BARRAGE A MACRON LE 24 AVRIL ! (Général Antoine Martinez)

Après le choc du 10 avril, les Français doivent se ressaisir. Car rien n’est perdu !
Près du tiers des suffrages exprimés se sont portés sur les candidats de la droite patriote (Marine Le Pen, Eric Zemmour, Nicolas Dupont-Aignan).
Eric Zemmour continue sa route. Avec plus de 120 000 adhérents, Reconquête est devenu le 1er parti de France.
2 mois après l’élection présidentielle auront lieu les élections législatives. Le peuple français aura à nouveau la possibilité de s’exprimer.

En attendant, la priorité reste aujourd’hui de chasser le président sortant, responsable du déclassement et du délitement de la France.
Nous devons donc TOUS nous mobiliser pour fermer à Macron la porte d’un 2ème quinquennat, l’empêchant ainsi de poursuivre et d’achever son oeuvre mortifère.

C‘est le sens de l’appel du général Antoine Martinez – empêché par le système politico-médiatique de voir validée sa candidature à l’élection présidentielle – à voter le 24 avril pour Marine Le Pen, qui porte maintenant l’ardente espérance du redressement de notre Patrie. Avec l’aide et l’appui des 2,5 millions de patriotes qui ont voté pour Eric Zemmour.

Pas d’abstention, pas de bulletin blanc, pas de bulletin nul !
Pour battre Macron, il faut voter Marine Le Pen !

MLS, le 16 avril 2022 

 

 


Le premier tour de l’élection présidentielle a rendu un verdict inquiétant mais cependant conforme à la situation de délitement de notre pays et de la perte de cohésion de la société qui conduit à une radicalisation des rapports sociaux et politiques et, il faut le craindre, à la violence. Il a le mérite – c’est un signal d’alarme – d’éclairer le citoyen et de l’interpeller sur le devenir du peuple français, plongé dans la souffrance par nos dirigeants politiques et menacé dans son existence par une immigration incompatible et hostile. Il est donc de notre devoir de réfléchir aux conséquences de notre choix pour le second tour.

Le premier constat que ce premier tour établit est, en fait, la confirmation du naufrage et de la mort annoncée des partis politiques de droite et de gauche communément appelés partis de gouvernement par les médias, partis qui depuis plus de quarante ans ont dirigé le pays et conduit la France dans l’impasse dans laquelle le peuple français se trouve piégé aujourd’hui.
Ces partis dits “de gouvernement”, par leur laxisme, leur manque de clairvoyance, leur déni de réalité, leur lâcheté et leur renoncement, ont fini par mettre en péril plus de quinze siècles de notre histoire et bien plus puisque, c’est l’âme même de la France – qui procède de la culture gréco-latine et de la religion chrétienne – qui est ébranlée et fragilisée.
Avoir permis, au cours de cette quarantaine d’années, l’installation en masse sur notre sol de populations de culture islamique, incompatible avec nos valeurs, et continuer à accompagner ce processus d’invasion pour certains, de submersion pour d’autres, malgré l’évidence des drames qu’il prépare, relève non seulement de la folie, mais de la trahison à l’égard de la nation.
La France se retrouve ainsi fracturée, défigurée et martyrisée, à l’image de Notre-Dame de Paris outragée en pleine semaine sainte il y a tout juste trois ans. La décomposition de ces partis politiques avait commencé avec l’élection présidentielle de 2017. Elle est confirmée à l’issue de ce premier tour, ces partis de gouvernement n’atteignant même pas les 5 % !

Le second constat découle du premier, l’échec et la trahison des partis de gouvernement ayant conduit progressivement à une fracture de la société.

« Comment éviter la partition ? Car c’est quand même cela qui est en train de se produire : la partition ». François Hollande.

Cette fracture a entraîné une radicalisation des esprits aggravée au cours de l’actuel quinquennat par des décisions ou des déclarations du président sortant qui n’a cessé de diviser et de monter les Français les uns contre les autres. Les résultats du premier tour confirment l’avènement d’une ère politique nouvelle qui sera mouvementée avec trois pôles « extrêmes » appelés dorénavant à occuper l’espace politique.

L’« extrême-gauche », pôle islamo-gauchiste, immigrationniste, révolutionnaire.

Bien qu’arrivé troisième du premier tour, le score atteint de 21,95 % constitue un succès et devrait interpeller et alarmer les Français car il confirme l’état d’avancement du grand remplacement que certains nient et qui menace la nation.

En effet, 70 % des musulmans inscrits sur les listes électorales ont voté pour ce parti qui constitue un tremplin pour leur accès au pouvoir lorsqu’ils seront suffisamment nombreux et forts grâce aux naturalisations de papiers accordées en masse chaque année. Ils constituent d’ores et déjà un électorat, qui compte tenu de sa démographie, ne peut que croître.

« Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons » (Youssef al Qaradawi).
Et ceux qui les encensent aujourd’hui seront balayés sans états d’âme par leurs petits protégés.
Ils ne savent pas qu’ils signent ainsi leur propre suicide. 

L’ « extrême-centre », pôle libéral, libertaire, mondialiste et progressiste.

Arrivé au  pouvoir en 2017 dans les conditions que l’on sait (« Je suis le fruit d’une forme de brutalité de l’histoire, d’une effraction » Emmanuel Macron) et ayant obtenu 27,84 %, il est le représentant de la Davocratie, de cette oligarchie financière qui veut l’instauration d’un ordre mondial nouveau visant la disparition des frontières et la destruction des nations pour créer l’homme nouveau, interchangeable, remplaçable, sans lien historique ou social, simple consommateur qui doit être privé de toute liberté de penser et de s’exprimer.

La crise du Covid 19 a révélé la conception que ce pôle « extrême-centre » se fait du pouvoir, prêt à tout en utilisant la peur et des mesures liberticides pour soumettre le peuple.

L’« extrême-droite », pôle patriotique, souverainiste et national.

Arrivé deuxième avec 23,15 %, ce pôle rassemble les Français attachés à leur identité, à leur histoire, à leur culture, à leurs traditions – tout ce qui fait en fin de compte un peuple avec une cohérence interne – et opposés au multiculturalisme qui conduit au communautarisme, au séparatisme et à son remplacement à long terme, ce qui est totalement contraire au bien commun et à l’intérêt de la nation.

Ce pôle qui rassemble en réalité des citoyens enracinés de tous bords, et pas seulement de droite, a pris conscience du danger que représente cette immigration de peuplement extra-européenne de culture islamique, incompatible avec notre civilisation et nos valeurs, qui utilise notre démocratie comme une arme au service de la conquête.

La campagne du premier tour a montré l’essor pris par ce pôle appelé à se développer et à affirmer dorénavant plus durement ses convictions dans un combat identitaire, souverainiste, culturel et social car il considère que la survie de la nation est aujourd’hui en jeu. Il exige d’ailleurs que le peuple, ignoré et méprisé jusqu’ici, soit consulté pour arrêter ce processus d’immigration mortifère. 

Dans ce contexte, l’enjeu du second tour de l’élection présidentielle du 24 avril est donc de mettre en  lumière la vérité sur le bilan désastreux du président-candidat – qui a exercé le pouvoir, contrairement à son adversaire -.

Sur le plan économique, la dette publique abyssale aggravée par sa politique du quoi qu’il en coûte avoisine les 3000 Mds €, les déficits publics excèdent largement la croissance de l’économie, le déficit de la balance commerciale approche les 100 Mds € et le chômage reste supérieur à celui de la plupart de nos partenaires européens. La crise sanitaire a révélé l’état déplorable de nos hôpitaux et la dépendance de notre pays de l’étranger en raison de la désindustrialisation croissante et de la dégradation en matière de recherche et développement (R&D).

Sur le plan de la sécurité, la délinquance est en hausse inquiétante dans de nombreux domaines. L’école, de son côté, vit un véritable naufrage, les classements PISA en témoignent. Sur le plan de la cohésion sociale et nationale, le constat et les perspectives sont sans appel car elle est torpillée par une immigration massive et incontrôlée qui détruit progressivement la cohérence interne de la société française et pèse très lourdement sur les finances. Le délitement inévitable de notre pays était d’ailleurs dénoncé dans la tribune dite des généraux d’avril 2021 à laquelle le président de la République n’a pas daigné répondre. Sur le plan international, la France a subi en peu de temps des affronts, voire des humiliations (Mali, Australie, Russie).

Ce lourd bilan a fortement contribué au déclassement de la France en perdition. A ce bilan désastreux il faut ajouter deux scandales majeurs avec d’une part, l’affaire McKinsey avec ce qu’elle véhicule en termes de gabegie financière, de conflits d’intérêts, de trahison des intérêts fondamentaux de la nation et d’autre part, l’affaire de la déclaration de patrimoine du président-candidat dont la crédibilité et l’honnêteté semblent être mises en sérieux doute.

Après avoir instrumentalisé le conflit entre la Russie et l’Ukraine pour rester à l’écart de la campagne électorale afin d’éviter précisément d’avoir à répondre sur son bilan, le président-candidat a décidé de s’y engager entre les deux tours pour dénigrer son adversaire qu’il qualifie d’extrême-droite et dont il évite de citer le nom par pur mépris. Il est, de surcroît, prêt à tout à présent puisqu’il serait prêt à revoir l’âge de départ à la retraite, prêt à adopter la proportionnelle intégrale, prêt à réintégrer les soignants exclus (pourquoi ne le fait-il pas tout de suite ?), prêt à critiquer son adversaire sur la crise sanitaire oubliant que sa gestion calamiteuse est à l’origine de milliers de morts (interdiction faite aux médecins de soigner, injection du Rivotril dans les EHPADs).

