« Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes »
Cette citation apocryphe attribuée à Bossuet vient immédiatement à l’esprit lorsqu’on suit l’actualité.
Depuis des décennies, on nous vante les incomparables mérites de ce qu’il est convenu d’appeler la mondialisation ; on en découvre brutalement les effets pervers.
UN PEU D’HISTOIRE
Contrairement à ce qui est dit, la mondialisation ne débute pas à la fin de la seconde guerre mondiale. Il y a toujours eu, de mémoire d’homme, une volonté de certains dirigeants d’étendre leur pouvoir par la conquête, que celle-ci soit militaire, religieuse ou économique. Les empires se sont succédés à la surface de la planète, marquant leurs époques. Il a fallu la conjonction de cet instinct de domination et les avancées technologiques concernant les moyens de transport et les voies de communications pour atteindre réellement une dimension mondiale. Après le « partage du Monde » entre l’Espagne et le Portugal au XVème siècle, c’est d’Angleterre que la mondialisation est partie au XIXème siècle. Les pré-requis nécessaires, à savoir une marine la première du monde, position due au blocus Napoléonien, et un système financier concentré sur la « City » étant satisfaits, il ne manquait plus qu’une volonté de conquête. Celle-ci s’exprima vers 1850 au moyen d’un groupe de jeunes lords anglais, tous issus d’Oxford.
LA CONQUETE DU MONDE PAR LA FINANCE ANGLO-SAXONNE
Valérie Bugault, dans son ouvrage « Les Raisons Cachées du Désordre Mondial » publié en 2019 par les éditions Sigest, écrit :
« Caroll Quigley a justement présenté les choses de la façon suivante : les puissances du capitalisme financier (1850-1932) avaient un plan de grande envergure, rien de moins que de créer un système mondial de contrôle financier dans les mains du secteur privé capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie mondiale d’un seul tenant »
(tiré du livre Tragedy and Hope)
Ce plan peut, à la lumière des événements, s’analyser ainsi :
- Une conquête militaire d’un vaste empire s’étendant de la côte Est africaine et de l’Afrique du Sud vers les Indes en passant par l’Australie avant de se heurter à la civilisation chinoise. A la fin du XIXème, la « pax britannica » régnait sur le monde.
- Une première guerre mondiale qui devait faire disparaître les empires « monarchiques »
- Une seconde guerre mondiale qui allait se révéler fatale aux empires coloniaux
Parallèlement à cela, il fallait s’emparer de la puissance industrielle américaine et de ses capacités de production afin de faire des Etats-Unis la première puissance économique et militaire du monde.
Ceci fut réalisé en 1945 après la capitulation de l’empire japonais.
VERS L’UNIFICATION FINANCIERE DU « MONDE LIBRE »
Les accords de Bretton Woods (1944) avaient consacré le dollar américain comme monnaie mondiale et surtout permis de créer les véritables instruments de la domination financière que sont le FMI et la Banque Mondiale. Il ne faut pas perdre de vue que, d’après le livre d’Antony Sutton, c’est la création à Bâle de la BRI (Banque des Règlements Internationaux) en 1930 qui a permis de financer l’accession d’Hitler au pouvoir.
Dès 1815, Nathan Rothschild, (cité dans le livre de Stephen Mitford Goodson Histoires des banques centrales) a déclaré : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je me moque de qui fait les lois (page 64) Or, l’exercice du contrôle de la monnaie d’un pays ne peut se faire qu’en fixant deux choses : la valeur de cette monnaie et le taux du crédit. Depuis 1914, la plupart des monnaies européennes étaient devenues fiduciaires, et leurs valeurs n’étaient plus fixées par le cours de l’or.
C’est en 1971 que la Réserve Fédérale (banque privée possédée par d’autres banques privées) a réussi à se libérer de cette contrainte imposée par Bretton Woods et, n’étant plus contingentée par le cours de l’or (Golden Exchange) a enfin pu émettre toute la monnaie qu’elle souhaitait. Ce système d’émission, commun à toutes les banques centrales (y compris la BCE) est appelé « argent-dette » car l’émission de monnaie se fait en échange d’une reconnaissance de dette venant du trésor public directement, ou par l’intermédiaire de banques privées. Le payeur en dernier ressort est toujours le contribuable, au travers des impôts. Aujourd’hui, ce sont plus de 150 banques centrales qui exercent le pouvoir réel et non plus les dirigeants élus, qui sont totalement dépendants du pouvoir financier.
