LES ANTIFAS, AUXILIAIRES DU GOUVERNEMENT
(L’Imprécateur)

La Communauté européenne a condamné jeudi dernier la violence et commence à comprendre que les anarcho-antifas qui noyautent le mouvement Gilets jaunes et le poussent à la violence y sont encouragés par le gouvernement qui les protège trop visiblement.

Jeudi, les parlementaires européens ont adopté une résolution condamnant tous azimuts la violence, en République du Congo et dans “certains” pays européens. Langage diplomatique pour ne pas citer la France clairement visée puisqu’elle est le seul pays à utiliser actuellement contre sa population des armes potentiellement létales.

La presse européenne a remarqué la mansuétude dont bénéficient les antifas

Mais la presse européenne a remarqué autre chose. Alors qu’il y a dans chaque manifestation des Gilets jaunes des éléments casseurs extrêmement violents et parfaitement reconnaissables dans leur uniforme noir de la cagoule aux gants et aux baskets (les lacets de couleur exceptés), aucun n’a été blessé, aucun n’a été arrêté et s’il est arrivé qu’ils le soient, ils ont été très vite relâchés alors que des centaines de Gilets jaunes ont été arrêtés, dont quelques dizaines font l’objet de poursuites.

Plusieurs journalistes, dont des français, ont aussi remarqué que les Black blocs et les Antifas – puisqu’il s’agit d’eux – ne sont jamais fouillés quand ils franchissent un barrage : ils entrent et sortent comme ils veulent des manifestations. Des journalistes ont demandé aux chefs de sections – CRS ou gendarmes – pourquoi ils les laissaient passer. La réponse invariable était “on a des ordres”.

Pendant l’acte XIII, tout le monde a remarqué cet antifa dans son uniforme noir, muni d’un marteau, qui pendant quatre heures a cassé vitrines, voitures, mobilier urbain sans que les policiers interviennent. Les ordres, toujours les ordres, ou plutôt l’absence d’ordres d’intervention, excepté ce procureur contacté par un policier qui lui a répondu d’intervenir “en toute légalité et avec des preuves“. Quelques policiers étaient tellement écœurés  que ce sont eux qui ont donné au journal Le Parisien le récit de leur non intervention pour que la vérité soit connue.

Les “antifas” nazis, arme anti-peuple du gouvernement

L’attaque par les Antifas de la Nouvelle Librairie au Quartier Latin, accusée d’être le berceau de l’extrême droite par ses liens de naissance avec l’Action Française, Charles Mauras et Georges Valois pour qui Mitterrand jeune étudiant écrivait des articles, a signé leur appartenance au mouvement nazi-français.

En effet, qui a procédé en Allemagne dans les années 30 si chères au président, et notamment en 1933, a des destructions de librairies et de livres, notamment d’écrivains juifs ?

Des étudiants allemands sous la direction de la NSDStB, association des étudiants socialistes Nationalsozialisticher Deutscher Studentenbund.

La gauche voudrait oublier que le nazisme et les antifas sont historiquement nés en Allemagne du socialisme. Extrême gauche et nazisme ont de tous temps étroitement collaboré. Ces étudiants de gauche de la NSDStB servaient de milice anti-juive à Hitler.

Et il est de plus en plus évident que l’impunité dont jouissent les Antifas depuis les années socialistes inaugurées par François Mitterrand – même quand ils mettent le feu à des voitures de police avec des policiers à l’intérieur – montre qu’ils sont toujours au service du pouvoir socialiste, aujourd’hui incarné par Macron malgré ses efforts pour introduire une touche d’ultra-libéralisme à la chinoise dans l’économie.

Ce n’est pas la première attaque des antifas que nous subissons, mais c’est la plus violente. Elle s’est déroulée le samedi 9 février, vers 14 h 35, quand un cortège de « gilets jaunes » se rendant au Sénat a croisé notre librairie, installée au cœur du Quartier latin, rue de Médicis. Elle a alors été caillassée et dégradée par une centaine d’antifas armés – une « horde », comme ils s’en enorgueillissent (1)” (Témoignage du propriétaire de la librairie).

