NON, LE CO2 N’EST PAS UN POISON POLLUANT ! ( Pierre Malak)

Cette article est déjà paru chez notre confrère Riposte Laïque.

Il vient compléter l’article LES ÉCOLOS RESPONSABLES DES INCENDIES DES FORÊTS ?

paru le 31 juillet 2023 sur notre site. 

 

Comment réduire les émissions de CO2 de ma maison ?

 

Malgré les nombreuses campagnes de désinformation menées par le GIEC et certaines ONG écologistes – voir escrologistes –, le CO2 est une des molécules les plus importantes de la vie. Sans CO2 la vie sur Terre serait pratiquement stérile.

Le CO2 c’est la nourriture de base des plantes. La photosynthèse permet aux plantes de prospérer, car elles utilisent la lumière du soleil et le CO2 pour fabriquer des sucres, de la cellulose et de l’amidon. Sans CO2, pas de plantes, donc pas d’herbivores, pas de carnivores, pas d’humains.

Les cultivateurs savent que la quantité de CO2 à l’intérieur d’une serre est de près de trois fois plus (1100 à 1200 ppm) que celle présente dans l’atmosphère, qui est d’environ 410 ppm. Dans ces conditions, les végétaux poussent plus vite, sont plus robustes et exigent moins d’eau.

 

Ces propriétés expliquent pourquoi depuis plus de 30 ans on observe un verdissement de la planète.  Il y a 20 % de verdure en plus sur Terre aujourd’hui qu’il y a trente ans. L’un des résultats les plus visibles de ces conditions favorables à la croissance des plantes est le recul de certains déserts, l’autre est l’augmentation constante de la production mondiale de céréales pour lesquelles une hausse du taux de CO2 atmosphérique est un formidable atout. Une bonne claque à ceux qui veulent diminuer la quantité de CO2 présent dans l’atmosphère.

Pour vivre, la plupart des animaux ont besoin d’oxygène. Celui-ci est produit par les arbres, les végétaux et surtout par le phytoplancton. Ces microscopiques organismes marins utilisent la lumière du soleil et le CO2 pour se nourrir et rejettent d’importantes quantités d’oxygène. Plus de 75 % de l’oxygène provient du phytoplancton ; donc du CO2 qu’ils absorbent !

Malgré toutes ces qualités vitales à notre survie, le CO2 est devenu la bête noire des alarmistes du GIEC et des ONG environnementalistes qui l’accusent d’être responsable de l’augmentation de la température sur Terre.

De nombreux scientifiques ont démontré que la quantité de CO2 dans l’air était plus importante il y a fort longtemps et que nos plantes souffrent d’un manque de ce CO2.

Si le CO2 produit par l’homme était vraiment le responsable exclusif d’un réchauffement climatique, alors comment expliquer qu’il y a environ 1 000 ans, le Groenland connaissait des conditions climatiques plus douces qu’aujourd’hui. Pendant cette période, qui s’étend approximativement du Xe au XIVe siècle, les températures y étaient plus élevées, ce qui a permis aux régions côtières du Groenland de posséder une végétation abondante. Les Vikings y pratiquaient agriculture et élevage. À cette époque, chaude, selon les données tirées de carottes de glace, le taux de CO2 était d’environ 280 ppm (parties par million), bien avant que les activités humaines ne commencent à libérer des quantités importantes de CO2 dans l’atmosphère, actuellement de 410 ppm.

Ensuite, le climat du Groenland est devenu progressivement plus froid. Il est entré dans une période glaciaire, telle que nous la connaissons aujourd’hui, alors que le taux de CO2 ne cessait de croître.

Et c’est bien là, le paradoxe ! Car comment expliquer qu’avec un taux de CO2 autrefois nettement plus bas, le Groenland connaissait un climat beaucoup plus chaud ? Et qu’aujourd’hui un taux de CO2 à un niveau supérieur, son climat est devenu glacial ?

