ONU : SOMMET MONDIAL POUR L’ABOLITION DU PRÉLÈVEMENT FORCÉ D’ORGANES (L’Imprécateur)

L’ONU traverse une période difficile. Elle est due à ce que la Chine fait tout pour en prendre le contrôle entier, dans le but annoncé par Xi Jinping d’une domination du Monde, en 2049, dans sa version maoïste chinoise.

La Chine préside déjà plusieurs commissions, dont l’OMC et l’OMS, et demande qu’à la prochaine Assemblée Générale la présidence du Conseil des Droits de l’Homme lui soit accordée. Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Gutterès, s’en méfie car à chaque élection, les pays soupçonnés de crimes contre l’Humanité présentent un candidat en espérant que son élection leur permettra de contrer les demandes de poursuites.

La Chine pourrait l’emporter, l’empire colonial qu’elle a acquis par une forte pression financière sur les pays africains lui donnerait la majorité.

Comment parvenir à bloquer la Chine ?

En la faisant accuser et sanctionner préalablement pour un crime contre l’Humanité particulièrement répugnant, dont les preuves ont été apportées en 2019 par le China Tribunal International à Londres : le prélèvement forcé d’organes, sans anesthésie, organisé en marché mondial illégal par le PCC, le Parti Communiste Chinois.

L’organisation d’un Sommet Mondial sur le prélèvement forcé d’organes a été confiée à une ONG internationale, DAFOH, qui lutte contre le prélèvement forcé et illégal d’organes.

DAFOH a invité des personnalités médicales, juridiques, politiques et sociales bien au courant du problème pour en parler, ainsi que des journalistes. Il est apparu que ces derniers étaient réticents pour deux raisons principales : ils sont très souvent socialo-communistes et leurs journaux ou chaines de télévision sont fréquemment sous le contrôle plus ou moins visible de la Chine.

C’est le cas, par exemple, aux Etats-Unis du New-York Times, du Washington Post et du Wall Street Journal ; en France de l’Humanité, de Libération, du Monde et même du Figaro…
Couvrir une opération qui vise le Parti Communiste Chinois (PCC) leur est difficile. Ils pourraient perdre des subventions ou des achats d’articles financés par la Chine (selon l’hebdomadaire Marianne, entre 15 000 et 30 000 € par article).

Il fallait donc trouver des journalistes (ou ex-journalistes) indépendants, courageux et « percutants », capables de dénoncer les crimes du PCC. Une Cubaine, une Chinoise, un Italien, un Japonais et un Français ont été retenus.
S’attaquer au PCC est aussi dangereux que s’attaquer à la Mafia, c’est la raison pour laquelle nous ne pouvons citer les noms, afin de ne pas mettre en danger les courageux journalistes qui ont pris la parole.

Initialement prévu en réunion publique à Genève où se trouve le siège du CDH onusien, le Sommet Mondial a, en raison de l’épidémie, été transformé en vidéo-conférence. Chaque intervenant opérant de chez lui avec son ordinateur ou son portable, la partie technique d’enregistrement et de fusion des interventions étant réalisée dans une salle dédiée à cet effet. 

L’Imprécateur

29 septembre 2021

 

 

WASHINGTON, Sept. 1, 2021 /PRNewswire/ — Doctors Against Forced Organ Harvesting, DAFOH, a leading medical ethics NGO, announced on behalf of the co-hosting five organizations from the U.S., Europe and Asia the World Summit on Combating and Preventing Forced Organ Harvesting, a series of online webinars to take place between Sept 17-26, 2021.

