TOUTE LA MISÈRE DU MONDE… ET PLUS, ENCORE ! (Eric de Verdelhan)

« … Le choix sera bientôt clair entre l’entrée en dhimmitude et le renoncement à la culture multiséculaire des vieilles nations de l’Occident. Une partie l’acceptera… Le deuxième choix sera la remise en question de la philosophie et des impératifs moraux qui ont permis la victoire intellectuelle des « Décoloniaux ». Donc le basculement dans un paradigme de survie identitaire qui répudiera les vieilles lunes idéologiques universalistes. Ce qui passera par l’abandon des « Nuées » comme disait Charles Maurras, donc à la remise en question des modes de pensée nés des révolutions du XVIII° siècle, par un retour aux lois naturelles… »
(Bernard Lugan).

 

 

 

 

 

« La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde ! »
(Michel Rocard).

 

 

Comme je l’ai si souvent écrit, je ne supporte plus – primo – d’entendre des minorités issues de l’immigration nous reprocher de les discriminer et de faire preuve à leur égard d’un suprémacisme blanc ; – secundo – de subir en permanence, la repentance et la veulerie compassionnelle des politiques, des journalistes, des médias, des intellectuels bref, des « élites » autoproclamées qui ne sont, en réalité, que des « collabos » même pas honteux : ces gens là devraient pourtant adopter un profil bas et raser les murs même si, de nos jours, on ne fusille plus les traîtres.

Je voudrais qu’on m’explique la démarche masochiste qui consiste à quitter des « paradis » africains (surtout depuis qu’ils sont indépendants) pour venir vivre dans un pays dont on refuse les lois, les coutumes, les traditions, les mœurs vestimentaires ou alimentaires, et dans lequel on est ghettoïsé, discriminé, tyrannisé, brutalisé et/ou contrôlé « au faciès » par une police qui, à les en croire, serait odieusement raciste (1).

Il est vrai que, pour l’allogène, ce pays épouvantablement xénophobe ne lésine pas sur les allocations, aides diverses et variées, soins gratuits, logements sociaux et autres mannes financières que le « Souchien » n’arrive pas toujours à obtenir, même s’il est sous-smicard.

Ainsi nous serions peu accueillants pour l’immigré, et ceci serait un phénomène récent : le début des années 60, qui marque la fin de notre Empire colonial.  

Mais de qui se moque-t-on ?    

L’inventeur de la « préférence nationale » qui choque tant les bonnes consciences de gauche, ce n’est pas Jean-Marie Le Pen, comme on se plaît à le faire croire, mais… Léon Blum, président du Conseil sous le « Front Populaire »

Dès l’été 1936, Roger Salengro, ministre de l’intérieur, s’écriait :

« Le gouvernement ne saurait tolérer que des étrangers abusent de l’asile qui leur est offert » et Maurice Thorez, premier secrétaire du PCF, clamait, le 28 septembre 1938 : « La France aux Français ! ». De son côté, le bon radical-socialiste Edouard Herriot invitait la France à mettre dehors les « indésirables ».
En 1938, Daladier promulguait une loi permettant d’emprisonner les Français qui aideraient des clandestins. De nos jours, pour avoir aidé des migrants à passer clandestinement la frontière italienne, le pseudo berger-écolo-gaucho Cédric Herrou a été… ovationné au Festival de Cannes, puis relaxé par la justice sous les applaudissements. Notre pauvre pays marche sur la tête !

Le 12 novembre 1938, une loi donnait l’autorisation de « dénaturaliser » (sans intervention d’un juge) tout citoyen d’origine étrangère. L’article 22 stipulait que « pour des actes contraires à l’ordre public… les étrangers perdront leur nationalité ». Retrait qui pouvait s’étendre « à la femme et aux enfants mineurs » (2).
Citons encore, juste pour mémoire, le décret-loi du 3 mai 1938, qui autorisait les préfets à expulser les étrangers, même ceux ayant un permis de séjour.

Donc, les « chances pour la France », qui s’estiment discriminées, stigmatisées, ostracisées, feraient mieux d’arrêter leurs pleurnichailleries victimaires : qu’il apprennent  NOTRE histoire.

NON, la France d’avant-guerre n’a pas été plus tendre, plus complaisante, plus accueillante, avec les « Ruskoffs » blancs, les « Polaks », les « Macaronis » (ou « Ritals ») ou les « Espingouins » qu’avec les Musulmans, mais, à l’époque, les « hussards noirs de la République » comme les curés délivraient aux nouveaux entrants le même message : l’intégration devait passer par l’apprentissage de la langue, le respect des lois, us et coutumes, et l’amour de leur nouvelle patrie.
Même pour les gens de gauche, la France avait des racines chrétiennes et n’entendait pas se voir imposer la charia. 