L’ASSERVISSEMENT DES NATIONS PAR LA DETTE
Longtemps, la plupart des banques centrales étaient au service du peuple et prêtaient sans intérêt les emprunts nécessaires au développement du pays. Cette absence de charge financière contribuait assez largement à l’équilibre budgétaire. Ce n’est qu’après 1971 qu’une action fut menée dans différents pays occidentaux pour que ces prêts génèrent des intérêts, ce qui fit la fortune des « marchés financiers ». En France, c’est la loi du 03 janvier 1973 qui interdit à la Banque de France d’émettre de la monnaie en percevant des bons du Trésor. L’argent fiduciaire, étant créé ex-nihilo, ne coûte au préteur que le coût du papier et de l’encre pour les billets émis, et encore moins lorsqu’il s’agit d’une simple écriture informatique. En contrepartie, le prêteur encaisse des intérêts. En termes de droit, cela pourrait s’appeler un enrichissement sans cause, exactement comme pourrait le faire un faux-monnayeur.
C’est ce privilège, détenu par les seules banques centrales et qui sont reliées entre elles sur toute la planète, qui a permis la mondialisation économique en pouvant émettre pour rien (ou presque) la monnaie nécessaire aux transactions. Il ne faut donc pas s’étonner que le choc pétrolier se soit produit en 1973, après l’abandon de l’étalon-or par la FED. Les pétrodollars naquirent ainsi et, comme ils ne devaient en aucun cas revenir sur le sol américain, l’inflation fut maîtrisée.
Comme toutes ces dettes généraient des masses d’intérêts, les charges budgétaires augmentaient et les déficits suivaient la même courbe, ce qui créa un effet « boule de neige »
L’INTERDEPENDANCE DES ETATS LES A CONDUITS A LA RUINE
Les échanges internationaux se faisant au moyen du dollar, ce dernier devenait la monnaie par rapport à laquelle les autres devraient s’ajuster. Cela donnait à la FED, associée à la Banque Mondiale et au FMI un pouvoir financier sans égal. Les « assassins financiers » décrits par John Perkins allaient pouvoir oeuvrer.
C’est en 1973 également que fût créée la « Commission Trilatérale » Cette organisation d’apparence assez anodine disposait cependant de pouvoirs très étendus. Une nouvelle architecture planétaire allait voir le jour, destinée à passer d’un monde « bipolaire » né de la guerre froide, à un «nouvel ordre mondial » qui redistribuerait les rôles. Il s’agissait surtout d’instaurer un pouvoir global qui serait confié à des intérêts privés pour diriger le monde futur duquel les nations, « seules réalités internationales », comme disait de Gaulle, devraient disparaître.
UN NOUVEAU SYSTEME
Prévoyant avec anticipation la fin du communisme, une répartition différente des rôles se mit en place progressivement. La Seconde Guerre Mondiale avait permis une progression sans précédent des capacités de transport, qu’il soit maritime ou aérien. Elles allaient permettre de bouleverser complètement le commerce international qui allait pouvoir vendre dans le monde entier des produits ou des services réalisés n’importe où. Le paramètre essentiel est devenu dés lors leur coût de production et la marge commerciale qu’il permettaient de dégager.
Les pays industrialisés, principalement occidentaux, furent conduits à passer à l’ère « post-industrielle » et les pays « émergents » devinrent l’atelier du monde. Quant aux autres, ils étaient réduits à fournir les matières premières extraites de leur sol ou sous-sol.
