LA CHINE PILLE LES BREVETS OCCIDENTAUX
(L’Imprécateur)

Selon un plan validé par le Comité Central du Parti Communiste, dans les années 2000, la Chine prépare sa conquête du Monde par la conquête de la richesse occidentale en s’appropriant son industrie. C’est le concept : “La Chine usine du monde”. Dans l’industrie, ce ne sont pas les exécutants qui s’enrichissent, ce sont les concepteurs, autrement dit les inventeurs, les preneurs de brevets. La Chine a mis pour cela en place une législation spécifique qui permet de légaliser le vol des brevets.
Grâce à quoi, la Chine a déposé en 2019 plus de brevets que les États-Unis, mais 70 % ont été volés !



LA CHINE PILLE LES BREVETS OCCIDENTAUX

Beaucoup d’hommes publics et en premier lieu le président de la République considèrent que la crise sanitaire met en évidence de graves lacunes dont le premier responsable serait la mondialisation libérale. C’est une aberration intellectuelle. Le libéralisme est une doctrine de philosophie politique, moderne et morale, fondée sur la liberté et la reconnaissance de l’individu. Il a eu au départ pour but initial de libérer les peuples d’un servage réel ou supposé (révolution de 1789), puis de rationaliser et ordonner les relations sociales. L’État moderne ou État de droit n’aurait pas existé sans la réflexion libérale.

Cela posé, il y a eu des excès et le plus étonnant c’est que c’est la gauche qui les a voulus et portés.
Exemple flagrant : la révolution sexuelle de 1968. “Il est interdit d’interdire”, “Jouissons sans entrave”, “Mon corps est à moi, j’en fais ce que je veux”, avec au final l’affaiblissement de l’autorité professorale et des forces de l’ordre et la destruction de la cellule de base de la société, la famille. On en est arrivé à l’avortement subventionné, d’où chute de la natalité qui pourrait justifier l’immigration (si celle-ci était sérieusement choisie et régulée, ce qui n’est pas le cas). Et finalement à une dégradation de la condition féminine, comme la location du corps de femmes étrangères traitées en esclaves dans des usine à bébés. Ou, pour les plus fortunées, l’achat d’un modèle de bébé bien précis préparé en éprouvette selon des critères eugéniques définis par les parents et porté par une femme sélectionnée pour sa meilleure qualité, mais plus chère. Et si l’on suit les féministes jusqu’au bout, le tout doit être payé par les contribuables à travers la sécurité sociale.

LA MONDIALISATION INDUSTRIELLE EST, DEPUIS 40 ANS, VOULUE PAR LES SOCIALISTES

La seconde dérive, “illibérale”, c’est-à-dire qui disqualifie en son principe la vision libérale du départ, c’est effectivement la mondialisation industrielle hors contrôle voulue par l’internationale socialiste et financière. Car, autant la mondialisation des échanges commerciaux a été profitable à l’ensemble des peuples et s’est traduit par une baisse considérable de la famine et de la misère dans le monde, autant l’internationalisation de la finance et de l’industrie aura ruiné l’Occident.

Il n’a pas su calculer qu’il perdait plus à délocaliser ses industries pour un petit profit immédiat qu’à les garder avec tous les emplois induits qu’elles génèrent (entretien, artisanat mécanique, gardiennage, transports, commerces…). Sans oublier les impôts que génèrent les salaires. D’autant plus que les promesses d’emplois qui devaient venir du tertiaire n’ont pas été tenues puisque l’activité tertiaire a été partiellement délocalisée elle aussi (centraux téléphoniques au Maroc, comptabilités en Inde…)

C’est ainsi que la France, notamment, s’est livrée pieds et poings liés à un Etat prédateur et complètement amoral : la Chine populaire. Deux secteurs essentiels : la santé et les énergies renouvelables lui ont été livrés. La santé à 80 %, l’énergie renouvelable à 90 %.
Sans oublier les pièces détachées pour l’automobile et l’électronique (ordinateurs, téléphones, tablettes…).

LES “ÉLITES” ONT COMPRIS QUE LA CHINE MENTAIT, MAIS PAS ENCORE QU’ELLE VOLAIT

Depuis un mois, réveillée par les médias non officiels de réinformation comme Minurne, la classe politico-médiatique réalise que la Chine ment. Pas le peuple chinois, mais le Parti communiste voyou qui le dirige d’une main de fer avec à sa tête un dictateur sanguinaire qui s’est lui-même nommé à vie, Xi Jinping. Il fait exécuter chaque année à lui tout seul plus d’opposants politiques et religieux que la totalité des pays du monde qui pratiquent encore la peine de mort.

