MYTHES CLIMATIQUES ET HAUSSES D’IMPÔTS (L’Imprécateur)

Les mythes climatiques financés à coups de milliards d’impôts sous la pression des écolos s’effondrent un à un. Le gouvernement et le président font tout pour les maintenir avec l’aide servile de leur presse financée par les subventions, donc d’autres impôts.

Le réchauffement de 1°C en un siècle est stabilisé depuis vingt ans. Les prédicateurs, dopés à la drogue Greta Thunberg, annonçaient une poussée de réchauffement de 5 à 6°C pour 2050 à cause du CO2, mais la réalité est que le réchauffement moyen est stabilisé, malgré de petites pointes annuelles comme en 1998, 2010 et 2015.
Ils ont donc révisé leur prévision à la baisse : entre 0,5 et 2 degrés.


Et surtout, il a décroché du CO2 depuis plus de vingt ans, justifiant les scientifiques sérieux expliquant que ce n’est pas le CO2 qui crée le réchauffement, mais le réchauffement qui accroit la production de CO2 des océans, incomparablement plus importante que la production d’origine anthropique.
De même que le soleil, réchauffant le matin l’atmosphère de tout un pays de 20°C en trois heures, est incomparablement plus puissant que n’importe quel réchauffement industriel.

Les mesures prises pour la neutralité carbone à grands coups de milliards d’impôts sont des coups d’épée dans l’eau.

LES MESURES ÉCOLOGIQUES FRANÇAISES NE PÈSENT RIEN

Quant aux mesures prises par la France, dont les émissions de carbone sont moins de 1% de la production mondiale de CO2, que pèsent-elles à côté des 16% de la Chine qui ouvre une centrale à charbon par semaine ?

La Chine a auprès des écologistes la réputation d’être à la pointe de l’écologie ! Mais les panneaux solaires, éoliennes, batteries et voitures électriques produites en Chine le sont essentiellement pour l’exportation et sont la cause d’une pollution considérable en raison des métaux et terres rares qu’ils contiennent.

Ceux-ci nécessitent pour la plupart l’extraction de plusieurs tonnes de terre ou de roches qu’il faut traiter avec des acides et autres produits chimiques pour obtenir quelques dizaines de grammes du métal recherché. Comme il faut le transformer en alliage pour qu’il soit utilisable, cela génère des tonnes de CO2 qui partent ans l’atmosphère. Et comme les Chinois rejettent les acides n’importe où, le désert de Gobi en Mandchourie est devenu un enfer de pollution pour ses habitants dont l’espérance de vie a chuté d’une dizaine d’années, souffrent de cancers et leurs enfants de malformations.

À cela il faut ajouter les dégâts humains et sociaux, la pollution au CO2 et environnementale dans les pays d’où viennent les minerais, nickel, cuivre, cobalt, europium, neobium, etc.

Si l’on imputait toutes cette pollution et ces souffrances « externes » aux produits importés de Chine, les importations cesseraient, une industrie aux normes plus strictes pourrait produire localement en créant des emplois, probablement un peu plus cher en raison des salaires et charges sociales, mais réellement au bénéfice de la planète.

L’écologie occidentale augmente la pollution de la planète, mais comme elle baisse un petit peu en France, ils sont contents et en demandent toujours plus. Et comme cela permet de créer des contraintes sociales et des impôts supplémentaires, le gouvernement est preneur

OCÉANS, CHINE ET INDUSTRIE VERTE PRODUISENT DU CO2

Le principal producteur de CO2 est le monde océanique réchauffé par la fin de la période interglaciaire dans laquelle nous vivons depuis 12 000 ans.

Si dans la courbe ci-dessus le taux de CO2 continue de monter, la Chine et sa production de matériels pour la politique « verte » occidentale en est pour une petite partie responsable, l’autre partie étant due aux mauvais choix des autorités vertes et rouges en Occident.

Le choix de l’électricité comme principale source d’énergie est une bonne chose, mais le choix des Énergies Renouvelables comme moyen de produire cette électricité est une erreur évidente.

Les centrales solaires déjà très polluantes, mais ailleurs, au moment de leur production, le sont encore, mais localement, au moment de leur installation.

Elles nécessitent des centaines d’hectares plats, autant de surfaces ôtées à une agriculture potentielle, ou à un désert ou zone verte aux surfaces essentielles pour la biodiversité.