LE « TALON D’ACHILLE »
Les années 2010 furent celles d’une prise de conscience. Les classes moyennes qui avaient pu émerger du développement économique permis par le capitalisme industriel commencèrent à se paupériser en raison des délocalisations massives des capacités de production, laissant sans emploi des millions de gens qui vivaient dans ces pays désindustrialisés. La naissance d’un mouvement de contestation souvent appelé « populisme » par ceux qui bénéficient des mannes du capitalisme financier qui dorénavant règne sans partage, trouva sa première expression politique en Europe.
Mais c’est en novembre 2016 que l’ampleur du phénomène fut révélée. L’élection de Donald Trump fut un revers sévère pour les mondialistes. Les projets de traités de libre-échange qui devaient unifier la planète en faisant disparaître toutes les frontières, et donc les nations souveraines, considérées comme « bêtes à abattre » des mondialistes, furent laissés en plan. On vit réapparaître, sur le devant de la scène internationale, de grandes nations sûres d’elles-mêmes et de leur destin. Les discours de Donald Trump et de Xi-Jimping dans les temples du mondialisme que sont l’ONU et la réunion annuelle de Davos sont sans ambiguïté. Et Vladimir Poutine, s’imposant sur le terrain militaire au proche-orient pour y défendre les intérêts russes, n’est pas en reste.
Et voici qu’apparaît, sans que personne n’ait, – du moins en apparence – envisagé la chose, un petit rien qui apparaissait très anodin. Ce grain de sable qui risque d’enrayer toute l’énorme machine et qui s’appelle le « coronavirus ».
DES CONSEQUENCES ECONOMIQUES MONDIALES ?
Parti d’une ville chinoise appelée Wuhan, d’après les médias, le virus a été révélé le 9 janvier. Considéré comme local, il n’a fallu qu’un mois pour que ses effets commencent à se faire ressentir un peu partout dans le monde. Les aspects médicaux des conséquences de ce phénomènes semblent prendre de l’ampleur mais je limiterai mon propos à l’aspect financier et économique.
Depuis la-mi février, environ un mois après sa découverte, le virus a fait plonger tous les marchés mondiaux. La perte financière s’élève déjà à plusieurs milliers de milliards de dollars et semble s’amplifier de jour en jour. Les indices ont déjà perdu plus qu’en octobre 1987…
Coté économique, les peuples viennent de prendre conscience du degré de dépendance qu’ils ont envers l’industrie chinoise, et ceci dans des domaines absolument vitaux. On découvre ainsi que la cupidité financière s’est exercée au détriment de la prudence et que l’approvisionnement de nombre de denrées essentielles, comme certains médicaments, proviennent exclusivement de Chine.
Autant dire que les conséquences sont difficilement à appréhender. Cependant, il y a une chose qui peut-être annoncée dés maintenant, c’est qu’il y aura un « avant » et un « après » le Coronavirus;
Ce mondialisme, dont l’élite menée par la finance internationale nous vante les bienfaits depuis des décennies, a-t-il encore un avenir ?
Pour Donald Trump, dans son discours de l’ONU, la réponse est NON !
Jean Goychman
1er mars 2020
Je n’ai pas lu les mêmes données quant à la naissance du mondialisme (Cf. Des pions sur l’échiquier – W.G. Carr). J’ai lu qu’il démarrait au moyen-âge et qu’il a pris son ampleur technique et son organisation précise au début du XVIIIème siècle sous l’impulsion de membres du peuple Khazar qui, en se convertissant au judaïsme vers l’an 600, devinrent sionistes. Le système a été accéléré par les Francs-maçons y voyant un intérêt et un moyen de dominer les peuples en éradiquant les religions, surtout le catholicisme.
Quant à Trump qui a tendance à se mettre en travers du mondialisme (tout comme Poutine), il risque beaucoup de subir le sort de JFK…
Trump, oui peut etre… Mais pourquoi n’avons nous pas un chef d’Etat qui dise et pense » D’abord la France… » au lieu de « D’abord la Finance… » Ils en ont de la chance les américains !
Il me semble que le commerce international du haut moyen age ne correspond pas à ce qu’on appelle aujourd’hui le mondialisme.
Je ne parlais pas du commerce au moyen-âge mais de l’élaboration clandestine des plans de mondialisation par une junte discrète (pourchassée parfois pour hérésie par l’inquisition).
