Pendant que la médiasphère gauchiste se livre à un Trump-bashing en règle, Hillary Clinton se dépense et dépense sans compter pour améliorer son image. Elle doit pour cela détruire diverses accusations de ses détracteurs : trop riche pour être une présidente de gauche, trop menteuse et trop incompétente pour être une présidente tout court, trop malade, trop dangereuse.
Impossible, aux États-Unis, de devenir président (e) en étant pauvre (au moins depuis la seconde guerre mondiale) les coûts de la campagne étant devenus exorbitants.
Hillary Clinton, la « pauvre »
Laissons de côté John F. Kennedy qui avait une fortune personnelle d’origine familiale estimée à un milliard de dollars. Les neuf président qui lui ont succédé avaient en moyenne 25,5 millions de dollars. Le plus riche, Johnson en ayant 98 et le plus “pauvre”, Obama, 5. Hillary Clinton affirme que lorsque son couple est arrivé à la maison blanche en 1995, ils étaient fauchés, « sur la paille » dit-elle, et couverts de dettes à cause de leurs emprunts immobiliers et du coût des études de Chelsea, leur fille. Soit, mais s’ils avaient emprunté, c’est qu’ils avaient un capital immobilier important, il est estimé à 38 millions de dollars, soit nettement au-dessus de la moyenne présidentielle.
Aujourd’hui leur fortune est estimée à 100 millions. Hillary est-elle vraiment pauvre comme elle le dit ? D’autant plus que les Clinton ont créé à trois (William − dit Bill − Hillary et Chelsea) une fondation qui porte leur nom et qui reçoit des dons qui font jaser en raison de leur provenance : dons d’entreprises et de milliardaires démocrates, dons de la Chine, dons surtout en provenance des pétromonarchies du Golfe Persique qui seraient leur remerciements pour des “services” rendus par Hillary quand elle était secrétaire d’État aux Affaires étrangères. La Justice et le fisc américains s’y intéressent, mais Hillary a malencontreusement effacé les documents qui auraient pu être trouvés. Quelle maladroite cette Hillary !
De plus, leur fortune gonfle de jour en jour par le revenu des conférences que le couple donne et qu’Hillary prétend facturer 200.000 dollars l’unité. Or Bill, qui a visiblement à cœur de ne plus jamais se retrouver sur la paille avec Hillary, a facturé l’une de ses dernières conférences 750.000 dollars, une paille en effet ! Et Hillary facture les siennes en moyenne 300.000 dollars. Cela ne l’empêche pas de continuer à pleurer misère et Obama lui-même s’en amuse : « Une amie proche était millionnaire, maintenant elle vit dans un minibus dans l’Iowa » a-t-il raconté au dîner des correspondants de presse à Washington après le premier déplacement d’Hillary pour sa campagne dans l’Iowa en minibus.
Hillary Clinton, vendue au Diable islamique
Mais plus que sa fortune, c’est l’opacité de celle-ci qui est reprochée à Hillary. « La candidate démocrate Hillary Clinton serait financée par l’Arabie Saoudite, mais aussi par des multinationales, dont le cimentier français Lafarge, en pleine tourmente aujourd’hui pour sa coopération révélée avec Daech » (1) (Atlantico). Julian Assange (Wikileaks) confirme : « L’Arabie Saoudite figure parmi les plus gros donateurs, plutôt encombrants, de la fondation de Bill, Hillary et Chelsea Clinton, Clinton Foundation » (2). Quand elle était Secrétaire d’État (3), Hillary a favorisé de grosses exportations d’armes vers l’Arabie Saoudite et s’est toujours montrée très bienveillante envers l’Arabie quand celle-ci avait des problèmes de non-respect des Droits de l’Homme.
Peinte sur ce mur de la banlieue de Melbourne, à l’est d’Orlando en Floride, Hillary est décrite comme une musulmane bigote, raciste et sexiste. L’auteur cherche à stigmatiser ses liens étroits avec l’Arabie saoudite. En réalité elle est l’archétype du WASP, acronyme qui désigne les protestants luthériens favorisés, un pur produit de l’establishment blanc américain, son père était propriétaire de plusieurs usines de textile, ce qui n’empêche pas Hillary de prétendre que sa famille était pauvre.