Mais la presse aux ordres du gouvernent a une fois de plus imputé aux Gilets jaunes toutes les violences de ce 9 février, alors que les Gilets jaunes ont, au contraire, aidé à les minimiser autant qu’ils le pouvaient, ce qui n’a pas empêché qu’ils soient gazés, matraqués et tirés comme des lapins une fois entrés dans la nasse organisée par le préfet de police sur ordre du ministre de l’Intérieur.

On peut d’ailleurs se demander si ce ne sont pas les antifas qui le conseillent sur les itinéraires que la Préfecture impose aux Gilets jaunes et qui les font passer par des points sensibles que tout préfet intelligent et soucieux d’éviter les violences et des drames possibles éviterait.

Ce jour-là ce furent, entre autres, le Sénat et l’Assemblée nationale dont le grilles ont été arrachées.

Les violences auraient pu être plus lourdes de conséquence si notre libraire n’avait pas été prévenu de leur arrivée par deux gilets jaunes. Merci à euxDix minutes après cette première attaque, qui a finalement été stoppée par une dizaine de CRS, c’est un homme en rage qui a attaqué la devanture de la librairie à la pelle. Nous avons eu l’honneur, à ce moment-là, d’être protégés par une dizaine de gilets jaunes” (le propriétaire).

L’utilisation par le pouvoir de la milice antifa est évidente

Vu la chute de popularité dans les sondages des Gilets jaunes, les Antifas et autres Black blocs, nervis du pouvoir, “font du bon boulot”, comme dirait Fabius, puisque, par leur extrême violence, ils discréditent le mouvement populaire de révolte anti-fiscale.

Leur utilisation par le pouvoir est évidente. “Ces milices 100% fascistes ne sont pas justes “utilisées” par le gouvernement mais entièrement fabriquées, financées et entretenues par lui ou par le PS depuis 40 ans. Elles ont servi 14 ans sous Mitterrand. Ensuite, ni Chirac ni Sarkozy ne s’y sont opposés alors qu’elles continuaient à être utilisées par le PS et aujourd’hui LREM. Chez les fachos de gauche, les opérations de “maintien du désordre” sont une spécialité, leur marque de fabrique, leur ADN ! Le seul bordel admis, c’est celui qu’ils organisent eux-mêmes” (un blogueur anonyme sur le site Le Salon beige).

La police et les services de renseignement les connaissent bien. Chaque individu est parfaitement identifié et sous protection des forces de l’ordre. Elles ont tort de les protéger (mais “ce sont les ordres”). Les Gilets jaunes ont tort, eux aussi, de les supporter dans leurs manifestations.

Pour survivre dans les périodes difficiles comme actuellement, les socialistes n’ont jamais hésité à instrumentaliser les brutes fascistes de l’extrême gauche à leur profit. Dans les manifestations de Gilets jaunes, ils savent prendre le train en marche pour mieux le saboter. Pourtant, ces jeunes antifas issus de la grande bourgeoisie européenne ultra-gauchiste, fils d’universitaires, de cadres supérieurs, de hauts fonctionnaires, de magistrats, de directeurs financiers, n’ont rien de commun avec les “cols bleus” de la France périphérique, ouvriers, artisans, petits fonctionnaires, petits cadres, commerçants…

Les “chiens de garde” du système socialo-macronien


Un chercheur comme Christophe Guilluy a pu dire que “l’antifa est devenu « une arme de classe » contre des catégories populaires“. Ce sont les chiens de garde du Système – sans quoi ils ne bénéficieraient ni d’une telle impunité judiciaire ni d’une telle mansuétude médiatique. Les murs de la capitale ont beau se couvrir d’« ACAB » à chacun de leur passage – la signature des Antifas (de l’anglais « All Cops Are Bastards », littéralement « tous les flics sont des salauds ») –
, les inamovibles experts qui défilent sur les plateaux des chaînes de télévision pointent la responsabilité de la violence sur la seule « extrême droite » qui manipulerait les Gilets jaunes.

Les milices antifas du gouvernement sont les enfants des socialistes. Il arrive même que journalistes, universitaires et activistes travaillent main dans la main. Antonin Bernanos, héros des antifas parisiens, pourtant condamné à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, pour l’attaque (d’une violence inouïe !) d’une voiture de police, en 2016, est défendu par le conseil d’administration de l’université Paris-Nanterre, où il étudie.