 

« Le monde entier accuse la Chine » (tableau d’artiste)
Pensez à agrandir les petits cadres en haut à droite

LES FAMILLES DES VICTIMES DE PRÉLÈVEMENTS FORCÉS D’ORGANES SONT AUSSI EN DANGER

On demanda à chacun des journalistes retenus par le comité de sélection de DAFOH un projet de discours. Ils furent agréés. Celui du journaliste français fut reconnu comme « le plus percutant » et, pour Antonio Gutterès, le plus apte à faire basculer la majorité pro-chinoise à l’Assemblée Générale de l’ONU. D’abord classé  en dernière intervention pour clôturer la session « presse » du Sommet Mondial, il fut décalé avant-dernier quand fut présenté celui de la journaliste chinoise, récit dramatique de la mort de son père, membre du Falun Gong, arrêté pour cette raison, éventré vif, des organes internes arrachés et jeté encore vivant dans un four crématoire.

De plus, il s’avère que, non seulement la victime innocente dont les organes sont prélevés pour l’exportation commerciale des organes frais est réellement éventrée bien vivante et sans anesthésie avant d’être brûlée, mais que sa famille, si elle a l’audace de protester contre la disparition de l’un de ses membres, peut être condamnée à trois ans de prison (ou de camp de concentration) pour les enfants et les cousins, et jusqu’à huit ans pour le conjoint qui n’aurait pas dénoncé le mari ou l’épouse, sans compter les inévitables tortures qui vont avec.

Pour le Führer chinois Xi Jinping, trahir le parti en pratiquant une religion ou une philosophie comme Falun Gong, ou encore appartenir à une « race inférieure » aux Han qui dominent la Chine communiste est un crime méritant la torture et la mort. Ne pas dénoncer un pratiquant est passible de prison, camp et tortures.

QU’ONT DÉCLARÉ LES JOURNALISTES ?

Une première question est posée pour lancer le débat…

Pourquoi l’ONU et la CDH sont-elles silencieuses sur le crime contre l’Humanité qu’est le prélèvement forcé d’organes alors que c’est l’une des principales missions de la CDH ?

Pour le journaliste italien, c’est d’abord dû aux pressions énormes qu’exerce le PCC sur les agences de presse, les rédactions et les journalistes, par l’argent et les menaces. Tout ce qui est interdit par le PCC devient des tabous qu’il est dangereux d’enfreindre.

Le journaliste français observe que, si la CDH est censurée, l’ONU parvient à publier des rapports critiques, comme ceux de 2015 et 2021 constatant la gravité du crime contre l’Humanité qu’est le prélèvement forcé d’organes.
Mais ils ne sont pas suivis et relayés par la presse, comme ils devraient l’être, pour alerter l’opinion.
Ce sont, comme c’est souvent le cas, les lanceurs d’alertes, sur des blogs indépendants des pressions politiques et financières, qui font le travail de vérité.

L’AFP, par exemple, dont la direction est socialiste et le budget dépendant de l’Etat, n’a pas hésité à caviarder et accuser de fausse information le rapport ONU de 2015.

Le jugement du China Tribunal en 2019, présentant des preuves incontestables des tortures et de la mort infligées aux donneurs forcés de leurs organes, n’a pas fait l’objet d’articles dans 99 % de la presse mondiale. A l’exception d’un seul article connu, à la fois erroné et méprisant.

Le rapport ONU de 2021, rédigé par douze experts ayant enquêté en Chine, confirme le jugement du China Tribunal. Il a subi le même sort. Les rares articles publiés, que ce soit par les médias ou les GAFAM (Facebook, etc.) nient la réalité des faits constatés en 2015, 2019 et 2021 et accusent l’ONU de fausse information.
Même CNA, l’agence de presse taïwanaise, publia un article reprenant les mensonges du PCC.

Le journaliste italien rappelle que, sous le IIIème Reich, les médias de l’époque, voulant rapporter les expériences médicales criminelles commises par des médecins nazis, étaient soumis exactement aux mêmes contraintes et interdiction d’information que la presse actuelle l’est en Chine et à l’extérieur par la Chine. Et même par les gouvernements nationaux, comme la France le fait, par exemple pour l’information sur les vaccins et les risques qu’ils font courir aux vaccinés. Ce tabou, seuls les blogs en parlent.