En France, Hillary Clinton a un défenseur acharné en la personne de l’universitaire Anne Deysine qui soutient que c’est le système pour arriver au pouvoir qui fait qu’Hillary est en contradiction avec ses convictions, mais « Elle y croit vraiment, son combat est sincère » (sic).
Eh oui, Hillary aimerait être pauvre, mais elle ne peut pas… la pauvre !
Hillary Clinton : de graves désordres neurologiques
Hillary est-elle en bonne santé ? On peut en douter. Son comportement bizarre intrigue : convulsions pendant des conférences, quintes de toux interminables, syncopes. Elle est parfois obligée d’interrompre ses prestations publiques et ses gardes du corps doivent la trainer hors de la salle en la soutenant.
Il y a trois ans, elle a été opérée d’un caillot de sang dans le cerveau : « Clinton a été admise au Presbyterian Hospital de New York dimanche en raison du caillot qui a été découvert lors d’un examen de suivi lié à une commotion cérébrale dont elle a souffert ce mois-ci » avait déclaré son porte-parole Philippe Reines qui avait obtenu des médecins qu’ils publient un communiqué affirmant qu’il n’y avait ni AVC ni lésions neurologiques. En 2005, elle s’était déjà évanouie deux fois pendant l’un de ses discours. Très récemment, elle a eu un malaise en montant un escalier. Peut-être ferait-elle bien de renoncer à la présidence et de profiter de sa fortune considérable acquise par divers moyens, on ne voudrait pas que cette pauvre femme meure à la tâche.
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Non, vous ne rêvez pas !
Imaginez un instant que cette dame puisse appuyer sur le « bouton rouge »
À ce propos, il semble qu’il n’y ait pas de jurisprudence de la Cour Suprême américaine dans le cas où un candidat mourrait quelques jours ou semaines avant l’élection en novembre, ou pendant la période qui précède son entrée effective à la Maison blanche en janvier…
Hillary Clinton : docteur ès-mensonges
Hillary est-elle une grosse menteuse ? Elle a eu un comportement sujet à caution quant à l’usage qu’elle a fait d’un serveur privé pour envoyer (notamment en Arabie saoudite) des mails qui ressortaient de son activité professionnelle. La Justice américaine finira peut-être par savoir ce qu’il en est, pour le moment Hillary et ses avocats opposent une résistance solide. Elle a prétendu que le directeur du FBI James Comey aurait affirmé qu’elle avait dit la vérité lors de la description de son utilisation du serveur privé. Il a été démontré plus tard que le directeur du FBI avait dit exactement le contraire. De tout évidence Hillary Clinton a menti effrontément.
Autre affaire de mensonges : l’attaque contre l’ambassade américaine à Benghazi en Libye (11 septembre 2012) a coûté la vie à plusieurs diplomates et soldats américains. L’enquête qui a suivi a coûté aux contribuables 7 millions de dollars et a été très controversée comme « l’une des enquêtes du Congrès les plus longues et les plus partisanes de l’histoire ». Dans le rapport de 344 pages, rédigé par les Démocrates, ceux-ci essayent d’absoudre Clinton de toutes défaillances de culpabilité ou de sécurité. Cela n’ayant pas convaincu grand-monde, deux parents de victimes ont porté plainte contre Hillary qui les a traité publiquement de menteurs. Ceux-ci ont riposté en la traitant elle aussi de menteuse car elle niait avoir eu connaissance d’une vidéo alertant quelques jours avant le massacre des gros risques qui pesaient sur l’ambassade et qu’elle n’aurait pas répercutés au personnel diplomatique pour qu’il prenne les mesures de sécurité nécessaires.
Le problème est que madame Clinton est solidement protégée par ses amis Démocrates haut placés, notamment l’ex-directeur de la CIA, Michael Morell, son conseiller. Actuellement, c’est lui qui répand le bruit que Trump est manipulé par Poutine. Il a aussi déclaré sur la chaine PBS, sans être recadré par Clinton, que les Russes et les Iraniens devraient être tués secrètement (!) pour « payer un prix élevé », répétant aux journalistes qu’ils devraient purement et simplement être tués et insistant sur “secrètement” car « Dire au monde cela directement, non… Et ne faites par dire au Pentagone qu’ils l’ont fait, mais vous devrez vous assurer qu’ils savent à Moscou et Téhéran que c’est nous qui aurons fait le job ». Dans le New York Times il a loué les qualités de Clinton pour être chef de guerre. Et c’est Trump qu’il accuse d’être belliciste et « une menace pour la sécurité nationale » ! Avec Hillary Clinton à la présidence et son ami Morell au Pentagone, le monde risque gros.