Aris Papathéodorou, ne se contente pas d’être le directeur artistique du Monde, propriété de Xavier Niel et Matthieu Pigasse, il est aussi l’hébergeur de tous les sites « antifas ».
La boucle est ainsi bouclée et la preuve établie.

La révolte des Giles jaunes contre un trop-plein de taxes et d’impôts ne peut pas être qualifiée « de gauche ».
Ce mouvement concerne souvent les Français habitant dans les zones rurales ou péri-urbaines et ne touche ni les banlieues ni les bobos friqués de centre-ville, devenus la clientèle électorale de la gauche-Macron.

Les Gilets jaunes défendent des valeurs profondément ancrées « à droite » : la méritocratie, la liberté, la famille et la possibilité de pouvoir vivre dignement de son travail.

L’Etat macronien a réduit la politique à la force et à la violence parce qu’il n’a aucune vision ni idée pour canaliser et calmer la colère des trois quarts du peuple français. Sinon par un faux “grand débat” largement théâtralisé, prélude, une fois les élections passées, à une nouvelle violence contre la France périphérique qu’il veut faire disparaître pour la remplacer par l’Homme nouveau, “progressiste”, métissé, hyper-connecté et surtout docile qu’il veut créer, rêve de tout état totalitaire mixant communisme et fascisme.

L’Imprécateur
17 février 2019

1: Sur internet, le blog des Antifas s’appelle La Horde, lahorde.samizdat.net/


7 Commentaires

  1. La plupart des antifas sont des fils de bourgeois que des amis de la police appellent les “pue la pisse”. Des petits merdeux qui se la pètent mais qui rentre vite chez papa maman la queue entre les jambes à la première charge de CRS. Cela dit, en groupe, ils résistent mieux par cette dynamique et font un peu plus les malins. Ce sont des alliés des islamistes et autres anars, comme eux.

  2. La délinquance gouvernementale ! Personne, que ce soit le sénat ou l’assemblée ne réprouvent de tel agissement. Il semble, que cela ne les concerne pas. Le peuple peut être frappé à mort, qu’ils resteront sans réaction. Est-ce cela la démocratie ? Non, mais la dictature !

  3. antifas ou pas : si on verifiait, on se rendrait compte que , plus de la moitie des GJ qui defilent, de nos jours , contre MACRON, sont les memes qui ont vote pour lui au 2eme tour des presidentielles !!!!! donc pas question de defiler a leur cotes !!!!!! plutot crever , mais la TETE HAUTE !!!!

    • Désolé, Necas, mais j’ai vérifié. Prenez votre calculette pour vérifier vous-même.
      Macron obtient 24 % au 1er tour. 66 % au second. Mais, observe Le Monde, “avec un record de votes blancs et nuls” (+ de 12 millions). 66% de 75 % de participation = 49 %. Donc, moins de la moitié des Français ont voté pour Macron. Si vous en retirez les 24 % de macronistes purs et durs du 1er tour, Macron a gagné 25% d’électeurs, dont tout le monde sait que la très grande majorité n’ont pas voté pour Macron mais contre Marine.
      Tous les analystes politiques le disent aujourd’hui, les Gilets jaunes sont très majoritairement pro-Marine. Qui donc a voté Macron au 2ème tour ? Les bobos gauchistes anti-Marine qui avaient voté Hamon, Vert, PC, etc. au 1er tour. cqfd
      Un dessin récent du Canard montre des Gilets jaunes et un chef qui compte un, deux, un, deux. “Vous marchez au pas maintenant ?” interroge un passant . “Non, on compte ceux qui ont encore leurs deux yeux”. Eux vont l’affrontement contre Macron. Et vous ?

      • c’est bien ce que je voulais dire : bcp ont vote macron, par honte de voter le pen !!!! mais de toutes façons , tout a bien ete orchestre en faveur de macron ; le harcellement mediatico judiciaire a devoile une trop grosse ficelle et bcp de naifs sont tombes dans l’entourloupe ……..
        l’ avenir nous dira la verite sur ces pratiques ……

      • moi, cher ami , j’assume mon vote , et au moins , je sais pourquoi je souffre !
        ne comptez pas sur moi, pour defiler contre macron ! je morfle , mais j’assume !
        que ceux qui ont vote macron a la derniere minute se demm………. AVEC LUI .

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