« FOUTRIQUET » VEUT LA GUERRE ! (Éric de Verdelhan)

 

 

Depuis des mois, je n’ai plus rien écrit sur l’Ukraine. Pour être franc, j’en avais un peu marre de me faire traiter de « poutinolâtre », de « munichois » voire de « collabo » chaque fois que j’osais dire que cette guerre ne devrait pas nous concerner, et ce pour trois raisons qui me semblaient pourtant simples à comprendre. Primo : l’Ukraine n’est ni membre de l’OTAN, ni membre de l’UE. Ce pays est un État mafieux et un laboratoire pour les Américains. Secundo : depuis 1991, nos intérêts –  en terme de realpolitik et non de moraline bienpensante – aurait dû nous rapprocher de la Russie (ET, accessoirement, de l’Ukraine). Tertio : notre Armée est réduite à une peau de chagrin ; elle est « à l’os » comme disait le général de Villiers et l’Armée européenne est un leurre, un mythe, un rêve éveillé, gobé par les seuls européistes forcenés. Personne de sérieux n’y croit vraiment. 

Je n’ai rien écrit sur ce conflit, et puis… je suis tombé malade. Cloué au lit durant trois jours, j’ai tué le temps en lisant (ou relisant), entre autres, des livres sur nos guerres passées. Et j’ai écouté les discours de va-t-en-guerre de l’illuminé – ou du malade mental ? – qui nous tient lieu de président de la République. Ce type qui n’a même pas fait son Service Militaire et qui ne connaît RIEN au métier des armes nous a parlé de… lâcheté. Lui, il incarne le courage avec des envolées churchilliennes.

Si j’ai bien compris, il voudrait recréer la LVF (1) ou la « Division Charlemagne ». Comme tous les gamins qui aiment jouer à la guerre, il s’imagine déjà à la tête de ses troupes, moulé dans sa combinaison d’aviateur, avec le grade d’« Obersturmbannführer », encouragé, admiré et dévoré du regard par sa Madelon sous les traits – ridés ! – d’Ursula von der La Hyène.

Je plaisante mais il n’y a pas lieu de le faire car l’heure est grave, très grave ! 

J’ai lu récemment « D’un armistice à l’autre » d’Alain du Beaudiez (2), ouvrage remarquable qui dissèque et explique cette période entre deux conflits mondiaux où les naïfs, les pacifistes et les imbéciles pensaient que la « Société des Nations », ancêtre de l’ONU, les mettaient à tout jamais à l’abri d’un risque de conflit généralisé.  On connaît la suite, elle a été tragique. Le Première Guerre Mondiale avait fait 18 millions de morts, la suivante en fera 50 millions. Je n’ose pas imaginer le bilan en vies humaines de la Troisième. Ne perdons pas de vue que les bombes atomiques d’Hiroshima et Nagasaki étaient des pétards de carnaval comparativement aux arsenaux nucléaires des éventuels belligérants. Oui, nous sommes en droit d’avoir peur, et ce n’est pas faire preuve de lâcheté que d’oser le dire. D’ailleurs, un certain nombre de dirigeants occidentaux ont (enfin !) compris ça !