La technique de recyclage des panneaux solaires et des pales d’éoliennes, obsolètes en une vingtaine d’années, est loin être au point. C’est comme si l’on voulait recycler un morceau de pain en séparant l’eau, la levure et la farine. Théoriquement c’est possible, mais à un tel coût qu’il vaut mieux leur trouver d’autres usages. En attendant, panneaux et pales sont stockés dans des décharges et l’on devrait obliger les écolos à les visiter.

Même problème avec les centrales éoliennes, elles aussi très polluantes au moment de leur fabrication, et encore au moment de leur installation.

Elles nécessitent de 1500 à 2 500 tonnes de béton pour leur ancrage dans le sol à terre. En mer ce sont des flotteurs, des câbles et des blocs de béton.

En cas de démontage, pratiquement rien n’est recyclable et tout le béton reste en place. De plus, elles sont nocives par leurs infrasons pour l’Homme et les animaux et font des dégâts irréparables dans la faune aviaire, chez les rapaces principalement.

La production réelle d’énergie est ridicule en rapport avec la production théorique, que ce soit pour le solaire qui ne produit que les jours ensoleillés, ou l’éolien qui demande une fourchette de vitesse de vent précise acquise seulement pendant en moyenne 30 % du temps.

Et leur irrégularité nécessite la construction de centrales annexes, fonctionnant aux combustibles fossiles, principalement en Europe le gaz russe. La meilleure solution serait le nucléaire, sûr, peu coûteux et décarboné, mais l’idéologie régressive des écologistes s’y oppose avec acharnement par ignorance de ce qu’est le nucléaire.

GOUVERNEMENTS ET GIEC SONT RÉCHAUFFISTES PAR DOGMATISME POLITIQUE

Le GIEC a été créé par l’ONU à la demande des gouvernements et sur une idée de Margareth Thatcher pour analyser les conséquences d’un éventuel réchauffement climatique. Thatcher s’en était servi pour justifier la fermeture des mines de charbon anglaises de plus en plus coûteuses et mettre fin à une interminable grève des mineurs. Le succès de son entreprise donna des idées aux autres gouvernements pour justifier des lois vertes, des mesures vertes de coercition des peuples et des taxes et impôts verts.

« Pour le mieux-être de l’Humanité et de la Planète » est un argument difficile à contrer même s’il est utilisé en détournant la réalité climatique.

À la demande des gouvernements, le GIEC compile des milliers d’études scientifiques souvent orientées « réchauffement » par des subventions. Il ne cache pas la réalité d’une stagnation du réchauffement mais met en avant tous les indices qui pourraient faire croire à un réchauffement imminent et violent. La presse n’a plus qu’à piocher dans les arguments réchauffistes en oubliant les autres pour berner le peuple souvent trop paresseux pour aller chercher une information authentique ailleurs.

Les services météorologiques ont vu leurs budgets multipliés par sept en quelques années, le réchauffement est rentable ! Ils occultent les périodes très froides ou les attribuent à un dérèglement climatique causé par l’hypothétique réchauffement, dérèglement qui est en réalité un phénomène permanent depuis des millénaires.

LES PÉRIODES PLUS CHAUDES ONT ÉTÉ BÉNÉFIQUES POUR L’HUMANITÉ

Même s’il y avait réchauffement avéré, il faut savoir que les périodes chaudes ont toujours été bénéfiques pour l’Humanité.

Au temps des dinosaures, la température moyenne du globe était plus chaude de 5 à 12°C selon les lieux. Au centre de l’unique continent de l’époque la température pouvait le matin passer de 0 à 40°C en deux ou trois heures et les reptiles s’y adaptaient avec des « voiles (ou crêtes) thermorégulatrices ». La nature a toujours su s’adapter aux températures, comme actuellement ce lapin de Laponie qui, vivant sur la neige et la glace l’hiver, a une fourrure très noire pour capter la chaleur du moindre rayon de soleil, même par -40°C.

Dimetrodons à voiles                           Lapin lapon et son épaisse fourrure noire

L’arctique n’avait pas de glaces, ou très réduites en hiver ; l’antarctique non plus, excepté dans les zones d’altitude, il était recouvert de forêts ressemblant aux forêts actuelles dans l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande, fougères géantes et forêts de mousses humides.