Mais il y  une raison à cela : ça rapporte gros ! Chaque mois, en moyenne 1 500 prisonniers en bonne santé sont découpés vivants pour récupérer leurs organes qui sont revendus à en moyenne 150 000 $ l’unité sur le marché mondial illégal des organes. Avec une spécialité chinoise : l’organe halal prélevé sur les prisonniers musulmans chinois, et ceux garantis les plus sains, sur les membres du Falun Gong en raison de leur état de santé particulièrement bon. Pour plus de précisions, contacter le Professeur Alexis Génin, neurobiologiste, président de l’association Dafoh contre le trafic d’organes frais.

LA CHINE PREND SON TEMPS POUR SUIVRE UN PLAN DE GUERRE PRÉCIS

La Chine suit le plan de guerre qui, espère-t-elle, lui donnera la direction du gouvernement mondial en 2049, conçu par le général Chi Haotian et son adjoint à l’époque le jeune Xi Jinping. Plan de guerre validé à deux reprises : en 2003 (le principe), et 2005 (les modalités) par le Comité Central du PCC. Je ne donnerai pas mes sources, m’interdisant de mettre en jeu la vie de mes informateurs chinois, mais je vais donner le bout de la ficelle sur laquelle il vous suffira de tirer, comme dit Philippe de Villiers, pour trouver la suite, dont les discours prononcés par Chi Haotian : tapez “Xi Jinping 2049” sur votre moteur de recherches et fouillez.
Bon courage, il faut être malin pour parvenir à l’autre bout de la ficelle.

Le plan en résumé : la Chine est en sur-démographie (1/5° de la population mondiale) et en sur-pollution (30 % de la pollution mondiale). Elle a besoin d’espaces nouveaux. Pour les conquérir, elle ne peut pas avoir recours à une guerre classique qu’elle perdrait à coup sûr, surtout s’il s’agissait d’un conflit nucléaire. Il faut donc ruser et affaiblir considérablement les occidentaux par une guerre d’un autre type, bactériologique par exemple.
Mais d’abord, devenir un État riche pour pouvoir s’offrir une armée forte, notamment par sa marine. Dominer l’économie mondiale et faire main basse sur les organisations internationales comme l’ONU, l’OMS, l’OMC… et pour cela dominer l’industrie mondiale. Et pour dominer l’industrie, proposer une main d’œuvre formée, disciplinée, bon marché et qui ne fait pas grève (docile). Et surtout, pour aller vite, commencer par voler les brevets pour avoir la maîtrise des fabrications et les retombées financières qui iront avec.

C’est donc par ce premier point qu’il faut débuter l’analyse du projet de conquête communiste du Monde par la Chine.

COMMENT LA CHINE VOLE-T-ELLE LES BREVETS ?

D’abord par sa législation, dont le fondement est la loi du 12 mars 1984 sur la protection des brevets.
Elle est d’esprit communiste. L’inventeur n’est pas propriétaire de son invention, c’est la société communiste qui l’est. Il peut recevoir une récompense en nature, en argent, en reclassement social si elle en vaut le coup.
Mais en fouinant dans les détails, on découvre, par exemple, que les produits pharmaceutiques en sont exclus, ce qui permet en Chine la fabrication de masse des génériques que nous impose la Sécu.

Au fil des ans, la Chine a modifié subtilement cette loi pour en arriver à imposer sa conception du brevet, ce que le dernier gouverneur de Hong Kong libre, Chris Patten, avait constaté : l’Occident continue « à s’incliner encore et toujours » et « à se mettre en retrait pour ne pas la contrarier ». Seul Trump ose le faire.

L’une des dernières modifications dit que seront récompensés en proportion de l’intérêt de “leur découverte” (sic) les étudiants, chercheurs, professeurs qui, ayant recueilli des informations essentielles sur un projet en cours (en Occident) l’auront communiqué à l’ambassade la plus proche ou vite ramené en Chine, permettant une prise de brevet rapide par la Chine avant qu’il n’ait été enregistré dans son pays d’origine.

LE VOL DE PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE LÉGALISÉ

“Le gouvernement chinois a mis en place, ces dernières années, un cadre législatif protectionniste, très favorable aux intérêts de ses entreprises et qui permet aux entreprises d’accéder légalement (sic !) à des informations plus ou moins sensibles d’entreprises étrangères” (Cairn.info).

