir avant d’autoriser ou non la mise sur le marché des vaccins. Le résultat des phases 3, menées sur un plus grand nombre de patients que les phases précédentes, permettra d’en savoir plus lorsqu’ils seront publiés.
« Il faudra des mois, peut-être des années » dit l’OMS ».
« On commence à vacciner le 15 décembre« , répond Macron.

Moderna et BioNTech/Pfizer. Ces deux pseudo-vaccins sont les plus avancés, ils ont en commun d’être fondés sur une nouvelle technologie vaccinale jamais déployée chez l’être humain : les vaccins à ARN messager (ARNm).
Et c’est sur des petits vieux fragiles qu’on va les tester ? On nage dans l’inconscience !
Ah, j’oubliais, si ces inutiles résiduels crèvent, le gouvernement ne le dit pas, mais il s’en fout. Comme le constate la sage-femme du documentaire Hold Up sur Covid-19 « Hitler parlait plus clairement« .

Le mardi 8 septembre, AstraZeneca annonça un arrêt de leurs essais. Une « maladie potentiellement inexpliquée », sans doute un effet secondaire grave, était apparue chez un volontaire vacciné. Quelques jours plus tard, les autorités donnaient leur feu vert à une reprise des tests, un seul cas sur un faible nombre de testés « n’est pas significatif« . C’est plus ou moins exact statistiquement, mais cela veut dire que l’on risque de découvrir des effets secondaires et imprévisibles graves dans quelques mois ou quelques années, passés sous les radars des tests, comme pour les jumelles du professeur He Jiankui.

Emmanuel Macron a promis que la vaccination ne sera pas obligatoire, mais comme toujours il a oublié de dire si cela donnera lieu ou non à des sanctions. Ce sera inscrit ou non sur le laisser-passer sanitaire qu’il envisage de créer ? Sera-t-il obligatoire pour voyager, pour avoir accès à certains avantages sociaux ? On ne sait pas.

L’Imprécateur
5 décembre 2020

9 Commentaires

  1. Vaccins obligatoires ?? Sûrement pas ..! Les oligarchies pharmaceutiques ont pris la précaution de se décharger des risques éventuels de suites désastreuses auprès de chaque gouvernement .. Donc le vaccin ne sera pas obligatoire !! Mais ce sera tellement contraignant et liberticide , que les 3/4 de la population se feront vacciner « volontairement » croyant retrouver un peu de liberté …et ils seront eux-même responsables des effets secondaires ..Sadiques et vicieux ..mais pas si fous que ça nos gouvernants ..!!

  2. Excusez-moi, mais en tant que biologiste moléculaire professionnel (retraité), je ne peux laisser dire que ce « vaccin » va modifier notre ADN, cad notre génome.

    Ce « vaccin » est en effet constitué d’un ARN messager (ARNm), le fragment d’ARN du virus Sars-Cov-2 qui code pour la protéine spike (les piques sur les vues du virus en microscopie électronique; ce sont elles qui permettent au virus de pénétrer nos cellules en perçant leur enveloppe).

    Cet ARNm ne peut pas modifier l’ADN de nos cellules pour la bonne raison que celles-ci ne contiennent pas de reverse transcriptase (RT).

    Pas plus d’ailleurs que le virus lui-même.

    La RT est une enzyme qui copie l’ARN en ADN.

    Pour bien faire comprendre les choses, permettez-moi de citer un contre-exemple :

    Celui du virus HIV, qui est, comme le Sars-Cov-2, un rétrovirus (virus à ARN).

    À la différence que l’ARN de HIV contient un gène qui, traduit en protéine par notre machinerie cellulaire, produit cette reverse transcriptase.

    L’ARN de HIV peut alors être copié en ADN, et cet ADN peut, une fois transporté dans le noyau cellulaire, s’intégrer dans le génome.

    Ceci est valable pour HIV mais, encore une fois, pas pour le Sars-Cov-2.

    La première étape, dans l’action du nouveau « vaccin », est donc la traduction de son ARNm en protéine spike.