Ok, c’est ma foi possible.
Bizarre. Hier, il a été relayé des informations d’origine chinoise qui affirmaient que plusieurs entreprises (chinoises) faisaient semblant de fonctionner. En gros, leur consommation d’électricité est surveillée et elles doivent en consommer X quantité sous peine de gros ennuis. Donc, les lumières restent allumées, les climatiseurs itou mais les usines sont vides. Pas de cadres, pas d’ouvriers, personne à l’intérieur. Marrant ? peut être pas, car cela signifierait que toutes les informations venant de Chine sont faussées y compris celle qui affirme que le virus est en régression. A propos de la finance « apatride » : Si la république voulait que ladite finance reste dans la patrie ou soit rapatriée, peut-être qu’il faudrait qu’elle commence par ne plus détrousser les entreprises, les entrepreneurs et le reste de la population, pas vrai ? Ceci étant dit, vous avez raison, la chant du cygne mondialiste est devenu cacophonique mais quelque peu amusant.
Les mondialistes, les globalistes? ça ne fonctionnerait pas si dans chaque nation nous ne trouvions des collabos.
Deviner qui viendra dîner ce soir?
Au dîner du Club sélect le Siècle, où se réunissent ceux qui font le malheur des peuples (banquiers mondiaux apatrides, presse à la botte des globalistes: un journaliste honnête est forcément au chômage et celui qui travaille est une pute,+ les pourris du chaud bises),
Je disais, le mercredi 26 février 2020 un général de l’Armée de l’Air partageait son pain avec tous ces pourris : le Général Stéphane Abrial.
Nous ne sommes pas prêt de sortir de la merde.
https://profidecatholica.com/2020/03/04/les-gilets-jaunes-constituants-devoilent-un-document-explosif-du-diner-du-siecle/
Mondialisation, migration, tout cela nous a fait un mal fou. Alors pourquoi accueillir encore et encore des migrants.
Ce sont des consommateurs en puissance de produits et denrées qui sont payés avec l’argent des autres et surtout le votre.
Je me souviens aussi d’un gouvernement socialiste qui était tout fier d’ouvrir une usine renault au magrehb une honte;
Parce que « ils » ne nous veulent pas de bien.
Les migrants sont un outil des mondialistes pour submerger les peuple et lancer un néo-esclavagisme. Ces pauvres ères acceptant des salaires de misère pour vivre, cela obligera les autres à accepter de même pour avoir un travail sinon rien. Le nivellement par le bas des salaires.
Le second outil est l’islamisme pour lancer le chaos, réduire fortement les populations par guerres civiles et ainsi diminuer la population mondiale. Les mondialistes savent fort bien que la première cause du désastre écologique est la surpopulation. Or ils vivent sur la même planète…
texte que j’ai écrit en 2000 !
Notre monnaie c’est nos dettes !
Septembre 2000
Tout un chacun dit que « les banques travaillent avec notre argent ». Ce genre de propos laisse à penser que les banques prêtent aux autres celui que l’on a déposé à leurs guichets qui aurait une contrepartie en monnaie sonnante et trébuchante. La réalité est très très différente ! En réalité, nous n’utilisons presque plus d’argent « fiduciaire », les billets et les pièces frappés par les Etats, mais de la monnaies scripturale matérialisée par les chèques et la monétique « frappées » par les banques elles mêmes !!!
Selon la Banque de France, l’encours monétaire de la France fin septembre 1998 était de 5635,3 milliards dont 256,4 en billets et monnaies, ce qui ne représentent que le vingtième de ce que la Banque de France qualifie de monnaie. « La monnaie est composée des moyens de paiement détenus par les agents non financiers et, parmi leurs placements financiers, ceux qui sont susceptibles d’être transformés aisément et rapidement en moyens de règlement sans risque de perte de capital ». (Ce qui exclu les actions et les obligations.)