De plus, La réglementation chinoise impose un mécanisme d’autorisation préalable à l’acquisition d’entreprises locales par des entreprises étrangères. Il permet d’informer les concurrents chinois sur les projets des entreprises occidentales… Un industriel étranger se trouve donc obligé de leur fournir des informations sur son process industriel ou son business plan…
De plus, depuis 2006, “l’importation, l’absorption, l’assimilation des savoir-faire étrangers”  est légalisée.

Bref, la Chine procède “légalement” à des vols de propriété intellectuelle. Et pour verrouiller le système, elle a sorti en 2009 une loi sur les brevets qui favorise “la captation d’informations confidentielles des entreprises occidentales” c’est-à-dire l’espionnage industriel.

OUTILS DE L’ESPIONNAGE, LES INSTITUTS CONFUCIUS ET HUAWEI.

Huawei… J’y reviendrai dans un autre article car le sujet est complexe.
La Chine a un autre outil : les Instituts Confucius, rattachés au service de renseignement de l’armée chinoise, mais officiellement dépendants du ministère chinois de l’Éducation. Macron, pour faire plaisir à son cher Xi Jinping, les a invités en France où ils noyautent déjà 17 universités.

Seule pour le moment, l’Université de Lyon a compris leur vraie nature et a expulsé le sien, diplomatiquement en invoquant un désaccord administratif (le Canada et la Suède ont fait de même , “désaccords administratifs” !). Professeurs et étudiants – surtout étudiantes – sont des agents de renseignement. “Les ordres sont : on courtise, on séduit… et en cas d’urgence on épouse” (Michel Audiard, Les Barbouzes)”. Les cibles sont les chercheurs de l’université, les jeunes officiers si une base militaire ou marine se trouve dans le voisinage, jusqu’à obtention de renseignements intéressants pour l’industrie ou l’armée chinoise.

“En même temps”, Elisabeth Borne pond un décret (25-03-2020) ordonnant la fermeture de 14 centrales nucléaires en France : 250 000 chômeurs spécialistes du nucléaire à prévoir et des coupures de courant en périodes de pointe, (ça aidera les services de réanimation !). À moins de construire des centrales à gaz (ce qui est prévu), voire à charbon comme celle de Cordemais près de Nantes, dont la fermeture est reportée sine die depuis la fermeture de Fessenheim. À prévoir, 90 milliards d’investissements perdus, une augmentation de 20 à 30 % des émissions de CO2 par la France, ce qui va la faire grimper au classement des pays les plus pollueurs. Lesquels reviennent au nucléaire, devenu l’énergie la plus propre au KWh produit, nettement mieux même que l’éolien.

Il faut quand même avoir un QI de bulot pour ne pas anticiper tous ces problèmes, mais quelle importance si le vote écolo-coco permet la réélection de Macron ? Et puis les babous (1) écolos politiques vont hurler à la fake-news puisqu’on va “remplacer le nucléaire par du solaire, de l’éolien et les indispensables centrales à gaz et à charbon” qui les accompagnent (comme en Allemagne) et qu’on va acheter… devinez où…
En Chine !

L’Imprécateur
4 mai 2020

1 : Babou, terme africain, simple d’esprit, débile…

 

7 Commentaires

  1. “Il faut quand même avoir un QI de bulot pour ne pas anticiper tous ces problèmes, mais quelle importance si le vote écolo-coco permet la réélection de Macron ? ”
    Tout est dit … et on donne le bac à ces bulot et on prétend apprendre à l’école en “jouant” au lieu de travailler … le plaisir immédiat contre l’effort qui grandit ! et les gens de gauche se croient généreux , alors qu’ils détruisent la France et abaissent l’Homme.

  2. Tiens parlons du laboratoire P4 de Wuhan dont la dangerosité égale celle d’un sous-marin nucléaire armé, ceux qui ont permis ce transfert de technologie sont des traîtres à la Nation qui méritent d’être jugés …. et vite!

  3. Les instituts Confucius sont l’arrière boutique des services secrets de l’armée chinoise , et notre freluquet leur a ouvert la porte en règle pour espionner notre industrie et nos armées , le freluquet dit le chef des tas est un traître tous comme ses sinistres abrutis qui sont avec lui pour nous “gouverner” .Les traîtres comme nous sommes en guerre cramon l’a bien dit , donc les traîtres ont les fusilles .

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