    Dans la seconde étape, c’est cette protéine spike nouvellement synthétisée qui va servir d’antigène pour la production d’anticorps.

    Ces anticorps qui, si tout va bien, devraient protéger le vacciné contre l’infection par le Sars-Cov-2.

     

    Ceci étant dit, ce n’est pas pour autant que je vais, à titre personnel, me faire vacciner.

    Je vois en effet deux dangers potentiels :

    1) En cas de co-infection ou de pré-infection avec un virus tel que HIV, alors la RT de HIV pourrait être utilisée pour intégrer tout ou partie du Sars-Cov-2 dans notre génome.

    Vous me direz que, dans ce cas, le mal est déjà fait.

    2) Un emballement de la réponse immunitaire (anticorps contre la protéine spike) pourrait se produire. Comment doser cette réponse ?

     

    Ce type de vaccin est, notons-le, entièrement nouveau.

    Il introduit une étape supplémentaire par rapport aux vaccins traditionnels qui, eux, partent de la seconde étape décrite plus haut (dans les vaccins traditionnels, on introduit l’antigène dans l’organisme).

    Pour toutes ces raisons, il me paraît plus raisonnable d’attendre, et de voir venir.

    Vacciner les vieux dans les Ephads ? De toute façon, leur espérance de vie étant faible, ils n’auront probablement pas le temps de développer d’éventuels effets secondaires à long terme.

    Vacciner les personnels soignants, plus jeunes, me paraît plus problématique.

    • @AP34 ou Z-6PO peu importe , vous avez l’air d’aimer la me…de inconnue , puisque vous avez l’air de vous y connaitre , merci de laisser votre adresse , nous serons plusieurs millions a vous expédier la  » merde  » a macron , mieux nous serons des millions a vous faire la piqure .Au choix …
      Bien a vous

      • à Claude Germain :
        Vous vous méprenez sur le sens de mon message.
        Même si, a priori, il est impossible pour l’ARNm du « vaccin » de s’intégrer dans notre génome, à cause des autres risques potentiels, au nombre de trois, que j’énumère plus haut, je m’abstiendrai de me faire vacciner.
        J’attendrai au moins un an de voir la suite…
        De toute façon, d’ici là, le virus aura muté (il mute sans cesse: cf. Raoult qui en fait systématiquement la séquence), et le vaccin actuel risque d’être devenu inopérant.
        La question est de savoir à quel endroit de sa séquence il mute, et quelle est la nature (insertion, délétion ou substitution) et l’étendue (en nbre de nucléotides) de la mutation. Est-ce au niveau de la protéine spike?
        Pour tout vous dire, je n’en sais rien.
        Mais Raoult, lui, doit déjà le savoir.
        Z-6PO ? Non, connais pas !

    • Un troisième risque potentiel d’un « vaccin » ARN que j’ai omis de mentionner:
      Celui de développer une maladie auto-immune à long terme.
      Ceci, si des protéines de notre organisme ressemblent peu ou prou à la protéine spike produite par la transcription de l’ARNm du vaccin.

  3. Un « vaccin » conservé à -80°C n’est pas un vaccin mais un agent trans-infectieux. C’est un outil génocidaire. N’oublions jamais le but d’éliminer 80% de la population de la planète…

    Soit-disant que des hommes et femmes politiques se feront vacciner en public. Tu parles, le flacon contiendra du serum phi et ni vu ni connu j’t’embrouille ! Aucun moyen de vérifier sérieusement. Pipeau et Cie !
    A force de jouer aux cons avec les virus, un jour proche, la réalité va dépasser les pires films de fiction d’horreurs. Le cinéma a déjà averti (Je suis une légende, World war Z, Walking dead, etc.). A mon avis, on y va tout droit.

  4. J’ai trouvé sur Internet une image gag où on voit des martiens arrivant sur terre et interrogeant un humain.
    Vous êtes le dernier survivant ?
    Oui, ils ont oublié de me vacciner…

  5. et oui les mort vivant arrivent la science fiction sur le point de se faire doubler ! le soleil vert a déja une longueur d’avance mais pas pour longtemps

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