Juste avant l’invasion de l’Ukraine, Macron, qui a besoin d’exister et d’être le premier de la classe, est allé se faire ridiculiser par Poutine. Nous avons encore en mémoire cette très longue table avec l’ogre russe à un bout et l’avorton français à l’autre. Mais, à cette époque, nous n’étions pas « en guerre » contre Moscou. Puis, à l’approche des élections européennes, brusque changement de pied. Pour Macron, Vladimir Poutine est le mal absolu, et nous sommes, nous, le camp des justes. D’après lui, cette guerre, dont Poutine est le seul responsable, menace nos frontières. Quelques généraux qui généralement ont fait leurs campagnes autour d’un bac à sable et/ou sur des plateaux télé, abondent dans ce sens et nous parlent eux aussi de lâcheté. On se garde bien de nous rappeler les 30 années d’humiliation et de mépris à l’égard de la Russie, écartée de l’Europe. Il faut croire que ces gens-là n’ont toujours pas compris que c’est l’humiliation du Traité de Versailles qui est (en partie) responsable de la naissance du III° Reich. On a oublié les promesses faites à Gorbatchev de ne pas élargir l’OTAN à l’Est. Oubliée aussi la violation de la souveraineté de la Serbie bombardée par l’OTAN. Oublié le dépeçage de ce pays en l’amputant du Kosovo. Oublié le refus de Kiev de respecter les Accords de Minsk sur l’autonomie du Donbass. Nous savons depuis, par Angela Merkel et François Hollande, que les Accords de Minsk étaient une arnaque, une ruse grossière, « pour laisser le temps à l’Ukraine de se réarmer ». On a oublié aussi, semble-t-il, les bombardements commis contre les populations pro-russes et les crimes de la sulfureuse « Brigade Azov »

Ukraine: Le bataillon Azov néonazi tente de changer son image - World Socialist Web Site

Je pourrais continuer longtemps mais on me reprocherait encore d’être « poutinolâtre », or j’essaie simplement d’être objectif et de faire preuve d’un minimum d’honnêteté intellectuelle, un point c’est tout ! Et, de grâce, qu’on ne vienne pas qualifier ma position d’« esprit munichois », ce poncif qui tourne en boucle dans les médias. Rappelons aux ignares qui pérorent sur le sujet que les Accords de Munich, signés entre l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni et l’Italie (représentés par Hitler, Daladier, Chamberlain et Mussolini), le 30 septembre 1938, étaient un lâchage pur et simple de la Tchécoslovaquie avec laquelle nous avions un traité d’alliance.  La France de Daladier était à la veille d’élections, situation peu favorable à une opération militaire d’envergure, et ne souhaitait pas entrer en guerre sans avoir le Royaume-Uni à ses côtés. La France a donc abandonné lâchement la Tchécoslovaquie. Léon Blum, favorable aux Accords, se disait « partagé entre un lâche soulagement et la honte ». Et Winston Churchill a eu cette magnifique envolée :

« Vous avez préféré le déshonneur à la guerre ; vous aurez le déshonneur ET la guerre ! »

C’est cela « l’esprit munichois » : le non-respect honteux d’un traité d’alliance. Demandez-vous pourquoi Emmanuel Macron veut engager la France dans des accords avec l’Ukraine pour une durée de dix ans ? Qu’y a-t-il exactement dans ces accords ou plus exactement derrière ces accords ? Je ne sais pas comment tout ceci finira ?

Ce conflit, qui a débuté réellement en 2014 sans que cela émeuve l’OTAN, se joue entre deux nations aux histoires intimement liées. Un rappel historique s’impose : L’Ukraine a été baptisée en 1187 d’après un mot slave qui veut dire « frontière ». Elle s’étire aux marges du monde russe, dont elle a été le berceau, à la jonction entre le monde orthodoxe et le monde catholique.

À partir du XVI° siècle, beaucoup de paysans ukrainiens s’enfuyaient vers le Sud, au-delà des cataractes du Dniepr, et créaient des communautés indépendantes, les « Cosaques undefinedzaporogues » (qui signifie : « hommes libres d’au-delà des rapides »). En 1654, las d’être harcelés par les Polonais, ils se plaçaient sous la protection du Tsar de Moscou. Il s’en suivra une longue guerre entre la Russie et la Pologne qui se terminera par le Traité d’Androussovo, le 31 janvier 1667. La Russie des Romanov récupère la rive orientale du Dniepr. Vingt ans plus tard, Kiev et Smolensk passent à leur tour à la Russie. Dans l’esprit du Tsar, l’Ukraine est terre russe et n’a droit à aucun statut particulier. Ainsi le métropolite de Kiev, chef de l’Église orthodoxe ukrainienne, est placé sous l’autorité du patriarcat de Moscou. Mais les Cosaques et autres Ukrainiens supportent mal le joug russe.

