L’ECOLOGIE EST UNE IDEOLOGIE NON SCIENTIFIQUE
(L’Imprécateur / Claude Brasseur)

La théorie du CO2 cause unique du réchauffement climatique, remonte à 1848 quand la Eunice Newton montra qu’un cylindre en verre contenant du l’air additionné de CO2 chauffait plus vite au soleil qu’un cylindre identique rempli seulement d’air. C’est parfaitement exact, mais cela se produit aussi avec d’autres gaz à effet de serre, comme la vapeur d’eau ou le méthane qui sont beaucoup plus abondants que le CO2.

Les écolos n’en démordent pas, c’est un comportement qui n’a rien de scientifique. Pour eux, seul le CO2 d’origine anthropique, c’est-à-dire d’origine humaine, provoque le réchauffement de l’atmosphère, bien que le CO2 ne représente que 0,04 % de l’atmosphère et n’a qu’un influence infinitésimale sur le réchauffement. Les cycles solaires, le trajet elliptique de la Terre autour du soleil, l’inclinaison de son axe et bien d’autres paramètres, dits de Milankovic, ont une influence essentielle. Rappel, l’air c’est 78 % d’azote et 21 % de dioxygène, Tous les autres gaz – CO2 inclus – sont inclus dans le 1 % restant.

La vérité scientifique est qu’il y a des cycles de réchauffement et de refroidissement qui sont historiquement prouvés. Nous sommes en fin d’un cycle de réchauffement, celui qui est à l’extrême droite du graphique ci-dessous.

 

Sur ce graphique, qui porte sur 400 000 ans de climat, on voit très clairement que les cycles de glaciation de la Terre durent environ 100 000 ans et ceux de réchauffement (les pointes sont courtes), 10 à 15 000 ans. De plus à l’intérieur de ces cycles il y a d’autres cycles identiques mais qui portent sur quelques siècles, comme l’optimum climatique du Moyen–Âge, suivi du “petit âge glaciaire” qui commence vers 1550 et s’achève vers 1800, suivi du réchauffement que nous connaissons depuis et qui, selon la NASA, la NOOA et plusieurs services météorologiques dans le monde, s’est arrêté en 1998. La Terre, les animaux, les plantes ont toujours survécu, pourquoi ne le feraient-ils pas cette fois-ci ?

Mais démontrer cette vérité scientifique se heurte à un gros problème fiscal, plusieurs impôts et taxes concernent les émissions de CO2 et rapportent des dizaines de  milliards à l’État.

Cela abonde aussi les énormes profits des industries éolienne et solaire.

Alors, tenter de faire prévaloir la science sur l’idéologie se heurte à l’ironie des politiques, la dérision de la presse qui a pris la triste habitude de suivre très fidèlement les directives données par l’État, celles de la très socialiste AFP et le scepticisme des écolos.

C’est pourquoi cet article de Claude Brasseur, un authentique scientifique, est rafraîchissant, il nous extraie du politiquement correct (mais faux, en la matière).

Eunice Newton ne s’est pas vraiment trompée, mais ne connaissait pas l’azote, lui aussi un gaz à effet de serre, 525 fois plus abondant que le CO2 !

L’Imprécateur
11 juin 2019

LE GIEC OU LES FAITS ?

par Claude Brasseur


Les annonces de chaleurs insupportables, d’inondations, de sécheresses et autres catastrophes  « pour demain » si nous continuons à produire du CO2, n’ont aucune base scientifique mais elles ont un double avantage : elles rapportent des fortunes aux producteurs d’énergies « vertes » (1) et nous détournent des vrais problèmes comme la pollution et la surpopulation (2).

Evidemment, « savoir » que la Terre se réchauffe par notre action nous donne de l’importance. Cette importance grandit chaque jour grâce aux médias financés par ceux qui ont intérêt à nous voir accepter des « énergies vertes »… à installer un gouvernement mondial où l’Occidental obéissant sauve Gaïa ! (3).

Les textes des « climatosceptiques » sont tout simplement ignorés de la presse muselée.

Des astronomes nous disent que le dernier réchauffement est lié à l’activité du soleil ; des agronomes, des physiciens démontrent que le CO2 est utile à la nature, ne joue aucun rôle dans la température de la Terre. Eunice Newton et Svante Arrhénius, chercheurs du 19e siècle, étant à la base des affirmations du GIEC, aucun esprit scientifique donc sceptique n’a le droit de les remettre en question.