Hillary Clinton−Al Capone
Car Hillary pourrait être très dangereuse. Elle a le bon dieu avec elle ! Il fait mourir prématurément tous ses ennemis. « C’est ainsi que 5 personnes dont le témoignage sous serment et les révélations dans les médias étaient de nature à mettre fin à la candidature d’Hillary Clinton, dont 2 l’auraient envoyée moisir derrière les barreaux, sont mystérieusement décédées en moins de 2 mois dans des conditions plus que suspectes. Un suicidé, quand même. Pour les autres, la justice se pose des questions“ (4).
Il s’agit de :
- « Shawn Lucas, un supporter de Sanders, qui a aidé à dévoiler le trafic des 50% de voix qui auraient dû aller à Sanders à la Convention démocrate et se sont mystérieusement retrouvées au bénéfice de Clinton. Il est mort tout aussi mystérieusement le 2 août 2016. Le trafic a été prouvé, ce qui rend furieux les millions d’électeurs démocrates qui avaient voté pour Sanders à la DNC et qui ont promis de ne pas voter pour Clinton le jour du vote. C’est la menace numéro 1 qui pourrait faire perdre la mégère.
- « Victor Thorn, un écrivain qui a écrit sur elle des choses pas gentilles : mort d’un suicide en août 2016. Puni pour sa prose.
- « Seth Conrad Rich, un membre qui travaillait au Parti Démocrate âgé de 27 ans, mort sur le chemin qui le menait aux bureaux du FBI où il allait faire des révélations. L’enquête a conclu à un meurtre, le 8 juillet 2016. De quoi se mêlait-il, celui-là ?
- « John Ashe, un membre officiel de l’ONU qui avait un rendez-vous au FBI pour témoigner contre Hillary Clinton et le parti démocrate. Lui n’a pas résisté à un éclatement de la gorge en soulevant des haltères. Ça a failli arriver à James Bond dans un de ses films. John Ashe est mort le 22 juin 2016. Comme quoi le sport c’est dangereux, c’est pourquoi il faut en faire le moins possible.
- « Mike Flynn, (Big Government Editor for Breitbart News). L’ultime article de Mike Flynn fut publié le jour même de sa mort, et s’appelait : “L’argent des Clinton : Bill et Hillary ont créé leur propre fondation chinoise pour eux-mêmes en 2014”. On comprendra qu’il a bien mérité son sort, le méchant. Accuser les Clinton de détournement d’argent, vous n’y pensez pas ! Mort le 23 juin 2016 (4). »
Évidemment, si meurtres il y a eu, ce n’est pas Hilary qui les a commis, mais avec beaucoup d’argent et les relations qu’il faut, on peut se faire dégager la route de la présidence…
L’Imprécateur
1 : Lafarge a versé des sommes importantes à l’État Islamique pour que son usine de ciment en Syrie ne soit pas détruite et continue à payer des taxes. Admettons… Mais il a aussi acheté du pétrole syrien à l’EI pour l’exporter. Hillary Clinton a commencé à travailler pour le service juridique de la filiale américaine de Lafarge dans les années 1980 et figurait parmi les administrateurs de Lafarge de 1990 à 1992. Durant cette période, l’entreprise Lafarge avait déjà été accusée de liens avec la CIA pour faciliter l’exportation d’armes de manière clandestine.
2 : Clinton Foundation est l’une des fondations les plus puissantes et les plus riches du monde. Officiellement elle est à vocation caritative ce qui lui permet de ne pas payer d’impôts, mais sa gestion est très opaque et bien verrouillée par les Clinton, ce qui crée un doute sur l’utilisation de l’argent.
3 : Premier mandat Obama
4 : Algarath, http://algarath.com/2016/08/07/morts-providentielles-protegent-hillary-clinton-5-morts-4-semaines/