NON, les Gaulois ne sont absolument pas racistes mais ils veulent défendre leurs valeurs, leurs traditions, leur histoire, bref, ce qui a fait la nation-France : LEUR pays !

De nos jours, la moindre parole peut vous envoyer en Correctionnelle ; on ne peut plus rien dire. Au début des années 80, sous Mitterrand, je résidais près d’une petite bourgade de Saintonge. Il y avait un seul pressing, tenu par un Maghrébin parfaitement intégré qu’on surnommait le « Raton-laveur ». Il nous traitait de « Cagouillards » ou de « Ventrachoux » en rigolant, c’était sans la moindre méchanceté.
Puis le pouvoir socialiste a fomenté en sous-main « SOS-racisme » et quelques dizaines d’officines antiracistes (financées par nos impôts). C’est l’époque ou Delorme, curaillon de gauche officiant aux Minguettes, une banlieue au sud de Lyon, organisait la fameuse « marche des Beurs » jusqu’à Paris. Cette marche avait adopté un slogan aussi idiot que racoleur : « La France c’est comme les mobylettes ; ça marche au mélange ».
Jean-Marie Le Pen, très en verbe, avait rétorqué : « Oui mais au-delà de 4%, ça crache, ça fume et ça s’encrasse ». L’argument est imparable !

Il arrive, c’est vrai, que le Français de souche soit xénophobe (du grec xénos, « étranger », et phobos, « peur ») mais on peut comprendre sa peur. Est-ce de sa faute si (presque) tous les attentats commis sur son sol, ainsi que les massacres perpétrés par Boko-haram, Al Quaïda ou Daech sont des crimes islamistes ? On a beau lui bassiner que l’Islam est une belle religion « de tolérance, d’amour et paix »,  il a du mal à s’en convaincre ; les preuves ne sont pas flagrantes…

Hier, avaient lieu, à Saint-Laurent-sur-Sèvre, les obsèques du père Olivier Maire, assassiné par un Rwandais, clandestin (depuis… neuf ans), et frappé d’une procédure d’expulsion pour avoir incendié la cathédrale de Nantes.
Le gouvernement était représenté par deux tristes sires :

Dard-Malin, ministre des basses polices et Dupont-le-Yéti, ministre de l’injustice : celui qui défend les racailles et reproche aux Français de créer eux-mêmes un « sentiment d’insécurité ».

Ce fait divers tragique a donné du grain à moudre aux médias de gauche (3) car figurez-vous que ce Rwandais est catholique ! Ouf, on respire !  Pour une fois – une fois n’est pas coutume ! – ce n’est pas un crime commis au nom d’Allah.
Ma sagacité, un brin machiavélique, m’amène à noter – primo – que le meurtrier n’est pas un Breton ou un Auvergnat – secundo – qu’il n’avait rien à faire sur le sol français – tertio – qu’un catholique qui incendie une cathédrale et assassine un prêtre c’est assez rare.
Si ce Rwandais avait incendié une mosquée et tué un imam pour venger le père Hamel, on aurait compris son acte, qu’on ne saurait, bien sûr, justifier et encore moins excuser. « L’incitation à la haine raciale ou religieuse » est sévèrement punie par la loi. C’est surtout vrai du Blanc au Noir (ou au Musulman) car les appels à la haine des chanteurs de Rap, eux, ne sont jamais sanctionnés.  

J’ai cru comprendre que le pauvre curé Maire hébergeait le clandestin rwandais, au nom, sans doute, de la charité chrétienne et du message pro-migrants prodigué par Bergoglio, le pontife souverainement pontifiant qui occupe (ou qui squatte ?) le trône de Saint Pierre au Vatican.

Le pauvre prêtre est mort, victime de son humanisme ou de sa naïveté : paix à son âme !    

Ce Rwandais n’avait RIEN à faire en France, et, avant même l’incendie de la cathédrale de Nantes, il aurait du être reconduit manu militari dans son pays.

On me dit que nos lois en matière d’expulsion sont complexes.
Le Maréchal Hubert Lyautey disait : « Lorsque le bon sens et le règlement sont en conflit, c’est le bon sens qui doit l’emporter ».
Et qu’on ne vienne surtout pas me dire que le fait d’expulser ce délinquant devenu criminel s’apparente à du racisme.
La propagande officielle nous serine que « Le racisme n’est pas une opinion, mais un délit », c’est juste pour juguler notre légitime indignation, pour nous faire peur, pour nous faire taire.