La preuve de l’erreur commise par Eunice Newton

Assez vieux pour ne pas risquer de perdre ma place ou mes subsides, aimant la vérité, je cherchais depuis 10 ans la preuve ou la critique de ce qu’affirment Eunice Newton et Svante Arrhénius. Une preuve irréfutable de leur erreur existe ! L’objet des « recherches » du GIEC, culpabiliser l’Occident,  a disparu, une preuve est rappelée par Blair Macdonald (4) et je vais tenter de la rendre compréhensible pour ceux qui n’ont pas de bases solides en physique mais qui veulent savoir :

Le GIEC est catégorique : l’azote et l’oxygène (99 % de l’air sec) sont totalement transparents aux photons venus du soleil ou aux photons infrarouges émis par le sol. Seules les molécules triples (ou plus) auraient des raies dans les infrarouges. Il s’agit du H2O, CO2, CH4 etc.

Pourtant, la spectroscopie laser Raman constate dès 1960 (!) qu’il n’en est pas ainsi avec, par exemple, les raies de 4,2 microns de l’azote et 6,25 microns de l’oxygène. Blair Macdonald synthétise ces observations. Azote et oxygène ne sont pas plus « transparents » que H2O, CO2, CH4 etc…

Il n’est pas inutile de rappeler que la seule « preuve » thermique dont disposaient les fonctionnaires du GIEC date de 1848 ! Eunice Newton observait que sa bouteille remplie de CO2 se réchauffait plus vite et plus fort au soleil que celle remplie d’air. Si elle avait pu disposer d’une bouteille d’argon – découvert 50 ans plus tard – elle aurait constaté que celui-ci se réchauffe comme le CO2 parce qu’il a presque  la même masse atomique (5) ! Rappelons surtout que, selon le GIEC, l’argon, comme les autres gaz mono ou diatomiques, serait parfaitement transparent aux photons…

Bref, grâce à des travaux précis, permis par l’existence de moyens modernes, le CO2 est relégué, sur le plan thermique, à un rôle minime lié à sa quantité toujours très faible dans l’air. L’ensemble  des gaz dans l’air crée  la couche d’isolant qui nous protège du  froid de l’univers.

À l’heure actuelle, personne ne mettrait en doute que l’eau bout à une température de 100°C au niveau de la mer. Grâce à Chandrashekhara Venkata Râman et Leonid Mandelstam nous ne pouvons plus mettre en doute que tous les gaz de l’atmosphère ont des raies d’absorption, donc d’émission dans l’infrarouge proche, qu’ils ont des rôles similaires… qu’un réchauffement du climat par l’émission de CO2 anthropique est une illusion.

Et il est peut-être temps de s’occuper des vrais problèmes des terriens – surpopulation et pollution – au lieu de croire passivement ce que veulent nous faire croire les escrocs du climat. Cessons  de nous ruiner pour les enrichir !

 

Claude Brasseur
Mathématicien / Physique appliquée
Belgique
11 juin 2019

 

(1) A cause de l’intermittence du vent, les éoliennes sont associées à des centrales thermiques souples. Ce couple pollue nettement plus que des centrales thermiques seules, peu souples mais à bien meilleur rendement. Qu’on installe des turbines – vapeur si on veut vraiment produire moins de CO2 !

(2)  « Toutes les menaces qui pèsent sur l’avenir de l’humanité sont, directement ou indirectement, la conséquence de l’expansion démesurée de la population. » Chr. de Duve, prix Nobel de médecine en 1974.

(3) En France, la Constitution a été changée dans ce sens. La COP21 accorde aux pays « émergents » tels la Chine et L’Inde,  le droit de produire librement le CO2…

(4) Blair D. Macdonald, Quantum Mechanics and Raman Spectroscopy Refute Greenhouse Theory

(5) Thomas Allmendinger, The Refutation of the Climate Greenhouse Theory and a Proposal for a Hopeful Alternative

 

1 Commentaire

  1. “Réchauffement climatique” est un terme trompeur. Le vrai terme est “changement climatique”.
    Les écologistes sont quasiment tous des “nerds” en science et peuvent donc facilement gober l’idéologie de la secte du GIEC et ses messes. Ainsi, leur “réchauffement climatique” est devenu une religion avec ses excommunications et ses intolérances. A quand leur Torquemada ?
    La terre suit ses cycles habituels, c’est tout. Il y a eu des périodes avec des quantités astronomiques de CO2 alors qu’il n’y avait aucune activité humaine. L’étude des states le prouve. Et cette période a été très bénéfique à la végétation. D’ailleurs,le désert a reculé de 20% ces dernières décennies. On parle du CO2 mais on oublie le méthane aux effets plus puissants. Si l’hydrate de méthane des océans arrive à ébullition parce que l’eau océanique s’est réchauffée suffisamment, on peut se retrouver rapidement dans la mouise…
    Bref, tous ces benêts incultes d’écolos sont agaçants avec leurs émotions et leur hystérie.

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