Quand Pierre le Grand entre en guerre avec le Roi de Suède Charles XII, le nouveau chef des Cosaques, Ivan Mazeppa, se vend à la Suède. Et Charles XII, désireux de soutenir son providentiel allié, décide de le rejoindre avec son armée au lieu de marcher sur Moscou. Il met le siège devant Poltava mais en est délogé par les Russes le 8 juillet 1709. Charles XII et Mazeppa n’ont plus d’autre choix que de demander asile à la Turquie. C’en est fini, pour deux siècles, des espoirs d’indépendance ukrainienne. La reconquête de l’Ukraine par Moscou est complétée à la faveur des deux premiers partages de la Pologne, en 1772 et en 1793. Ils font passer l’ensemble du territoire ukrainien, mais aussi la Biélorussie, sous l’autorité du Tsar. En 1876, la Russie interdit la langue ukrainienne dans les écoles, et la limite aux journaux et la littérature. De grandes villes sont fondées comme Odessa, Ekaterinoslav, Sébastopol, etc… Après la Révolution de 1917, l’Ukraine est brièvement indépendante jusqu’en 1920. Le 30 décembre 1922, l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) naît du Traité qui réunit la Russie, la Biélorussie, l’Ukraine et la Transcaucasie.

Quand Staline déclenche sa révolution industrielle, à la fin des années 1920, l’Ukraine devient l’une des sources indispensables de son financement. Mais il ne ménage pas les efforts pour réprimer le moindre signe d’un réveil nationaliste ukrainien, interprété comme un rejet du pouvoir bolchevik et une menace pour l’intégrité de l’URSS. Des exécutions et des déportations d’Ukrainiens, accusés de nationalisme, sont organisées durant les purges staliniennes de 1937-1939 : plusieurs millions d’Ukrainiens sont exécutés ou envoyés dans les camps de travail soviétiques. 

À l’été 1941, l’Ukraine est envahie par les troupes allemandes. À leur arrivée, les Allemands sont reçus en libérateurs par une partie des Ukrainiens. Mais, au fur et à mesure de leur progression vers l’Est, en raison des mauvais traitements infligés à la population, les Allemands rencontrent une forte résistance, laquelle va perdurer jusqu’au retour des Soviétiques en 1944.

Cérémonie de la création de

la 14eme division « Galicie » de la Waffen SS a Lviv

Cependant de nombreux Ukrainiens vont collaborer avec les Nazis. Le 28 avril 1943, le haut commandement de la Wehrmacht annonce la création de la Division SS « Galicie » constituée de volontaires ukrainiens. Plus de 220 000 Ukrainiens se sont engagés aux côtés des Allemands durant la Seconde Guerre Mondiale pour combattre le Communisme.  En 1944, l’Armée Rouge libère la plus grande partie de l’Ukraine. À la fin du conflit, le bilan des pertes ukrainiennes est de 8 millions de morts (dont 1,4 million de militaires).

En 1954, le 1er secrétaire du Parti Communiste d’Union Soviétique, Nikita Khrouchtchev, natif d’Ukraine, transfère la péninsule de Crimée à la République Soviétique Socialiste d’Ukraine. L’Ukraine est alors considérée comme un modèle au sein des Républiques Soviétiques. Brejnev, qui a dirigé l’URSS pendant 18 ans (de 1964 à 1982), est d’origine ukrainienne, comme Nikita Khrouchtchev.

Puis, en 1989, le Bloc de l’Est se fissure et finit par s’effondrer.

Le 16 juillet 1990, le Parlement ukrainien adopte la déclaration sur la souveraineté politique de la République d’Ukraine. C’est le premier pas vers l’indépendance complète du pays. Celle-ci est proclamée le 24 août 1991 (et confirmée par le référendum du 1er décembre 1991). Le 8 décembre 1991, la dislocation de l’URSS est actée par les Accords de Minsk, signés par les dirigeants russe, ukrainien et biélorusse.