Mes écrits ne contiennent pas une once de racisme ou d’islamophobie ; j’ai souvent défendu les Harkis abandonnés par la France ; plusieurs de mes livres rendent hommage à l’Armée d’Afrique et à nos tirailleurs – sénégalais ou maghrébins – ; je n’ai donc pas de leçons d’antiracisme à recevoir, surtout venant de « bobos » de la gauche-caviar qui, pour rien au monde, n’oseraient s’aventurer dans les banlieues de non-droit (4), même pour acheter le dope qu’ils reniflent ; mais ils posent un certain nombre de questions et, entre autres, celles-ci : pour ne pas passer pour raciste ou  islamophobe, doit-on se forcer à aimer des gens qui rejettent nos coutumes, nos traditions, notre mode de vie, nos croyances et, enfin, nos lois ? Doit-on renoncer à nos racines pour se voir imposer celles des nouveaux arrivants ?

Doit-on remplacer notre identité pour laisser place à une société inclusive ? Faut-il apprendre l’Arabe (ou le Wolof) pour se faire comprendre de celui  qui, sur notre sol, refuse d’apprendre le Français ? Sincèrement, je pense que NON,  c’est mon droit le plus strict !

Je ne comprends pas, je ne comprendrai jamais, ce comportement suicidaire et masochiste, cette veulerie servile, et, disons-le, « collaborationniste » à l’égard de ceux qui veulent tuer notre culture et notre identité, voiler nos femmes, nous interdire l’alcool, la charcuterie, la musique,  pour nous imposer la charia.
En terre d’Islam, c’est le Coran qui régente la vie des citoyens, mais, que je sache, nous ne sommes pas (pas encore !) un pays musulman ? Je peux en dire autant de ceux qui nous traitent d’esclavagistes, veulent réécrire notre histoire, nous faire payer notre passé colonial, et déboulonner les statues de nos grands hommes.  

Nos pantins politiques refusent, pour la plupart, de reconnaitre « les racines chrétiennes de l’Europe » mais, n’en déplaise à feu Jacques Chirac, NON la France n’est pas « une grande nation musulmane », enfin, pas tout à fait ! Et elle n’a aucune envie (et aucun besoin) de devenir une colonie de peuplement de ses anciens colonisés.
D’ailleurs, pourquoi devrions-nous accueillir « toute la misère du monde » ? Si ces pauvres gens sont si malheureux chez nous, dans ce pays peuplé de racistes au front bas, qu’ils retournent dans leur brousse ou leur bled.
Commençons par supprimer la double nationalité, le Jus Solis, (ce « droit du sol » qui voudrait nous faire croire qu’un âne né dans une étable est une vache), et le regroupement familial que l’on doit au calamiteux tandem Giscard-Chirac (5).

En 2022, je ne sais pas encore pour qui je voterai mais si un candidat crédible met ces trois priorités à son programme, il aura assurément ma voix.         

Eric de Verdelhan
18 août 2021

 

 

 

 

1)- En France il y a plus de flics et de gendarmes blessés par des allogènes que de bavures policières.

2)- Aujourd’hui,  on accorde l’asile à des « mineurs isolés » qui ne sont ni mineurs ni isolés.

3)- Selon un sondage ancien (2002), 92% de journalistes déclarent être de gauche ou « avoir une sensibilité de gauche », et on ose encore parler de « pluralité de l’information ».

4)- Quand j’étais encore en activité j’ai souvent eu l’occasion d’aller dans les « territoires perdus de la république » à Marseille, Nice ou Roubaix, je sais donc de quoi je parle !

5)- Sur la fin de leur vie, les deux ont reconnu que le regroupement familial était une grave erreur.

            

3 Commentaires

  1. Les Français sont malheureusement anesthésiés par l’extraordinaire machine de propagande qui va des chaînes d’information à la simple publicité qui accrédite que la société d’avenir sera dominée par les envahisseurs africains et arabo-musulmans.On assiste donc à un authentique génocide de la population française de souche ! Le danger est tellement important qu’il faut lutter par tous les moyens contre notre disparition programmée et pour le retour des populations hétérogènes dans leur pays d’origine associée à un arrêt de l’immigration et du droit du sol !

    • N’est-il pas envisageable de faire machine arrière? Il y a bien des lois votées abrogées car à l’usage elles se révélaient mauvaises voire inapplicables? Là il y aurait du ménage à faire sans états d’âme. Vue de l’étranger la France est bien malade et il semble bien que ce soit de sa faute!

  2. Les dhimmis, les bobos gauchos, les bisounours, les collabos sont sans doute majoritaires mais c’est le ventre mou de la France…. La democratie n’etant plus la solution a nos problemes puisque c’est nous soumettre a une demission collective, il appartient a une minorite active de prendre les choses en main, il n’y a pas d’autre solution et tout le reste n’est que blabla sterile. Et oui, nous en sommes la !

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