Ces déclarations incohérentes et contradictoires montrent son état de fébrilité et les doutes qui l’assaillent.
Cerise sur le gâteau dans le contexte présent, les propos échangés avec une jeune femme voilée prétendument féministe confirment son refus de combattre l’islamisme. En effet, ce voile, par essence, ne peut pas être féministe ; il est l’étendard de l’islam conquérant.

Mais le président-candidat n’est-il pas prêt à tout pour récupérer un maximum de voix du pôle islamo-gauchiste, immigrationniste et révolutionnaire nécessaires à sa réélection ?

Alors, les Français doivent être conscients de l’importance et des conséquences de leur choix le 24 avril.
Prolonger ce quinquennat qui a plongé le peuple dans la souffrance, sa souveraineté lui ayant été confisquée pour détruire impitoyablement l’âme de la France, serait catastrophique. La France n’y survivrait pas. La priorité aujourd’hui doit s’inscrire sur le long terme car elle touche à l’identité du peuple français et donc à la survie de la nation menacée de génocide par substitution.

Pour ma part, appartenant à la mouvance patriotique, j’appelle les Français à affirmer leur attachement à la Nation et à son héritage historique, spirituel et culturel qu’il faut défendre résolument et à voter pour Marine Le Pen, candidate du camp patriote pour faire barrage au délitement de la France et au refus des élites de consulter le peuple sur des sujets qui conditionnent son avenir.

Général (2s) Antoine MARTINEZ
15 avril 2022

 

 

 

 

   

3 Commentaires

  1. Nous eussions préféré un Zemmour, mais nous voterons Le Pen . Je dis nous, parlant là de 80% de mes proches.
    Ça urge… s’il n’est pas déjà trop tard.

  2. Barrage contre Macron, oui, ça va de soi, mais nous allons encore être les dindons de la farce (par nécessité). Marine le Pen est une traître comme son père. Dans le clan Le Pen il n’y a que Marion qui en vaille la peine. Le père et la fille occupent une place vitale où d’autres, plus capables, auraient pu faire bouger les choses, mais non ! Eux, ils n’avancent pas, ils piétinent délibérément, criminellement, en servant le système et nos ennemis, tout ça pour vivre confortablement sur notre malheur. Marine est une lâche, les billets de la présidentielle l’intéressent, mais pas les ennuis de la gouvernance, et surtout pas un potentiel soulèvement d’une partie du pays. Elle va nous laisser crever.
    Par désespoir, uniquement, je voterai pour cette sal*pe, mais je sais très bien que ce sera une fois de plus le “mince alors ! on y était presque ! Mais c’est bien, on progresse”.
    On ne progresse pas, le pays est mort, nous avons passé un point de non-retour : les français ont le cerceau CUIT, ils sont DEBILES, les 3/4 de la jeunesse sont dégénérés (alcool, drogue, sexe à gogo, amnésie historique, consommation, pervers narcissiques), voir même handicapés (autant capables tout au moins que des vieux de 90 piges en ehpad, et encore ceux-ci ont encore de bons restes), et sourds et d’une faiblesse physique contre-nature, au point que des gringalets de banlieues finissent par passer pour des sur-hommes ! Ah, j’oubliais : fainéants aussi.
    Il y a dans le pays des agressions barbares de façon quotidienne, banale. Ce qui me choque c’est que non seulement cela ne choque personne, mais surtout que les victimes non pas la réaction instinctive de se défendre. Ils restent là à se faire martyriser en pleurnichant ! Merde quoi ! Nos ennemis ne sont pas des spetsnaz ou des légionnaires des années 50 !
    Les français n’ont plus de sang dans les veines !
    Je dis que le pays est foutu, que l’Europe de l’ouest est foutue, et je place mon espoir, en ce qui concerne la survie des blancs et de la civilisation européenne, dans les pays de l’est (Pologne, Hongrie etc… ) et surtout la Russie. Les pays de l’est ne tiendront pas non plus tout seuls, nous ne devons pas tourner le dos à la Russie, qui reste notre seul allié, notre seul espoir.

    • Il y a rarement une personnalité comme Zemmour capable de redresser la France quand elle en a besoin. Une fois par siècle, peut-être. Et les Français, intoxiqués par les médias, l’ont laissé passer. Mais on ne doit pas baisser les bras. Il faut continuer notre lutte pour la survie de la France. Et la seule arme qui nous reste cette semaine est de convaincre notre entourage de voter MLP pour chasser Macron. Ensuite, il y aura des législatives, et Zemmour, qui est un homme d’honneur, l’a assuré : il n’abandonnera pas…

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