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Avec ce bref survol, je veux simplement rappeler que les relations parfois difficiles entre l’Ukraine et la Russie ne datent pas d’hier. Quand ces deux peuples sont entrés en conflit, il eût été raisonnable de ne pas nous en mêler car nous n’étions pas concernés.

Dans plusieurs écrits, Alexandre Soljenitsyne, qui fut le plus célèbre dissident de l’ex-URSS dans les années 1970 et 1980, a évoqué la relation complexe entre la Russie et l’Ukraine.

Je vous livre quelques extraits de son livre « Comment réaménager notre Russie ? » (3).

« Je suis moi-même à moitié ukrainien et c’est entouré des sons de la langue ukrainienne que j’ai commencé à grandir. Quant à la douloureuse Russie Blanche, j’y ai passé une grande partie de mes années de front et j’ai conçu un amour poignant pour la pauvreté mélancolique de sa terre et la douceur de son peuple. Ce n’est donc pas de l’extérieur que je m’adresse aux uns et aux autres, mais comme l’un des leurs. Notre peuple n’a été, du reste, séparé en trois branches que par le terrible malheur de l’invasion mongole et de la colonisation polonaise. C’est une imposture de fabrication récente qui fait remonter presque jusqu’au IX° siècle l’existence d’un peuple ukrainien distinct, parlant une langue différente du russe. Nous sommes tous issus de la précieuse ville de Kiev « d’où la terre russe tire son origine », comme le dit la Chronique de Nestor, et d’où nous est venue la lumière du christianisme. Ce sont les mêmes princes qui nous ont gouvernés…C’est le peuple de la « Rous » deKiev qui a créé l’État de Moscovie…J’ai déjà eu l’occasion de répondre aux nationalistes ukrainiens émigrés qui s’emploient à faire accroire à l’Amérique que « le communisme est un mythe et que ce ne sont pas les communistes, mais les Russes qui veulent s’emparer du monde entier » Un mythe, le communisme ? Un mythe dont Russes et Ukrainiens ont, les uns comme les autres, éprouvé physiquement la réalité, à partir de 1918, dans les geôles de la Tchéka. Un mythe qui, dans la vallée de la Volga, a réquisitionné jusqu’au dernier grain gardé pour la semence et a livré vingt-neuf gouvernements russes à la famine mortelle de 1921-1922. Un mythe qui a perfidement précipité l’Ukraine dans la famine tout aussi impitoyable de 1932-1933. Et, alors que nous avons subi ensemble, sous le joug des communistes, la même collectivisation au knout et au fusil, se peut-il que ces sanglantes souffrances ne nous aient pas unis ? …Comment pourrions-nous ne pas partager la douleur des Ukrainiens devant les tourments endurés par leur pays sous le régime soviétique !Mais pourquoi aller si loin et vouloir tailler dans la chair vive (en emportant dans le même morceau ce qui n’a jamais été la vieille Ukraine, comme la « Plaine sauvage » des nomades — devenue la Nouvelle-Russie —, ou la Crimée, le Donbass et un territoire qui va presque jusqu’à la mer Caspienne) ? …Détacher aujourd’hui l’Ukraine, ce serait couper en deux des millions de familles et de personnes, tant la population est mélangée ; des provinces entières sont à dominante russe ; combien de gens auraient du mal à choisir entre les deux nationalités ! Combien sont d’origine mêlée ! Combien compte-t-on de mariages mixtes que personne ne considérait jusqu’ici comme tels ! Dans l’épaisseur de la population de base, il n’y a pas la plus petite ombre d’intolérance entre Ukrainiens et Russes. Frères ! Ce cruel partage ne doit pas avoir lieu ! C’est une aberration née des années de communisme.