Nos dépôts bancaires sont de la « monnaie » que nous n’avons jamais vue et que nous ne verrons jamais car elle est « scripturale » c’est à dire une valeur virtuelle écrite ! Si nous voulions voir et toucher, les banques ne seraient pas à même de satisfaire notre curiosité tant il y a une grande distance entre la quantité de « monnaie fiduciaire » et des « monnaies bancaires » qui n’existent matériellement pas !!! Ce système fonctionne sur la « confiance », si les clients demandaient aux banques la réalisation de leurs avoirs en monnaie physique, la banqueroute serait assurée ! Finances et apocalypse !
Les banques créent la monnaie de façon virtuelle sous forme d’écritures quand elles prêtent l’argent qu’elles n’ont ni sous forme de billets ni en dépôts. Elle est détruite par les remboursements !!! Autrement dit, elles approvisionnent les comptes de leurs clients avec des chèques sans provisions !!! La garantie de cette monnaie est la solvabilité de l’emprunteur !!! Ainsi les emprunteurs sont à la monnaie scripturale ce que l’or de la banque de France est à la monnaie fiduciaire !!! Dans ces conditions, les banques sont riches de la « monnaie » virtuelle qu’elles ont créée que nous leur avons confiée et des intérêts de la « monnaie » qu’elles n’avaient pas, qu’elles nous ont prêtée !!!
Pourtant, la MONNAIE est à l’économie ce que le sang est à notre corps. Elle est indispensable pour permettre les échanges des biens et des services produits par le corps social.. Il est pour le moins surprenant que les banques facturent des intérêts aux personnes qui sont la caution solidaire de leur banque qui leur a donner un chèque dont ils sont la provision !!! Les seuls frais à payer devraient être l’assurance de l’emprunteur pour couvrir ses risques d’insolvabilité et les frais administratif de gestion du prêt. Si des intérêts doivent être perçus, ce devrait être au profit de l’Etat qui devrait fixer les taux dans le cadre de la régulation de l’activité économique. La création de monnaie devant relever des banques centrales dont c’était la mission première. Or, le traité de Maastricht interdit aux banques centrales de faire « des opérations financières au profit des collectivités publiques », réservant ce droit aux seules banques commerciales !!!
Nous sommes dans une situation paradoxale, ce ne sont plus les Etats qui font « marcher la planche à billets » pour « battre monnaie», ce sont les banques commerciales qui disposent de ce privilège qu’elles facturent au prix fort aux états, aux entreprises et au corps social sous forme d’intérêts !!!
Ainsi, l’ensemble de la société doit obligatoirement être endettée pour que nous disposions de cet outil indispensable au fonctionnement de l’économie : Nous payons aux banques une rançon sous forme d’intérêts pour pouvoir fonctionner !!!
Dans ces conditions, l’endettement de l’Etat français (1000 milliards d’€) conduit à un enrichissement proportionnel des financiers qui disposent ainsi des moyens d’acheter les biens publics que doit vendre l’Etat pour limiter son endettement et les charges financières qui en découlent !!! (40 milliards/€/an d’intérêts !)
La mondialisation pour la France se juge à ses effets:
désindustrialisation et chômage de masse,
écarts de richesse entre classe supérieure et classe moyenne qui deviennent scandaleux avec une paupérisation pour ne pas dire une disparition de la classe moyenne.
une immigration de masse incontrôlée et qui risque d’être exponentielle,
des services publics dégradés : hôpitaux, police,justice, routes,infrastructures
une inflation de réglementations celles de l’Europe s’ajoutant à celles de nos bureaucrates,
une crise de confiance profonde de la population envers la classe politique, les médias.
Et si cela ne suffisait pas, un mouvement gauchiste actif et omniprésent qui a noyauté les médias et la justice et qui se sert de deux armes de destruction massive pour détruire le capitalisme et le libéralisme économique : l’islam politique et le réchauffement climatique.
Ce que nous constatons sous nos yeux actuellement n’est que l’exécution du programme élaboré
( depuis des décennies) dans leurs loges maçonniques par les mondialistes : cf » ‘AURORE ROUGE » de Serge Monast.
Document à diffuser sans modération.
Programme soigneusement élaboré patiemment depuis plusieurs siècles, oui. Et à l’origine, un peuple : les Khazars.