TOUS LES PAYS  COMMUNISTES COMMETTENT DES CRIMES, Y COMPRIS CUBA

La journaliste cubaine explique que Cuba a eu – et a probablement encore – le même comportement criminel que la Chine, qui méprise les Droits de l’Homme.

Fidel Castro créa un moyen d’alimenter le marché international du sang humain avec celui de ses opposants politiques condamnés à mort. Après avoir été arrêtés, ils étaient vidés de quatre litres de leur sang. S’ils en mourraient, le gouvernement cubain racontait aux familles qu’ils étaient morts d’une insuffisance cardiaque. S’ils survivaient, un jugement expéditif les condamnait à être fusillés après tortures.

Elle précise avoir enquêté et découvert que tous les régimes communistes passés, comme l’URSS, et actuels, exploitent quand ils sont au pouvoir, à un moment donné, et d’une manière ou d’une autre, les corps et les vies de leurs opposants. Elle ajoute que la Chine ne se contente pas d’emprisonner, torturer et tuer ses opposants politiques ; elle exploite aussi les opposants ethniques des races jugées inférieures, Ouighours, Tibétains, Kazakhs…
Les religieux (chrétiens, bouddhistes, taoïstes, musulmans) et les adeptes de mouvements philosophiques, pourtant pacifiques, que l’idéologie marxiste condamne, comme le Falun Gong (ou Falun Dafa) dont les membres ont commis le crime impardonnable d’être plus nombreux (plus de 100 millions), que les 90 millions de membres du PCC, sont soumis aux mêmes exactions.

La journaliste chinoise termine la session presse en racontant comment elle a été témoin de l’incinération de son père qui, son cœur n’ayant pas été prélevé et les hémorragies n’ayant pas encore provoqué sa mort, fut jeté encore vivant dans le four…

Le Parti Communiste Chinois et l’armée Populaire de Libération ne sont jamais économes d’un crime contre l’Humanité, aussi horrible soit-il.

À QUOI CE SOMMET MONDIAL PEUT-IL ABOUTIR ?

L’enregistrement, tout au long de la semaine dernière, des discours et de l’enregistrement des exercices de questions – réponses va permettre la conception d’un texte et d’une vidéo.
Ils seront diffusés à tous les pays membres de l’ONU et aux agences de presse.

Antonio Gutterès, Secrétaire Général de l’ONU, espère que cela décidera un nombre suffisant d’entre eux à voter pour que la Chine communiste perde la majorité, qu’elle doit aux pays africains sous sa coupe, et soit condamnée.

Dans tous les discours présentés au début de la préparation du Sommet, le journaliste français fut le seul ayant élargi l’accusation portée contre la Chine à d’autres crimes qu’elle commet comme la stérilisation forcée des jeunes femmes ouighours, ou le génocide programmé de petits peuples réfractaires au totalitarisme de type nazi qu’est le communisme maoïste.
Mais aussi, bien qu’on ne  puisse pas encore parler de morts, le nouveau colonialisme que la Chine développe en Afrique, et qui provoquera inévitablement une misère encore plus grande.

Minurne Résistance

29 septembre 2021

2 Commentaires

  1. Il ne faut pas oublier que le communisme bat tous les records mondiaux historiques de génocide : plus de 100 millions de morts et ça continue !… Alors c’est bien la peine de nous saouler depuis plus de 70 ans avec le nazisme ! Il faudrait voir à s’occuper du 21ème siècle ! Mais tous les journalistes collabos doivent être châtiés tôt ou tard, dans tous les pays. C’est au peuple de leur régler leur compte.

    Mais même après que ces autres journalistes courageux aient fait passer l’info au public, que peuvent faire les citoyens lambda ? Tout se passe entre représentants des pays !

    Bref, il est clair que la Chine est bien pire que le nazisme. Mais peut-être qu’on ne parle pas trop des actes horribles du PCC sur ces ethnies de Chine parce que ça ne concerne pas des juifs ?…

  2. et avec ces sous-citoyens du monde, il faudrait traiter, négocier, discuter, il faudrait les considérer ???????

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