Nous avons traversé ensemble les souffrances de la période soviétique : précipités ensemble dans cette fosse, c’est ensemble que nous en sortirons… »

Son souhait ne sera pas exaucé :

L’indépendance de l’Ukraine sera proclamée le 24 août 1991. Le 22 août, Yves Plasseraud et Suzanne Pourchier écrivaient dans « les Échos » :

«…L’avenir proche reste lui-même porteur de menaces…La « décolonisation » de l’Ukraine et de la Biélorussie risque de se faire chaotiquement. Ces États sont très hétérogènes, comportant de vastes zones horizontales plus russes qu’autochtones, et des putschs locaux à caractère nationaliste-russe ne sont pas à exclure… Une guerre civile à leurs portes aurait à l’évidence des conséquences catastrophiques pour les États baltes. Cette hypothèse milite en faveur d’une aide massive de l’Ouest aux États Baltes et de la rapide mise en œuvre d’un processus d’intégration progressive à l’Europe occidentale, seule garantie contre un risque de retour de flamme. »

Soljenitsyne a écrit « Comment réaménager notre Russie ? »  en 1990. Certes il s’est trompé sur les résultats du référendum (4) actant l’indépendance de l’Ukraine, mais ce grand écrivain savait pourtant de quoi il parlait. Il aura été, juste après Dimitri Panine, le second dissident à oser dénoncer les crimes du communisme. Mais il est vrai que, chez nous, il n’est plus en odeur de sainteté depuis que, sur invitation de Philippe de Villiers, il s’est rendu aux Lucs-sur-Boulogne, le 26 septembre 1993, et a fait un long discours disant que la Révolution de 1789, la Terreur et le génocide vendéen étaient le creuset, la genèse, l’élément fondateur, des purges de Staline (et des crimes communistes en général). Or nous savons bien que les belles âmes occidentales, dont la sensibilité est à géométrie variable, sont moins vaillantes et moins loquaces pour dénoncer Moscou au temps du Goulag que pour voir des fascistes partout. Après son discours aux Lucs-sur-Boulogne, la presse de gauche n’a quand même pas osé traiter Soljenitsyne de fasciste. Non, elle s’est contentée de dire qu’il radotait et était devenu sénile. Pour ma part, ce que je retiens du message de Soljenitsyne, c’est que nous ne comprenons rien à la mentalité slave et à l’âme russe.

Quant à Macron, incapable de faire respecter l’ordre républicain dans les « territoires perdus de la République » et même en dehors, il ferait mieux de ne pas rouler des mécaniques…

Éric de Verdelhan

09 mars 2024

1) LVF : Légion des Volontaires Français (contre le Bolchévisme)

2) « D’un armistice à l’autre » de Alain du Baudiez ; Albin Michel ; 2022.

3) « Comment réaménager notre Russie ? » d’Alexandre Soljenitsyne ; Fayard ; 1990.

4) Qui n’est pas sans rappeler celui pour l’indépendance de « notre » Algérie française.

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6 Commentaires

  1. Peut être que macron en veut particulièrement à Poutine pour son humiliation en bout de table, et cherche une vengeance personnelle ?
    Pour un immature comme lui, tout est possible…

  2. On souhaite les 2 et urgemment. Nous avons un psy sur la France et qui préside notre représentation nationale… Alors qu’il n’a été légitime que par un si petit nombre de concitoyens. Mais la corruption des urnes était la maîtresse dans cette farce davosesque.

  3. Chers amis,
    Vous avez évidemment remarqué que Minurne a changé ! Plus complet, plus clair, mieux présenté.
    N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques pour nous aider à poursuivre cette modernisation…
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  4. ça tombe bien ! Cela fait justement quelques jours que je me dis que M. Macron ne veut pas être le “Daladier du 21e siècle” (référence aux accords de Munich de 1938 sur le problème tchèque (les Sudètes).

  5. La dernière du micro-µcron aura été de s’amouracher ado gluant de Catherine Ringer piétinant la Marseillaise à la cérémonie de la constitution.
    C’est lamentable au dernier degré.
    Que pouvons-nous attendre d’un tel bouffon principalement préoccupé à détruire tout ce qu’il peut sur son passage ?
    Ceux qui doutaient encore ont maintenant clairement devant les yeux la preuve évidente que c’est un malade mental pas soigné et sous emprise de produits illicites.
    Qui l’arrêtera ? Vladolf Poutrump ?