Le taux de CO2 dans l’air était quatre fois plus élevé qu’aujourd’hui et plantes géantes comme reptiles géants se portaient fort bien… comme le montre aujourd’hui la densification et le verdissement de la nature grâce au CO2 qui la nourrit, avec certes un risque d’incendie plus grand par temps sec, mais le rapport bénéfice/risque reste très favorable.

Pour s’en tenir aux deux mille dernières années, le livre de Le Roy-Ladurie Histoire du Climat est instructif.

La fin de l’empire romain fut plus chaude qu’actuellement.

Suivit une période froide et la population française stagna, avec des famines touchant 9 millions d’habitants jusqu’au 9ème siècle.

Nouveau réchauffement, avec des températures de 3 à 5°C plus chaudes qu’aujourd’hui, du 11ème au 13ème siècle. La Sarthe, la Seine et le Rhin sont presqu’à sec l’été, des oliviers poussent en Normandie et de la vigne en Angleterre. La population française mais aussi européenne est mieux nourrie et moins malade grâce à la chaleur doublée en trois siècles.

Nouveau refroidissement à partir du 15ème siècle, hivers glacials, lacs et rivières gèlent, le Rhin et la Seine peuvent être traversés sur la glace, dans les Alpes, les glaciers descendent les vallées et recouvrent des villages entiers ; les étés sont froids et humides, les récoltes mauvaises, des famines sont de plus en plus fréquentes surviennent à partir du début du 17ème siècle et les révoltes commencent qui aboutiront à 1789.

Nouveau réchauffement à partir du début du 19ème siècle. Nous y sommes encore, mais les hivers glacials sont de plus en plus nombreux.

<= Hiver 2019 en Algérie (en 2020 il a neigé au Brésil)

Quand le léger réchauffement global actuel se terminera t-il pour revenir en période glaciaire est difficile à prévoir, mais l’extrémisme écologiste climatique actuel, dû à une ignorance totale de l’histoire du climat est nocif pour la Planète et l’Humanité.

En vérité, les prétendus écologistes veulent tout changer pour créer un homme nouveau, plus rare, sobre et pauvre, le rêve de tous les systèmes socialo-communistes totalitaires.

Et quoi de mieux pour obtenir ce résultat que d’assommer, étouffer le peuple d’impôts verts ?

Écologistes et gouvernements n’arrivent pas à comprendre que nature, animaux, plantes et humains ont toujours su s’adapter en fonction du climat et que s’adapter coûte beaucoup moins cher que lutter contre, en vain, ou pour des résultats onéreux et dérisoires, comme c’est le cas actuellement.

L’Imprécateur
25 août 2021

4 Commentaires

  1. Il n’y a pas de rechauffement climatique. Il y a eu un basculement de l’axe des pôles, comme celà s’est déjà produit plusieurs fois dans l’histoire de la planète. Donc grosso-modo, le pôle nord est plus exposé au soleil et le pôle sud bien moins. l’Antartique se charge de glace et les glaciers d’Argentine et de la Cordilière des Andes se portent très bien et augmentent. Nous avons donc un changement de cyles naturel, et le CO2 produit par l’homme c’est peanuts.

  2. Cause ou conséquence ? Les écolos dingos nous expliquent que la courbe du taux de CO2 dans l’atmosphère est exactement superposable à la courbe de l’augmentation de température. On obtient la même similitude entre la courbe des précipitations et celle du niveau de l’eau dans les rivières. De là à en déduire qu’il faut faire baisser le niveau d’eau des rivières pour qu’il pleuve moins………

  3. Une réflexion :
    J’invite les lecteurs à faire une petite expérience facile. Au moyen d’une mappemonde ou, plus facile avec l’ordinateur sur Google Earth.
    Positionnez-vous au milieu du Pacifique en faisant tourner la terre. Que voyez-vous ? RIEN, rien que de l’eau.
    On peut conclure avec une approximation acceptable que la moitié de la terre est quasiment vide d’occupants (les habitants des iles du Pacifique me pardonneront, je ne les tiens pas pour négligeables mais leur proportion des 7 milliards d’habitants est infime).
    Je signale donc que les nombreux calculs élaborés concernant l’abominable réchauffement du aux diésels des Français est sans valeur pour la moitié de la terre.
    Que ce passe -t-il donc de ce côté idyllique ? Le CO2 n’y va pas, l’océan ne chauffe pas ?
    A moins que du côté obscur dirigé par les réchauffistes on se paie notre fiole !
    Qui sait ?

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