Ceci nous démontre qu’il n’y pas de corrélation constante entre le taux de CO2 et la montée des températures et, comme le démontre cet exemple, cela peut être même exactement le contraire !

À l’époque des dinosaures, au Crétacé, la température moyenne mondiale était plus élevée de 4 à 8 degrés qu’aujourd’hui. À cette époque, les estimations du taux de CO2 atmosphérique montrent qu’il était plus élevé qu’aujourd’hui. Ces estimations démontrent que les niveaux de CO2 pouvaient atteindre plusieurs milliers de parties par million (ppm). Ce qui contraste fortement avec les niveaux actuels qui ne sont que d’environ 410 ppm. La végétation, à cette époque, était luxuriante, car dopée par l’abondance du CO2. Pour mémoire, à cette époque, l’homme n’existait même pas ; alors les « industries polluantes au CO2 »…

Notons que ces estimations sont basées sur des analyses de carottes de glace et de données géologiques et d’autres méthodes scientifiques. Les climats passés fournissent un contexte important pour comprendre les changements climatiques actuels et futurs.

Comme le disait l’illustre physicien R. Feynman : 

« Lorsque votre théorie, aussi belle et géniale soit-elle, est invalidée par l’expérience, c’est qu’elle est fausse. Il faut s’en débarrasser et en formuler une meilleure. »

 Ainsi, exit la théorie du GIEC sur le CO2.

Toutefois, qu’est-ce qui motive ces organismes manipulateurs à accuser le CO2 de tous les maux de notre planète ? Pourquoi ces organismes veulent-ils, de manière forcenée, imposer une réduction du taux de CO2 ?

La raison est double, elle est politique et financière.

  • Elle est politique parce que de nombreuses organisations ont trouvé dans cette lutte une motivation à l’établissement de la gouvernance mondiale. Elles s’y préparent depuis plusieurs générations. Parce que le CO2 est un problème mondial, il ne peut être résolu que par une action mondiale et, qui mieux qu’un gouvernement mondial tyrannique pourrait y arriver ?
  • Financière, parce que la plus formidable arnaque de tous les temps consiste à prétendre à un développement durable et pour y arriver, la marche forcenée vers les énergies dites « renouvelables ».

Cette crainte, soigneusement entretenue, permet aux gouvernements de créer des impôts « verts », de financer des éoliennes inutiles et d’investir dans des énergies renouvelables aussi ridicules que superflues. Il s’agit de l’arnaque du siècle…

Notons encore, pour mémoire, que le CO2 possède une densité plus forte que celle de l’air ambiant. La densité moyenne de l’air est d’environ 1,225 kg par mètre cube et, à des conditions normales de température et de pression, la densité du CO2 est d’environ 1,977 kg par mètre cube. Donc, le CO2 ne monte pas vers le ciel, mais descend vers les vallées, où il piège le rayonnement infrarouge provenant de la Terre chauffée par le Soleil

Pierre Malak

13/8/2023 

 

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7 Commentaires

  1. Quelle sale époque que celle que nous traversons ! Après “Omar m’a TUER, nous avons eu “Le covid m’a tuer”, avec un gouvernement et ses experts criminels. Aujourd’hui c’est au tour de “Le CO2 m’a tuer”. Alors, Vive le CO2 et Claude ALLEGRE !
    AMEN

  2. Il est très difficile de faire comprendre aux gens ces informations pourtant si simples.. La propagande journalière, comme pour le Covid, finit par transformer les mensonges en vérité.. Comment un petit “complotiste’ pourrait-il avoir raison contre les experts de plateaux.. Quelquefois le fait de démontrer qu’il n’y a pas de débat télévisuel entre les “réchauffistes” et les climato-sceptiques, fait se déchirer le voile de “l’escrologie”..

  3. Le CO2 est la chimère des escrologistes. Mais on ne combat pas assez cette engeance à coup de bâton. Pourtant ça leur remettrait les idées en place dans leur p’tit crâne de piaf.