La Cour constitutionnelle turque s’est prononcée en juillet en faveur du retrait d’une disposition du code pénal qui caractérise tout acte sexuel avec un enfant de moins de 15 ans comme un “abus sexuel“. La Suède ayant critiqué cette nouvelle avancée du pouvoir du tyran et Frère musulman Erdogan vers un retour à l’islam rigoriste qui autorise les relations sexuelles avec des fillettes, la Turquie affiche en représailles sur le bandeau d’information situé dans la salle de départs de l’aéroport Atatürk à Istanbul, en turc et en anglais :
“Avertissement aux voyageurs !
Saviez-vous que la Suède a le taux de viol le plus élevé du monde ? “.
C’est vrai, mais c’est récent. Et la faute à qui ?
À Paris, la bataille avec l’islam n’est pas diplomatique mais juridique. La Société des Habous et des Lieux Saints de l’Islam, filiale de la Grande mosquée de Paris, avait obtenu en 2013 un bail emphytéotique de la Mairie de Paris, en contravention avec la loi de 1905 sur la laïcité.
Un parisien a porté plainte aux motifs suivants : “le bail signé pour 1 euro par la Mairie est une subvention déguisée pour l’exercice d’un culte ; la nature cultuelle de la Société des Habous et des Lieux Saints de l’Islam a été délibérément dissimulée aux élus du Conseil de Paris ; le coût des travaux est supporté par les impôts locaux des Parisiens, mais l’édifice construit ne reviendra pas à la ville de Paris à l’expiration du bail ; le prix de vente (moins de 2.2 millions d’euros) d’un immeuble destiné à l’opération est anormalement bas et cache une subvention déguisée ; l’ensemble de l’opération est entouré d’opacité : les documents concernant les dépenses, leur affectation, les aspects financiers, l’évaluation de France Domaine, ont été cachés aux élus membres du Conseil de Paris ; le principe de séparation des cultes et de l’État a été violé ; le code général des collectivités territoriales sur la neutralité confessionnelle n’a pas été respecté“.
La somme totale donnée au nouveau lieu de culte mahométan par madame Hidalgo a été évaluée à 14 millions d’euros. Le Tribunal administratif avait en 2014 autorisé la donation, mais la Cour d’appel l’a annulée en 2015 :
Remercions Dreuz info (6 octobre 2016) d’avoir retrouvé cette décision de Justice à laquelle la presse n’a donné à l’époque aucun écho, de peur sans doute que d’autres donations cachées faites par des mairies à des mosquées ou des écoles islamiques sous couvert de culture ne donnent lieu à des procès. À moins que ce ne soit par peur de la colère de la mairesse de Paris car, la presse étant majoritairement à gauche, on doute que ce soit la peur de stigmatiser les élus de l’opposition à la Mairie qui n’ont pas fait leur travail jusqu’au bout : aller eux-mêmes au tribunal pour faire condamner la maire si généreuse avec l’argent des parisiens.
Le nombre des naturalisations par décret en 2016 pourrait dépasser de 45% celui de 2015. Les heureux élus (environ 100 000) sont très majoritairement originaires du Maghreb et d’Afrique subsaharienne. Simple coïncidence à l’approche des élections ? … Il va encore falloir construire des mosquées.
Alain Juppé trouve les Français (“Je les emmerde!.. S’ils se font chier avec moi, qu’ils aillent voir ailleurs“) “hystériques” à propos de l’islam.
Les Français seraient hystériques ? Mauvaise analyse, stigmatisante pour les Français qui font au contraire preuve d’une grande retenue si l’on considère ce qu’ils doivent subir en tant que peuple colonisé de la part des envahisseurs mahométans. Outre deux cent trente victimes du terrorisme islamique en dix-huit mois, il y a l’insupportable affirmation de leur supériorité ethnique et morale et leur volonté affirmée de nous imposer leurs mœurs vestimentaires, culinaires et misogynes. Et maintenant il y a la peur qu’ils inspirent à nos élus. Ceux-ci leur cèdent tout, comme terrains et argent pour leurs mosquées. Et aussi la peur de nos entreprises publiques, SNCF, CAF et RATP, qui mentent sur leurs affiches en affirmant que les resquilleurs et fraudeurs qui sévissent majoritairement dans les banlieues islamisées sont uniquement des blondes et des ouvriers. Comme le demande Gilbert Collard, “Faut-il s’appeler Jennifer et être blanche pour frauder ?“. C’est un cas de racisme avéré auquel ni SOS Racisme, ni la Ligue des Droits de l’Homme, ni la LICRA ne trouvent rien à redire puisqu’eux aussi ont choisi le camp mahométan contre la France.
Illustrations-type du fraudeur lambda, comme peuvent en attester les usagers…
J’évoquais il y a quelques jours les trucages photographiques et contextuels de la presse pour inculquer aux Français repentance, honte et soumission à l’islam : Aylan Kurdi ; naufragés musulmans migrants se noyant qui sont en réalité des acteurs barbotant dans cinquante centimètres d’eau, etc. Un nouvel exemple : Une chaine de télévision australienne est venue jusqu’à la plage de Villeneuve-Loubet pour montrer comment de jeunes musulmanes enburkinées sont victimes du racisme des Français, “hystériques“, comme dit Juppé. Dans le reportage, les filles souriantes provoquent délibérément les baigneurs qui finissent par leur demander de s’en aller. Un “politologue” (?), en tout cas présenté comme tel, Dominique Moïsi, et effectivement ça se sent, explique aux téléspectateurs australiens combien cette “discrimination vestimentaire” franchouillarde et raciste est odieuse.
Un journal australien a révélé le bidonnage complet du reportage : actrices payées pour jouer le rôle des jeunes musulmanes victimes des Français racistes, soi-disant politologue payé pour lire un texte pré-rédigé. Large reprise du reportage truqué par la presse française, renchérissement dans l’indignation sélective, mais aucune excuse ensuite pour être tombé dans le piège tendu par les journalistes australiens pro-islamistes. Tout cela ne sent pas bon.
L’Imprécateur